Source: Africahit
Il n'a rien d'un grand artiste musicien comme ceux que nous connaissons ici chez nous. Sisqo est arrivé mercredi dans la salle de conférence de presse non revêtu de sa casquette d'un homme respectable. C'est à peine s'il n'a pas envoyé la presse à aller paître !
Un gentleman qui va vers la presse entrain de croûter une pomme, ne fait pas sérieux. Et pourtant c'est ce qui s'est passé avec notre Sisqo. Vulgaire, orgueilleux, imbu de lui-même, chacun avait son qualificatif à coller à l'homme l'autre jour à l'hôtel Venus, dans la commune de la Gombe. Et comme il fallait s'y attendre, la rencontre s'est terminée en queue de poisson. Incompréhension et désorganisation ont été les maîtres mots de la soirée. La tension était vive entre l'artiste et son producteur d'une part et les membres de la presse d'autre part. Chose grave, le chanteur de R&B a pris l'audace de marcher sur le drapeaucongolais après avoir quitté prématurément la salle.
Les chroniqueurs de musique fulminaient de colère à entendre ce jeune homme qui ne répondait nullement à toutes leurs interrogations. Comme si cela ne suffisait pas, même les promoteurs de l'évènement ont tenu des propos discourtois contre la presse présente à la conférence. Tous les journalistes étaient mécontents de cet acte de non réciprocité contre le respect et la dignité du quatrième pouvoir. Alors que la presse était invitée à couvrir laconférence de presse de l'artiste musicien américain (rappeur), Mark Althavan Andrews alias Sisqo. La conférence de presse précédait la production de l'artiste le samedi 19 décembre au Parking du somptueux Grand Hôtel Kinshasa.
Les chroniqueurs fustigent une désorganisation totale de la part du producteur de l'événement qui est congolais de souche résidant aux Etats-Unis. Dans une salle à moitié vide, on s'est retrouvé sans un modérateur pour diriger la communication entre l'artiste américain et les hommes de médias. Non seulement la communication était antisymétrique mais aussi il n'y avait pas d'interprète pour faciliter la compréhension de part et d'autre. Le désordre état donc total dans la salle.
Les Kinois boudent le spectacle annoncé! Tout a commencé juste lorsque un présentateur congolais de télé a posé la question de savoir si Sisqo connaissait Werrason, une grande star de la musique congolaise avec qui il devrait jouer sur une même scène à Kinshasa ? Alors que le Roi de la forêt était prêt à le recevoir et à l'assister pendant son séjour kinois. En réponse à cette question, la star américaine a déclaré n'avoir jamais eu le temps de côtoyer Werra, ni de près, ni de loin. Il affirme même n'avoir jamais entendu parler de la vedette congolaise. Il ne la connaît donc pas. Qu'a cela ne tienne, le chroniqueur de musique va revenir sur la même question.
C'est ainsi que SisQo va s'énerver pour claquer la porte en proférant des injures à l'endroit des membres de la presse congolaise. C'est à peine s'il n'a pas mis sa culotte sur l'épaule pour détaler parce que dans sa sortie précipitée, Sisqo va marcher sur le drapeaucongolais qui couvrait la table. Ce qui ravivera encore davantage la colère des hommes de médias mais aussi les observateurs avertis qui estiment que la star américaine ne doit plus se produire au GHK aussi longtemps qu'il ne demande pas pardon pour cet acte inhumain. Retenez qu'il y a 5 ans que SisQo est absent de la scène musicale aux Etats-Unis.
Il n'a rien d'un grand artiste musicien comme ceux que nous connaissons ici chez nous. Sisqo est arrivé mercredi dans la salle de conférence de presse non revêtu de sa casquette d'un homme respectable. C'est à peine s'il n'a pas envoyé la presse à aller paître !
Un gentleman qui va vers la presse entrain de croûter une pomme, ne fait pas sérieux. Et pourtant c'est ce qui s'est passé avec notre Sisqo. Vulgaire, orgueilleux, imbu de lui-même, chacun avait son qualificatif à coller à l'homme l'autre jour à l'hôtel Venus, dans la commune de la Gombe. Et comme il fallait s'y attendre, la rencontre s'est terminée en queue de poisson. Incompréhension et désorganisation ont été les maîtres mots de la soirée. La tension était vive entre l'artiste et son producteur d'une part et les membres de la presse d'autre part. Chose grave, le chanteur de R&B a pris l'audace de marcher sur le drapeaucongolais après avoir quitté prématurément la salle.
Les chroniqueurs de musique fulminaient de colère à entendre ce jeune homme qui ne répondait nullement à toutes leurs interrogations. Comme si cela ne suffisait pas, même les promoteurs de l'évènement ont tenu des propos discourtois contre la presse présente à la conférence. Tous les journalistes étaient mécontents de cet acte de non réciprocité contre le respect et la dignité du quatrième pouvoir. Alors que la presse était invitée à couvrir laconférence de presse de l'artiste musicien américain (rappeur), Mark Althavan Andrews alias Sisqo. La conférence de presse précédait la production de l'artiste le samedi 19 décembre au Parking du somptueux Grand Hôtel Kinshasa.
Les chroniqueurs fustigent une désorganisation totale de la part du producteur de l'événement qui est congolais de souche résidant aux Etats-Unis. Dans une salle à moitié vide, on s'est retrouvé sans un modérateur pour diriger la communication entre l'artiste américain et les hommes de médias. Non seulement la communication était antisymétrique mais aussi il n'y avait pas d'interprète pour faciliter la compréhension de part et d'autre. Le désordre état donc total dans la salle.
Les Kinois boudent le spectacle annoncé! Tout a commencé juste lorsque un présentateur congolais de télé a posé la question de savoir si Sisqo connaissait Werrason, une grande star de la musique congolaise avec qui il devrait jouer sur une même scène à Kinshasa ? Alors que le Roi de la forêt était prêt à le recevoir et à l'assister pendant son séjour kinois. En réponse à cette question, la star américaine a déclaré n'avoir jamais eu le temps de côtoyer Werra, ni de près, ni de loin. Il affirme même n'avoir jamais entendu parler de la vedette congolaise. Il ne la connaît donc pas. Qu'a cela ne tienne, le chroniqueur de musique va revenir sur la même question.
C'est ainsi que SisQo va s'énerver pour claquer la porte en proférant des injures à l'endroit des membres de la presse congolaise. C'est à peine s'il n'a pas mis sa culotte sur l'épaule pour détaler parce que dans sa sortie précipitée, Sisqo va marcher sur le drapeaucongolais qui couvrait la table. Ce qui ravivera encore davantage la colère des hommes de médias mais aussi les observateurs avertis qui estiment que la star américaine ne doit plus se produire au GHK aussi longtemps qu'il ne demande pas pardon pour cet acte inhumain. Retenez qu'il y a 5 ans que SisQo est absent de la scène musicale aux Etats-Unis.