Des acteurs majeurs du paysage médiatique expriment ici tout ce qu’ils souhaitent pour la corporation en 2010.
Dénis Zion Kah (Président du GEPCI) : « Sécurité pour nos entreprises et travailleurs »
« En ma qualité de président du Groupement des Editeurs de Presse de Côte d’Ivoire (GEPCI), je souhaite la viabilité des entreprises afin que la situation des travailleurs du secteur des médias s’améliore. De même qu’il ne peut y avoir de patrons d’entreprise sans travailleurs, autant il ne peut y avoir de travailleurs sans entreprises de presse. Dans tous les cas, nous, au GEPCI, nous explorons toutes les pistes pour que nos travailleurs soient dans de meilleures conditions. C’est pourquoi, nous souhaitons la paix dans toutes les rédactions et aussi que l’esprit de confraternité soit le quotidien des journalistes. Nos vœux également pour la sécurité de nos sièges et des journalistes sur leurs lieux de travail et sur les lieux de reportage. Et à ce sujet, notre vœu est de voir les gouvernants prendre toutes les dispositions pour que la sécurité de nos sièges soit assurée de sorte que quiconque, en toute impunité, ne saccage pas nos sièges, car la Côte d’ivoire a besoin de sa presse pour le renforcement de la démocratie. Aux éditeurs et aux journalistes, nous souhaitons la cohésion. En tout cas, nous souhaitons que 2010 soit une année de paix et de bonheur pour les journalistes et que l’entente, en dépit de leurs différences éditoriales, soit de mise entre confrères et qu’ils ne se regardent pas comme des ennemis.»
Guillaume Gbato (SG du SYNAPPCI) : « C’est l’année de l’application de la Convention »
« Pour nous, au Syndicat National des Agents de la Presse Privée de Côte d’Ivoire (SYNAPPCI), 2010 reste l’année de l’application de la Convention collective de la presse privée de Côte d’Ivoire. Au-delà de la Convention, nous souhaitons que tous les accords signés pour l’amélioration des conditions des travailleurs des médias soient traduits en actes concrets. Nos vœux de santé et de reconnaissances accompagnent aussi le ministre Ibrahim Sy Savané, notre ministre de tutelle. Sans sa connaissance des dossiers, et son implication personnelle dans les différentes négociations, nous n’aurions pas connu des avancées notables aujourd’hui. Nous souhaitons également que le statut des agents des radios privées soit clarifié fin que nos camarades aient le minimum vital. En tout cas, nous souhaitons la paix pour tous les travailleurs des médias et une paix durable pour la Côte d’Ivoire. »
Paulin Criwa Zéli (Pdt UNJCI)
“Paix, libre expression et bien-être pour les journalistes”
« Le législateur ivoirien a voté une loi sur la presse qui contient des innovations majeures. Que les journalistes se saisissent des dispositions de cette loi pour se battre pour l’amélioration de leurs conditions de vie, à savoir l’application de la Convention collective. Que le GEPCI et le SYNAPPCI, les partenaires qui ont signé le document cadre, trouvent les modalités d’application de cette Convention, parce que la situation est difficile pour le journaliste ivoirien. Cela se voit lorsqu’un journaliste est malade, lorsqu’il est éploré…Que les réformes s’appuyant sur cette nouvelle loi s’appliquent avec l’implication soutenue des organisations comme le CNP, le CNCA, le GEPCI. Autre chose, dans le sens des perspectives, l’UNJCI organise déjà le 13 janvier prochain, à la Maison de la Presse au Plateau, un déjeuner de presse à l’intention de ses membres pour leur souhaiter une bonne, heureuse et sainte année. Aussi souhaitons- nous plein succès au Patriote qui évolue avec sa ligne éditoriale dans le journalisme professionnel. Parce que le journaliste est là pour informer, critiquer de façon objective, c’est ce que vous faites et nous invitons tous les journalistes à traiter l’information avec professionnalisme et responsabilité. Surtout en cette période électorale.»
