« Je me décide à faire ceci, à défaire cela, à parfaire ici, à méfaire là-bas : c’est ma vision...ma vision du monde. » Décision et Vision, l’une avant ou après l’autre, c’est cela qui détermine l’être humain : cet être que je suis, cet être que tu es, un être qui doit se miner, se terminer et se déterminer avec, par et pour tout ce qui est humain.
Le poète latin TERENCE le déclamait : « Je suis homme, et rien de ce qui est humain ne m’est étranger ».
Justement, pour ne pas être étranger à ce qui se passe autour de toi, pour ne pas être dépassé par les événements, ou être repassé par les avènements, il y a trois petites opérations qui pèseront sur tes décisions et allègeront ta vision du monde.
Primo, il faut t’informer. Et cela va de l’information la plus bénigne à la plus maligne, de la plus
insignifiante à la plus imposante. Et s’informer au jour le jour, c’est aussi mettre à jour sa vision du monde. Les plus jeunes diront : "être branché", ce qui signifie "être au courant" des tendances (et danses…) sans être électrocuté. Cela permet d’avoir le savoir sûr, sur aussi bien ce qui est d’actualité que ce qui de l’antiquité. Sais-tu par exemple que, depuis des lustres, certains de nos ancêtres (à peau d’ébène ou de coton) utilisaient déjà la carotte pour guérir les maux d’yeux, juste en considérant qu’une tranche de carotte ressemble à l’œil humain avec sa pupille, son iris et ses lignes radiales ? Or, la science démontre aujourd’hui que les carottes améliorent énormément la circulation sanguine et la vision. Et si ta vision physique se porte bien, ta vision psychique s’en portera mieux. Conclusion, tu dois t’informer.
Secundo, il faut te former. Il ne s’agit pas seulement d’une formation théorique, tu y adjoins une formation théorique, en considérant déjà que l’outil informatique maîtrisé fait déjà partie des formations pratiques obligatoires actuellement. Se former, c’est en fait mettre au point les stratégies et stratagèmes permettant de consolider sa vision du monde. Ceci permet d’avoir le savoir-faire bien fait, qui te libère de certaines contraintes comme celle de voir à travers les lunettes des autres, ce qui ne te met pas dans ta propre vision du monde. Tu sais déjà que la vision recouvre l'ensemble des mécanismes physiologiques et psychologiques par lesquels la lumière évalue les formes et les couleurs, les mouvements et les distances. Ces mécanismes qui font intervenir l'œil, organe récepteur de la vue, sont aussi modelés par le savoir-faire appliqué pour leur maniement et manipulation. Alors, la formation revient sur le tas, pour que ta vision se concrétise. Conclusion, tu dois te former.
Tertio, il faut te transformer, et réussir à ne pas te déformer. Quand par rapport à un acte précis, une action incise, une activité incisive, tu répliques « excusez-moi, déformation professionnelle », il faut que cela soit une transformation positive pour toi, et non une atrophie ou une hypertrophie négative. De ce fait, il ne faut pas que ta vision ne tourne pas rond, il ta faut une vision claire et nette des actes, actions et activités que tu honores. Il ne faut pas que ta vison du monde souffre de presbytie ou de myopie, d’amblyopie ou d’hypermétropie, de strabisme ou d’astigmatisme, de daltonisme ou de glaucome … Il faut donc la transformer par des actions mélioratives, par rapport à tes informations sériées, puis relativement à tes formations sérieuses. Conclusion, tu dois te transformer… positivement…
C’est à cette manœuvre, cette manipulation et ce maniement que se sont exercés les Jeunes Entrepreneurs Africains, brillants et performants que nous t’avons présentés dans ce numéro de ton magazine. De CONDE Amara à YAOGO Denise en passant par DAGRY Mandy, HOUGNON Gildas, SOUMANOU Raïmi et VODOUNHE Luc, leurs expériences font déjà école, et nourrissent les espérances des jeunes qui les entourent. Tu peux aller relire les propos ou à-propos relatifs à leur ascension sociale tant sur le plan local que sur celui global.
Et à propos d’ascension, le transport en commun au Bénin est encore en train de faire sa révolution des bus inter-États et des minibus interurbains. Au Sénégal, la société étatique Dakar Dem Dikk (DDD) parfait déjà sa révolution avec ses bus, alors que l’Association Financière des Transporteurs Urbains (AFTU) fait aussi son évolution avec ses minibus, pendant que les Cars rapides roulent leurs carapaces de tortues. Au Togo, point de minibus ou de bus actuellement dans la capitale… Au Gabon… Bref, un autre numéro reviendra certainement sur ce genre de transports en commun.
