La Première dame de Côte d’Ivoire et députée d’Abobo, Mme Simone Ehivet Gbagbo était, le dimanche 10 janvier 2010, à l’hôpital général de sa cité pour assister des blessés d’une bagarre sanglante ayant opposé des syndicalistes dans le milieu du transport.
Depuis le vendredi 8 janvier 2010, une bagarre à la machette a éclaté entre des jeunes syndicalistes de transporteurs à Abobo, faisant trois blessés graves. Les hostilités devraient reprendre ce dimanche 10 janvier 2010 entre les belligérants qui, sans cesse, alimentent le cycle des représailles. La première Dame de Côte d’Ivoire et députée d’Abobo informée de ce qui se tramait dans sa circonscription électorale a décidé d’aller à la rencontre de tous les belligérants pour mettre un terme définitif à la violence. A l’origine de cette bagarre rangée, un arrêté municipal de la mairie de la Cocody interdisant ‘’l’Union nationale des transporteurs de l’excellence et de la différence’’ d’exercer pendant son seul jour de travail qui est le dimanche. Selon Koné Mohamed Lamine, l’un des responsables de ce syndicat, cet arrêté est tombé le 23 novembre 2009 et depuis, aucun de ses éléments n’a le droit d’exercer sur le territoire de Cocody. Etant des habitants d’Abobo, a-t-il souligné, cette circonscription a servi de champ de bataille pour régler les comptes. Aux combattants qui regroupaient des blessés pour la plupart, la première dame a dit : son affection et son inquiétude « Vous nous effrayez avec cette violence à la machette. C’est pourquoi, je vous demande de me promettre de les déposer chez le commissaire du district de police. Dieu vous a donné des mains et des poings, pourquoi ne les utilisez-vous pas pour vous battre et vous prenez les machettes? Je vais voir avec le maire de Cocody, ce qui en est pour cet arrêté» a-t-elle souligné. C’est sur ces mots aux blessés qu’elle a clos sa visite en dégageant les moyens pour leurs examens.
M.O
Depuis le vendredi 8 janvier 2010, une bagarre à la machette a éclaté entre des jeunes syndicalistes de transporteurs à Abobo, faisant trois blessés graves. Les hostilités devraient reprendre ce dimanche 10 janvier 2010 entre les belligérants qui, sans cesse, alimentent le cycle des représailles. La première Dame de Côte d’Ivoire et députée d’Abobo informée de ce qui se tramait dans sa circonscription électorale a décidé d’aller à la rencontre de tous les belligérants pour mettre un terme définitif à la violence. A l’origine de cette bagarre rangée, un arrêté municipal de la mairie de la Cocody interdisant ‘’l’Union nationale des transporteurs de l’excellence et de la différence’’ d’exercer pendant son seul jour de travail qui est le dimanche. Selon Koné Mohamed Lamine, l’un des responsables de ce syndicat, cet arrêté est tombé le 23 novembre 2009 et depuis, aucun de ses éléments n’a le droit d’exercer sur le territoire de Cocody. Etant des habitants d’Abobo, a-t-il souligné, cette circonscription a servi de champ de bataille pour régler les comptes. Aux combattants qui regroupaient des blessés pour la plupart, la première dame a dit : son affection et son inquiétude « Vous nous effrayez avec cette violence à la machette. C’est pourquoi, je vous demande de me promettre de les déposer chez le commissaire du district de police. Dieu vous a donné des mains et des poings, pourquoi ne les utilisez-vous pas pour vous battre et vous prenez les machettes? Je vais voir avec le maire de Cocody, ce qui en est pour cet arrêté» a-t-elle souligné. C’est sur ces mots aux blessés qu’elle a clos sa visite en dégageant les moyens pour leurs examens.
M.O