A la place des œuvres éducatives, les musiciens se sont cependant, à outrance lancés dans l’immoralité. Certains ont versé, une fois de plus, dans des conflits interminables.
Il y a lieu de noter la confirmation de la nouvelle vague musicale congolaise sur le marché du disque. La scène musicale congolaise s’est enrichie, une fois de plus, sur le plan discographique de beaucoup d’albums produits par les musiciens. A la place des œuvres éducatives, ces derniers se sont cependant, à outrance lancés dans l’immoralité.
En outre, il y a lieu de noter la confirmation de la nouvelle vague musicale congolaise sur le marché du disque et aussi le mauvais comportement de certains artistes qui ont versé, une fois de plus, dans des conflits interminables.
Le marché du disque congolais a de nouveau connu des moments forts avec le lancement de plusieurs albums des artistes musiciens durant l’année 2009.
A titre d’illustration, l’on citera les récentes œuvres PARMI lesquelles « Techno Malewa », premier volume de l’opus de Noël Ngiama Werrason et son orchestre Wenge Musica Maison Mère. Il y a aussi l’album « Arsenal des belles mélodies » de Fally Ipupa dit « Dicaprio », l’album « Qui est derrière toi ?» de Ferré Gola Chair de poule, « Sikila » de Tshala Muana et Meje 30, …
Malheureusement, pour un certain nombre de tubes lancés durant l’année 2009, l’on a déploré les immoralités qui se sont renforcées dans la chanson congolaise.
Comme nous pouvons le constater aujourd’hui, les artistes congolais produisent des œuvres qui ont des thèmes basés généralement sur l’amour et la femme, et surtout sur l’intimité humaine, contrairement à la belle époque ; celle de Luambo Makiadi Franco et un peu plus loin de Wendo Kolosoy, où les thèmes évoquaient le patriotisme, le développement, la lutte contre les anti-valeurs ou encore des sujets d’actualité.
L’on se rappellera la chanson « Très impoli » de Franco Luambo, où l’artiste a, du début à la fin, dénoncé les antivaleurs, en ramenant les auditeurs vers le bon sens. Ce qui n’est pas le cas avec les artistes congolais qui font actuellement les hits- parades.
Les artistes, qui sont censés éduquer la masse par leurs chansons, composent, des chansons comme s’ils n’évoluaient pas dans la société qui présente une multitude des sujets à dénoncer, à encourager et à développer dans leurs œuvres discographiques. La masse ne reconnaît plus ses artistes qui, au lieu d’une détente, leur offrent des œuvres dont les contenus sont pour la plus part obscènes.
Pour être plus précis, dans le tout dernier album « Qui est derrière toi ?» de l’artiste musicien Ferré Gola, qui occupe une bonne place dans la chronique, a choqué plus d’un mélomane.
Cet album de l’ancien musicien du groupe Wenge Musica Maison Mère comporte des paroles très obscènes allant dans le sens de la dépravation des moeurs.
A Fally Ipupa, son éternel rival, d’envenimer la situation - avec son album qui cartonne actuellement à Kinshasa dénommé « Arsenal des belles mélodies », en l’occurrence la chanson « Nyokalese », où l’on retrouve des phrases encourageant aussi la dépravation des moeurs. Tout cela sous la barbe de la fameuse commission de censure et sous l’œil complice des ministères tant national que provincial de la culture.
Dieumerci Mayambi/Forum des As
Il y a lieu de noter la confirmation de la nouvelle vague musicale congolaise sur le marché du disque. La scène musicale congolaise s’est enrichie, une fois de plus, sur le plan discographique de beaucoup d’albums produits par les musiciens. A la place des œuvres éducatives, ces derniers se sont cependant, à outrance lancés dans l’immoralité.
En outre, il y a lieu de noter la confirmation de la nouvelle vague musicale congolaise sur le marché du disque et aussi le mauvais comportement de certains artistes qui ont versé, une fois de plus, dans des conflits interminables.
Le marché du disque congolais a de nouveau connu des moments forts avec le lancement de plusieurs albums des artistes musiciens durant l’année 2009.
A titre d’illustration, l’on citera les récentes œuvres PARMI lesquelles « Techno Malewa », premier volume de l’opus de Noël Ngiama Werrason et son orchestre Wenge Musica Maison Mère. Il y a aussi l’album « Arsenal des belles mélodies » de Fally Ipupa dit « Dicaprio », l’album « Qui est derrière toi ?» de Ferré Gola Chair de poule, « Sikila » de Tshala Muana et Meje 30, …
Malheureusement, pour un certain nombre de tubes lancés durant l’année 2009, l’on a déploré les immoralités qui se sont renforcées dans la chanson congolaise.
Comme nous pouvons le constater aujourd’hui, les artistes congolais produisent des œuvres qui ont des thèmes basés généralement sur l’amour et la femme, et surtout sur l’intimité humaine, contrairement à la belle époque ; celle de Luambo Makiadi Franco et un peu plus loin de Wendo Kolosoy, où les thèmes évoquaient le patriotisme, le développement, la lutte contre les anti-valeurs ou encore des sujets d’actualité.
L’on se rappellera la chanson « Très impoli » de Franco Luambo, où l’artiste a, du début à la fin, dénoncé les antivaleurs, en ramenant les auditeurs vers le bon sens. Ce qui n’est pas le cas avec les artistes congolais qui font actuellement les hits- parades.
Les artistes, qui sont censés éduquer la masse par leurs chansons, composent, des chansons comme s’ils n’évoluaient pas dans la société qui présente une multitude des sujets à dénoncer, à encourager et à développer dans leurs œuvres discographiques. La masse ne reconnaît plus ses artistes qui, au lieu d’une détente, leur offrent des œuvres dont les contenus sont pour la plus part obscènes.
Pour être plus précis, dans le tout dernier album « Qui est derrière toi ?» de l’artiste musicien Ferré Gola, qui occupe une bonne place dans la chronique, a choqué plus d’un mélomane.
Cet album de l’ancien musicien du groupe Wenge Musica Maison Mère comporte des paroles très obscènes allant dans le sens de la dépravation des moeurs.
A Fally Ipupa, son éternel rival, d’envenimer la situation - avec son album qui cartonne actuellement à Kinshasa dénommé « Arsenal des belles mélodies », en l’occurrence la chanson « Nyokalese », où l’on retrouve des phrases encourageant aussi la dépravation des moeurs. Tout cela sous la barbe de la fameuse commission de censure et sous l’œil complice des ministères tant national que provincial de la culture.
Dieumerci Mayambi/Forum des As