Avancée en commun, c’est un peu le parallélisme que tu as dû lire sur UBA, Access Bank et Diamond Bank qui investiguent l’Afrique de l’Ouest et investissent un peu partout en Afrique. Tandis que l’Espace de l’Union Economique et Monétaire Ouest-Africaine (UEMOA) s’invite dans la démocratisation des cartes bancaires. Pendant ce temps, la dette extérieure de la Côte d’Ivoire est en annulation arithmétiquement répétitive.
L’arithmétique nous a fait compter trois, six, dix et cent : trois (3) étapes pour éviter de fixer un prix qui déclenche une guerre de prix, six (6) étapes pour évaluer une opportunité d’affaires, dix (10) phrases pour inviter l’exacerbation et la frustration chez un client, cent (100) secrets pour inspirer gagner la confiance chez les autres.
Les autres! Voilà un mot lâché! Les autres! Pourquoi les autres ? Tout simplement parce que l’humain est social de nature et sociable de vertu. As-tu alors testé ta capacité d’efficacité, d’organisation et de planification pour pouvoir diriger les autres ? Veux-tu vraiment les diriger et bien le faire ? Si tu n’as pas encore fait le test, retourne aux pages précédentes… afin de bien innover et performer, pour booster toute innovation et toute performance. Sinon, carton rouge à toi! Surtout si tu es repéré comme tueur d’innovation.
Mais, en innovant, ne sois pas cupide et avide, au point d’être traité d’avare. Et, sais-tu quel est le comble de l'avarice ? C'est de suivre la messe à la télévision et de l'éteindre au moment de la quête. Et le comble de l’avidité ? C’est de vomir entre ses dents pour garder les plus gros morceaux. Le comble de la cupidité ? C’est d’offrir son corps à la science pour éviter les frais d'enterrement.
Alors, décide-toi, vois le monde avec des "verres-à-voir", non pas des "verres-à-boire" pour te saouler de négativité et d’antivaleurs, sans savourer la positivité des valeurs.
J’attends que tu me donnes des nouvelles de ta décision et de ta vision du monde, après t’être informé, formé et transformé positivement sans être négativement déformé.
Le prochain numéro t’attend.
Patrick DJOSSOU, Chef d’Edition
Le poète latin TERENCE le déclamait : « Je suis homme, et rien de ce qui est humain ne m’est étranger ».
Justement, pour ne pas être étranger à ce qui se passe autour de toi, pour ne pas être dépassé par les événements, ou être repassé par les avènements, il y a trois petites opérations qui pèseront sur tes décisions et allègeront ta vision du monde.
Primo, il faut t’informer. Et cela va de l’information la plus bénigne à la plus maligne, de la plus
insignifiante à la plus imposante. Et s’informer au jour le jour, c’est aussi mettre à jour sa vision du monde. Les plus jeunes diront : "être branché", ce qui signifie "être au courant" des tendances (et danses…) sans être électrocuté. Cela permet d’avoir le savoir sûr, sur aussi bien ce qui est d’actualité que ce qui de l’antiquité. Sais-tu par exemple que, depuis des lustres, certains de nos ancêtres (à peau d’ébène ou de coton) utilisaient déjà la carotte pour guérir les maux d’yeux, juste en considérant qu’une tranche de carotte ressemble à l’œil humain avec sa pupille, son iris et ses lignes radiales ? Or, la science démontre aujourd’hui que les carottes améliorent énormément la circulation sanguine et la vision. Et si ta vision physique se porte bien, ta vision psychique s’en portera mieux. Conclusion, tu dois t’informer.
Secundo, il faut te former. Il ne s’agit pas seulement d’une formation théorique, tu y adjoins une formation théorique, en considérant déjà que l’outil informatique maîtrisé fait déjà partie des formations pratiques obligatoires actuellement. Se former, c’est en fait mettre au point les stratégies et stratagèmes permettant de consolider sa vision du monde. Ceci permet d’avoir le savoir-faire bien fait, qui te libère de certaines contraintes comme celle de voir à travers les lunettes des autres, ce qui ne te met pas dans ta propre vision du monde. Tu sais déjà que la vision recouvre l'ensemble des mécanismes physiologiques et psychologiques par lesquels la lumière évalue les formes et les couleurs, les mouvements et les distances. Ces mécanismes qui font intervenir l'œil, organe récepteur de la vue, sont aussi modelés par le savoir-faire appliqué pour leur maniement et manipulation. Alors, la formation revient sur le tas, pour que ta vision se concrétise. Conclusion, tu dois te former.
