Source: Agence de Presse Sénégalaise (Dakar)
L'artiste ivoirien Tiken Jah Fakoly a émis le souhait de voir levée la mesure l'interdisant de séjour au Sénégal, soulignant qu'il a envie de retourner dans ce pays pour y communier avec ses nombreux fans.
Tiken Jah Fakoly
De plus, a fait valoir Fakoly, invité vendredi de l'émission "Artiste à la une" de la chaîne panafricaine Africable, cette mesure en vigueur depuis décembre 2007 donne "une "mauvaise image" du Sénégal.
Prié de dire ce qu'il en est de cette mesure, deux ans exactement après qu'elle a été prise, Tiken Jah Fakoly a déclaré : "La situation ne s'est pas améliorée et je trouve que c'est dommage".
Se présentant comme "simple citoyen" dont les propos ne peuvent entraîner de conséquences diplomatiques, il a dit que "le premier" de ses droits, c'est de s'exprimer librement, en allusion aux déclarations qu'il a tenues à l'époque sur la situation politique du Sénégal et qui lui ont valu d'être déclaré "persona non grata dans le pays.
Tiken Jah Fakoly, une des stars ivoiriennes du reggae, a été déclaré persona non grata au Sénégal, suite à des déclarations jugées "fracassantes, insolentes et discourtoises" qu'il a tenues sur lasituation politique au Sénégal, à la suite d'un concert qu'il a effectué dans la capitale sénégalaise.
"Le ministre de l'Intérieur a pris un arrêté d'interdiction d'entrée et de sortie contre l'artiste ivoirien. A partir d'aujourd'huiTiken Jah Fakoly est déclaré persona non grata au Sénégal", rapporte le communiqué officiel remis à l'époque aux médias.
Tiken Jah Fakoly était présent au Sénégal om il avait donné un concert à Dakar, dans le cadre du Festival "Hip Hop Awards". En marge du concert, il a demandé au président Abdoulaye Wade de "quitter le pouvoir s'il aime le Sénégal".
La star ivoirienne a ajouté :"Laissez votre fils (Karim Wade) à la maison si vous ne voulez pas qu'il soit auditionné par l'Assemblée nationale". Une référence à la polémique née de la décision de l'Assemblée nationale d'entendre les responsables de l'Agence nationale de l'Organisation de la Conférence islamique (ANOCI) présidée par Karim Wade.
Selon des observateurs, cette décision est à l'origine de la disgrâce de l'ancien président de l'Assemblée nationale Macky Sall, qui va plus tard démissionner de ce poste alors que les députés étaient en voie de le destituer.
L'artiste ivoirien Tiken Jah Fakoly a émis le souhait de voir levée la mesure l'interdisant de séjour au Sénégal, soulignant qu'il a envie de retourner dans ce pays pour y communier avec ses nombreux fans.
Tiken Jah Fakoly
De plus, a fait valoir Fakoly, invité vendredi de l'émission "Artiste à la une" de la chaîne panafricaine Africable, cette mesure en vigueur depuis décembre 2007 donne "une "mauvaise image" du Sénégal.
Prié de dire ce qu'il en est de cette mesure, deux ans exactement après qu'elle a été prise, Tiken Jah Fakoly a déclaré : "La situation ne s'est pas améliorée et je trouve que c'est dommage".
Se présentant comme "simple citoyen" dont les propos ne peuvent entraîner de conséquences diplomatiques, il a dit que "le premier" de ses droits, c'est de s'exprimer librement, en allusion aux déclarations qu'il a tenues à l'époque sur la situation politique du Sénégal et qui lui ont valu d'être déclaré "persona non grata dans le pays.
Tiken Jah Fakoly, une des stars ivoiriennes du reggae, a été déclaré persona non grata au Sénégal, suite à des déclarations jugées "fracassantes, insolentes et discourtoises" qu'il a tenues sur lasituation politique au Sénégal, à la suite d'un concert qu'il a effectué dans la capitale sénégalaise.
"Le ministre de l'Intérieur a pris un arrêté d'interdiction d'entrée et de sortie contre l'artiste ivoirien. A partir d'aujourd'huiTiken Jah Fakoly est déclaré persona non grata au Sénégal", rapporte le communiqué officiel remis à l'époque aux médias.
Tiken Jah Fakoly était présent au Sénégal om il avait donné un concert à Dakar, dans le cadre du Festival "Hip Hop Awards". En marge du concert, il a demandé au président Abdoulaye Wade de "quitter le pouvoir s'il aime le Sénégal".
La star ivoirienne a ajouté :"Laissez votre fils (Karim Wade) à la maison si vous ne voulez pas qu'il soit auditionné par l'Assemblée nationale". Une référence à la polémique née de la décision de l'Assemblée nationale d'entendre les responsables de l'Agence nationale de l'Organisation de la Conférence islamique (ANOCI) présidée par Karim Wade.
Selon des observateurs, cette décision est à l'origine de la disgrâce de l'ancien président de l'Assemblée nationale Macky Sall, qui va plus tard démissionner de ce poste alors que les députés étaient en voie de le destituer.