“Avant toutes choses, je voudrais souhaiter une bonne fête à Le Temps. Qu'il nous garde encore pendant longtemps ses pages. Quand on regarde son parcours, on peut s'estimer heureux, d'avoir vu naître ce journal qui a su se faire une place dans un paysage médiatique déjà très chargé. Pour ne pas dire surchargé. C'est tout en son honneur que d'avoir réussi ce parcours. Je voudrais saisir cette occasion, pour adresser mes félicitations aux initiateurs de ce projet dont le combat est reconnu par tous. Comme étant un combat juste et noble. Mes félicitations à toute la Rédaction. Puisque ce n'est pas toujours facile pour les entreprises de presse. Je lisais hier, le livre du Président Gbagbo, qui parle de l'environnement de la presse. J'ose espérer qu'avec sa réélection, un programme conséquent d'appuis à la presse tel qu'il a promis sera mis en œuvre. Pour que le journaliste recouvre sa dignité. C'est vrai que nous savons que c'est difficile pour les journalistes. Mais nous sommes encore dans le combat. Dans celui-ci, on ne s'embarrasse pas d'état d'âme. Il faut aller de l'avant. Je compte sur les rédacteurs de Le Temps, pour aller au terme du combat. Le terme prévisible, c'est la réélection du Président Gbagbo. Il faut donc mobiliser toutes les énergies en vue de cette réélection. Je crois que c'est une mission importante que Le Temps peut assumer pleinement. 2000 numéros ce n'est pas rien. C'est un pari gagné. Il faut gagner les défis futurs. "
Le ministre d'Etat Bohoun Bouabré
Le ministre d'Etat Bohoun Bouabré