Tertio, il faut te transformer, et réussir à ne pas te déformer. Quand par rapport à un acte précis, une action incise, une activité incisive, tu répliques « excusez-moi, déformation professionnelle », il faut que cela soit une transformation positive pour toi, et non une atrophie ou une hypertrophie négative. De ce fait, il ne faut pas que ta vision ne tourne pas rond, il ta faut une vision claire et nette des actes, actions et activités que tu honores. Il ne faut pas que ta vison du monde souffre de presbytie ou de myopie, d’amblyopie ou d’hypermétropie, de strabisme ou d’astigmatisme, de daltonisme ou de glaucome … Il faut donc la transformer par des actions mélioratives, par rapport à tes informations sériées, puis relativement à tes formations sérieuses. Conclusion, tu dois te transformer… positivement…
C’est à cette manœuvre, cette manipulation et ce maniement que se sont exercés les Jeunes Entrepreneurs Africains, brillants et performants que nous t’avons présentés dans ce numéro de ton magazine. De CONDE Amara à YAOGO Denise en passant par DAGRY Mandy, HOUGNON Gildas, SOUMANOU Raïmi et VODOUNHE Luc, leurs expériences font déjà école, et nourrissent les espérances des jeunes qui les entourent. Tu peux aller relire les propos ou à-propos relatifs à leur ascension sociale tant sur le plan local que sur celui global.
Et à propos d’ascension, le transport en commun au Bénin est encore en train de faire sa révolution des bus inter-États et des minibus interurbains. Au Sénégal, la société étatique Dakar Dem Dikk (DDD) parfait déjà sa révolution avec ses bus, alors que l’Association Financière des Transporteurs Urbains (AFTU) fait aussi son évolution avec ses minibus, pendant que les Cars rapides roulent leurs carapaces de tortues. Au Togo, point de minibus ou de bus actuellement dans la capitale… Au Gabon… Bref, un autre numéro reviendra certainement sur ce genre de transports en commun.
Avancée en commun, c’est un peu le parallélisme que tu as dû lire sur UBA, Access Bank et Diamond Bank qui investiguent l’Afrique de l’Ouest et investissent un peu partout en Afrique. Tandis que l’Espace de l’Union Economique et Monétaire Ouest-Africaine (UEMOA) s’invite dans la démocratisation des cartes bancaires. Pendant ce temps, la dette extérieure de la Côte d’Ivoire est en annulation arithmétiquement répétitive.
L’arithmétique nous a fait compter trois, six, dix et cent : trois (3) étapes pour éviter de fixer un prix qui déclenche une guerre de prix, six (6) étapes pour évaluer une opportunité d’affaires, dix (10) phrases pour inviter l’exacerbation et la frustration chez un client, cent (100) secrets pour inspirer gagner la confiance chez les autres.
Les autres! Voilà un mot lâché! Les autres! Pourquoi les autres ? Tout simplement parce que l’humain est social de nature et sociable de vertu. As-tu alors testé ta capacité d’efficacité, d’organisation et de planification pour pouvoir diriger les autres ? Veux-tu vraiment les diriger et bien le faire ? Si tu n’as pas encore fait le test, retourne aux pages précédentes… afin de bien innover et performer, pour booster toute innovation et toute performance. Sinon, carton rouge à toi! Surtout si tu es repéré comme tueur d’innovation.
Mais, en innovant, ne sois pas cupide et avide, au point d’être traité d’avare. Et, sais-tu quel est le comble de l'avarice ? C'est de suivre la messe à la télévision et de l'éteindre au moment de la quête. Et le comble de l’avidité ? C’est de vomir entre ses dents pour garder les plus gros morceaux. Le comble de la cupidité ? C’est d’offrir son corps à la science pour éviter les frais d'enterrement.
Alors, décide-toi, vois le monde avec des "verres-à-voir", non pas des "verres-à-boire" pour te saouler de négativité et d’antivaleurs, sans savourer la positivité des valeurs.
J’attends que tu me donnes des nouvelles de ta décision et de ta vision du monde, après t’être informé, formé et transformé positivement sans être négativement déformé.
Le prochain numéro t’attend.
Patrick DJOSSOU, Chef d’Edition