Par Jean- Antoine Doudou
Dénis Zion Kah (Président du GEPCI) : « Sécurité pour nos entreprises et travailleurs »
« En ma qualité de président du Groupement des Editeurs de Presse de Côte d’Ivoire (GEPCI), je souhaite la viabilité des entreprises afin que la situation des travailleurs du secteur des médias s’améliore. De même qu’il ne peut y avoir de patrons d’entreprise sans travailleurs, autant il ne peut y avoir de travailleurs sans entreprises de presse. Dans tous les cas, nous, au GEPCI, nous explorons toutes les pistes pour que nos travailleurs soient dans de meilleures conditions. C’est pourquoi, nous souhaitons la paix dans toutes les rédactions et aussi que l’esprit de confraternité soit le quotidien des journalistes. Nos vœux également pour la sécurité de nos sièges et des journalistes sur leurs lieux de travail et sur les lieux de reportage. Et à ce sujet, notre vœu est de voir les gouvernants prendre toutes les dispositions pour que la sécurité de nos sièges soit assurée de sorte que quiconque, en toute impunité, ne saccage pas nos sièges, car la Côte d’ivoire a besoin de sa presse pour le renforcement de la démocratie. Aux éditeurs et aux journalistes, nous souhaitons la cohésion. En tout cas, nous souhaitons que 2010 soit une année de paix et de bonheur pour les journalistes et que l’entente, en dépit de leurs différences éditoriales, soit de mise entre confrères et qu’ils ne se regardent pas comme des ennemis.»
Guillaume Gbato (SG du SYNAPPCI) : « C’est l’année de l’application de la Convention »
« Pour nous, au Syndicat National des Agents de la Presse Privée de Côte d’Ivoire (SYNAPPCI), 2010 reste l’année de l’application de la Convention collective de la presse privée de Côte d’Ivoire. Au-delà de la Convention, nous souhaitons que tous les accords signés pour l’amélioration des conditions des travailleurs des médias soient traduits en actes concrets. Nos vœux de santé et de reconnaissances accompagnent aussi le ministre Ibrahim Sy Savané, notre ministre de tutelle. Sans sa connaissance des dossiers, et son implication personnelle dans les différentes négociations, nous n’aurions pas connu des avancées notables aujourd’hui. Nous souhaitons également que le statut des agents des radios privées soit clarifié fin que nos camarades aient le minimum vital. En tout cas, nous souhaitons la paix pour tous les travailleurs des médias et une paix durable pour la Côte d’Ivoire. »
Paulin Criwa Zéli (Pdt UNJCI)
“Paix, libre expression et bien-être pour les journalistes”
« Le législateur ivoirien a voté une loi sur la presse qui contient des innovations majeures. Que les journalistes se saisissent des dispositions de cette loi pour se battre pour l’amélioration de leurs conditions de vie, à savoir l’application de la Convention collective. Que le GEPCI et le SYNAPPCI, les partenaires qui ont signé le document cadre, trouvent les modalités d’application de cette Convention, parce que la situation est difficile pour le journaliste ivoirien. Cela se voit lorsqu’un journaliste est malade, lorsqu’il est éploré…Que les réformes s’appuyant sur cette nouvelle loi s’appliquent avec l’implication soutenue des organisations comme le CNP, le CNCA, le GEPCI. Autre chose, dans le sens des perspectives, l’UNJCI organise déjà le 13 janvier prochain, à la Maison de la Presse au Plateau, un déjeuner de presse à l’intention de ses membres pour leur souhaiter une bonne, heureuse et sainte année. Aussi souhaitons- nous plein succès au Patriote qui évolue avec sa ligne éditoriale dans le journalisme professionnel. Parce que le journaliste est là pour informer, critiquer de façon objective, c’est ce que vous faites et nous invitons tous les journalistes à traiter l’information avec professionnalisme et responsabilité. Surtout en cette période électorale.»
Par Jean- Antoine Doudou