105 kits scolaires du primaire, secondaire et supérieur. C'est ce don d'une valeur de 2843816 Fcfa que le président de la République de Côte d'Ivoire, Son Excellence Laurent Gbagbo a offert au collectif des patriotes victimes de la Licorne (Copavil). Ce geste du premier magistrat du pays fait suite à plusieurs initiatives déjà entreprises en faveur du Copavil depuis 5 ans. La cérémonie de remise du don s'est déroulée au siège de ladite structure à Cocody Deux-plateaux. Les membres du Copavil ont manifesté leur joie de recevoir ces kits. On se rappelle encore comme si c'était hier, comment ces patriotes ont lutté les mains nues face à la puissance coloniale.
Aujourd'hui, tous reconnaissent que les victimes sont les combattants de la liberté et ont lutté pour la dignité et la libération de l'Afrique. Le président du Collectif, M. Akoun Martial, a saisi l'occasion pour rendre un hommage mérité au président Gbagbo pour tout ce qu'il fait pour la structure qu'il dirige. Malgré plusieurs dizaines de victimes de la Licorne dont une centaine décédée, les victimes sont dans la droite ligne des accords politiques de Ouagadougou (Apo). Ce crime contre l'humanité, la France le reconnaît. Mais l'ensemble des victimes pardonne cela malgré la gravité des faits et demande un règlement à l'amiable. Maître Lucie Bourthoumieux, avocate au Barreau de Paris, joue actuellement un très grand rôle non seulement dans le rapprochement des deux peuples mais aussi que les victimes ne soient pas laissées pour compte. Car pour elle, un patriote c'est quelqu'un qui aiment son pays et qui est prêt à mourir pour lui. A l'image de Guy Moquet, ce jeune français de 17 ans qui a été fusillé le 21 octobre 1941 par la Gestapo pendant France-Allemagne. Avant sa mort, il a écrit une lettre à sa mère, libellée comme suit '' maman je vais mourir. Soit courageuse, car je vais mourir et j'espère que ma mort va servir de quelque chose à la France''. Plusieurs années plus tard, son exemple de patriotisme reste encore vivant dans l'esprit des français. Récemment, le président français, Nicolas Sarkozy, arrivé au pouvoir, a demandé aux jeunes écoliers français de résister à l'image de Guy Moquet parce que la lutte est un combat pour la liberté sans laquelle il n’y a pas de développement. Guy Moquet est mort à la tâche en résistant. C'est ce que plusieurs ivoiriens patriotes ont fait face à la Licorne les mains nues. Notons que le règlement à l'amiable se poursuit grâce à Maître Lucie Bourthoumieux pour le bonheur de la Côte d'Ivoire et de la France. Signalons que le siège du Copavil s'appelle Maison de Résistance.
Une correspondance particulière de B.B.G
Aujourd'hui, tous reconnaissent que les victimes sont les combattants de la liberté et ont lutté pour la dignité et la libération de l'Afrique. Le président du Collectif, M. Akoun Martial, a saisi l'occasion pour rendre un hommage mérité au président Gbagbo pour tout ce qu'il fait pour la structure qu'il dirige. Malgré plusieurs dizaines de victimes de la Licorne dont une centaine décédée, les victimes sont dans la droite ligne des accords politiques de Ouagadougou (Apo). Ce crime contre l'humanité, la France le reconnaît. Mais l'ensemble des victimes pardonne cela malgré la gravité des faits et demande un règlement à l'amiable. Maître Lucie Bourthoumieux, avocate au Barreau de Paris, joue actuellement un très grand rôle non seulement dans le rapprochement des deux peuples mais aussi que les victimes ne soient pas laissées pour compte. Car pour elle, un patriote c'est quelqu'un qui aiment son pays et qui est prêt à mourir pour lui. A l'image de Guy Moquet, ce jeune français de 17 ans qui a été fusillé le 21 octobre 1941 par la Gestapo pendant France-Allemagne. Avant sa mort, il a écrit une lettre à sa mère, libellée comme suit '' maman je vais mourir. Soit courageuse, car je vais mourir et j'espère que ma mort va servir de quelque chose à la France''. Plusieurs années plus tard, son exemple de patriotisme reste encore vivant dans l'esprit des français. Récemment, le président français, Nicolas Sarkozy, arrivé au pouvoir, a demandé aux jeunes écoliers français de résister à l'image de Guy Moquet parce que la lutte est un combat pour la liberté sans laquelle il n’y a pas de développement. Guy Moquet est mort à la tâche en résistant. C'est ce que plusieurs ivoiriens patriotes ont fait face à la Licorne les mains nues. Notons que le règlement à l'amiable se poursuit grâce à Maître Lucie Bourthoumieux pour le bonheur de la Côte d'Ivoire et de la France. Signalons que le siège du Copavil s'appelle Maison de Résistance.
Une correspondance particulière de B.B.G