La 10e Nuit des Etoiles organisée par la structure Wendy & Co le 02 janvier 2010 au Palais de la Culture, a tenu toutes ses promesses : excellente prestation des artistes invités, jeu en live séduisant et captivant de musiciens pétris de talent, participation chaleureuse et massive du public, etc.
C’est Barbara Kanam, la plus habituée à la nuit des Etoiles, qui donne le tempo en ouvrant le bal. Son répertoire est bien connu du public qui réagit en chœur. Elle a bénéficié pendant son tour de passage, du soutien de l’autre artiste congolais Awilo Logomba dans un sulfureux « L’argent appelle l’argent » exécuté en duo et qui révèle toute la complicité plus ou moins connue des deux artistes.
Dobet Gnahoré, la moins bien connue des trois artistes de la soirée (dans le registre des chanteurs) a pour sa part réussi son baptême du feu en illuminant la salle Ernesto Djédjé/Lougah François de tout son talent. Chanteuse, chorégraphe et instrumentiste, Dobet Gnahoré la fille de l’excellent percussionniste chanteur Boni Gnahoré, a su occuper toute la scène, avec des textes forts et engagés, en complicité avec les musiciens au nombre desquels son époux. Et cela au grand plaisir du public qui en redemandait. Le père de l’artiste présent dans la salle, venu soutenir sa fille, apprécie.
Le dernier passage de ce trio de charme au Palais de la Culture a été l’affaire de Manu Gallo, grande instrumentiste, bassiste de talent. Elle parcourt à son tour son répertoire dont un titre est exécuté en hommage posthume à l’artiste Marcelin Yacé disparu en 2002 et avec qui elle avait fait les beaux jours du groupe Woya dans le temps.
Pour l`une et l’autre des trois artistes Etoiles de la soirée, le public qui a pris d’assaut la salle des 1500 places du Palais de la Culture malgré l’heure tardive, n’a pas regretté d’avoir fait le déplacement.
C’est Barbara Kanam, la plus habituée à la nuit des Etoiles, qui donne le tempo en ouvrant le bal. Son répertoire est bien connu du public qui réagit en chœur. Elle a bénéficié pendant son tour de passage, du soutien de l’autre artiste congolais Awilo Logomba dans un sulfureux « L’argent appelle l’argent » exécuté en duo et qui révèle toute la complicité plus ou moins connue des deux artistes.
Dobet Gnahoré, la moins bien connue des trois artistes de la soirée (dans le registre des chanteurs) a pour sa part réussi son baptême du feu en illuminant la salle Ernesto Djédjé/Lougah François de tout son talent. Chanteuse, chorégraphe et instrumentiste, Dobet Gnahoré la fille de l’excellent percussionniste chanteur Boni Gnahoré, a su occuper toute la scène, avec des textes forts et engagés, en complicité avec les musiciens au nombre desquels son époux. Et cela au grand plaisir du public qui en redemandait. Le père de l’artiste présent dans la salle, venu soutenir sa fille, apprécie.
Le dernier passage de ce trio de charme au Palais de la Culture a été l’affaire de Manu Gallo, grande instrumentiste, bassiste de talent. Elle parcourt à son tour son répertoire dont un titre est exécuté en hommage posthume à l’artiste Marcelin Yacé disparu en 2002 et avec qui elle avait fait les beaux jours du groupe Woya dans le temps.
Pour l`une et l’autre des trois artistes Etoiles de la soirée, le public qui a pris d’assaut la salle des 1500 places du Palais de la Culture malgré l’heure tardive, n’a pas regretté d’avoir fait le déplacement.
