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Société Publié le mardi 5 janvier 2010 | Le Patriote

Vœux des acteurs de la société civile

A l’occasion du nouvel an, des leaders syndicaux et des dignitaires religieux expriment leurs souhaits pour les douze prochains mois.

Dr Ernest Atté Boka, porte-parole du collectif du personnel de la santé : « Que le gouvernement ait une hauteur d’esprit »

« Nous souhaitons une bonne et heureuse année à tous et surtout une bonne santé à la population. Que l’année 2010 soit l’aboutissement de notre lutte. Que tout ce qui a été promis soit réalisé. Notamment la revalorisation de notre grille salariale, et l’adoption de notre statut particulier. Que le gouvernement ait une hauteur d’esprit dans la gestion de notre dossier. Il ne faudrait plus que le personnel de la santé soit mal dans sa peau. »


L’abbé Brou Augustin (responsable de communication de l’église catholique) : « Que l’élu de peuple soit porté à la tête de la nation »

« Pour cette année 2010, mon vœu est que la Côte d’Ivoire retrouve la paix. Que les Ivoiriens soient plus unis pour une Côte d’Ivoire pacifiée dans l’amour. Mon souhait est que également que les élections se tiennent cette année dans la transparence afin de porter à la tête de la nation, l’élu du peuple. »


Pr Flavien Traoré (porte-parole de la Cnec) : « Que nos deux décrets soient appliqués »

« Nous souhaitons une bonne et heureuse année 2010 à tous et à toutes. Mais cette année, nous souhaitons que nos deux décrets essentiels soient appliqués .Notamment celui portant grille particulière des enseignants du Supérieur et chercheurs et le décret relatif à la bi –appartenance. A cela s’ajoute le paiement des arriérés des heures complémentaires de 2007-2008 et de 2008-2009. Lesquels s’élèvent à 3,6 milliards de FCFA. Et sur ce montant, seulement un milliard a été apuré. Nous souhaitons également que nous soyons payés les 30 du mois et non les 10 voire les 15 de chaque de mois. Que nos primes de recherche soient payées aux dates indiquées. Sans oublier le rétablissement des salaires des trente-deux personnes membres du Bureau Exécutif National (BEN) de la Coordination Nationale des Enseignants du Supérieur et Chercheurs de Côte d’Ivoire (CNEC). En tout cas, si toutes ces revendications sont satisfaites non seulement, nous serons les plus heureux, mais aussi le calme reviendra dans nos universités pendant au moins une décennie. La balle est donc dans le camp du gouvernement ivoirien. Pour l’heure, pas de grève jusqu’au 5 février prochain. Date à laquelle nous tiendrons une assemblée générale pour faire le point de nos revendications. »

Dao Maïmouna
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