Le secrétaire général dissident de la Fesci, Zagol Alain, n'est pas content. Selon lui, le communiqué de ministère de l'Intérieur ne fait que troubler davantage la quiétude des établissements scolaires.
L'affaire Mian-Zagol prend une autre tournure. Le gouvernement a décidé de s'y intéresser à travers un communiqué du ministère de l'Intérieur daté du jeudi 7 janvier et paru au journal télévisé de 20 heures, samedi. Suite à cela, la réaction de Zagol Alain Durand, secrétaire général dissident, ne se fait pas attendre. « Ce funeste communiqué signé de M. Tokpa Vehi, directeur de cabinet du ministre de l'Intérieur ne nous concerne pas et n'engage que lui seul », a-t-il réagi. C’était au cours d'une conférence de presse tenue hier au lycée municipal d'Attécoubé. Selon lui, le ministère de l'Intérieur n'est pas habilité à légitimer un secrétaire général de la Fesci. En outre, il affirme que le communiqué est nul et de nul effet au regard du règlement intérieur de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d'Ivoire (Fesci). Zagol indique que selon le communiqué, c'est le secrétaire général sortant qui convoque le congrès. Or, le règlement intérieur en son article 3, alinéa 1 stipule que seul le Bureau exécutif national est habilité à convoquer le congrès et non un individu. “Hugo Chavez”, secrétaire général dissident, note que cette sortie du collaborateur de Désiré Tagro n'a qu'un seul objectif : les présenter comme le clan de la violence. Il a rappelé que sa mission est de libérer la Fesci, qui est devenue un instrument à la disposition de Kacou Brou dit maréchal K.B., et de la remettre aux élèves et étudiants. Rappelons que le communiqué du ministère de l'Intérieur et de la Décentralisation stipule que depuis quelques jours, l'ordre public est troublé par des individus se réclamant d'un autre secrétaire général de la Fesci sorti d'un congrès parallèle tenu à Yamoussoukro. Le ministère prend acte du congrès d'Abidjan tenu les 27 et 28 décembre au cours duquel Mian Augustin a été élu. Par conséquent il est le secrétaire général de la Fesci. Toute autre personne revendiquant cette qualité est considérée comme usurpatrice et s'expose, par la même, à la rigueur de la loi.
Adélaïde Konin (Stagiaire)
L'affaire Mian-Zagol prend une autre tournure. Le gouvernement a décidé de s'y intéresser à travers un communiqué du ministère de l'Intérieur daté du jeudi 7 janvier et paru au journal télévisé de 20 heures, samedi. Suite à cela, la réaction de Zagol Alain Durand, secrétaire général dissident, ne se fait pas attendre. « Ce funeste communiqué signé de M. Tokpa Vehi, directeur de cabinet du ministre de l'Intérieur ne nous concerne pas et n'engage que lui seul », a-t-il réagi. C’était au cours d'une conférence de presse tenue hier au lycée municipal d'Attécoubé. Selon lui, le ministère de l'Intérieur n'est pas habilité à légitimer un secrétaire général de la Fesci. En outre, il affirme que le communiqué est nul et de nul effet au regard du règlement intérieur de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d'Ivoire (Fesci). Zagol indique que selon le communiqué, c'est le secrétaire général sortant qui convoque le congrès. Or, le règlement intérieur en son article 3, alinéa 1 stipule que seul le Bureau exécutif national est habilité à convoquer le congrès et non un individu. “Hugo Chavez”, secrétaire général dissident, note que cette sortie du collaborateur de Désiré Tagro n'a qu'un seul objectif : les présenter comme le clan de la violence. Il a rappelé que sa mission est de libérer la Fesci, qui est devenue un instrument à la disposition de Kacou Brou dit maréchal K.B., et de la remettre aux élèves et étudiants. Rappelons que le communiqué du ministère de l'Intérieur et de la Décentralisation stipule que depuis quelques jours, l'ordre public est troublé par des individus se réclamant d'un autre secrétaire général de la Fesci sorti d'un congrès parallèle tenu à Yamoussoukro. Le ministère prend acte du congrès d'Abidjan tenu les 27 et 28 décembre au cours duquel Mian Augustin a été élu. Par conséquent il est le secrétaire général de la Fesci. Toute autre personne revendiquant cette qualité est considérée comme usurpatrice et s'expose, par la même, à la rigueur de la loi.
Adélaïde Konin (Stagiaire)