Conformément à ses missions et à son projet d’entreprise, la Société nationale d’opérations pétrolières de la Côte d’Ivoire (Petroci) poursuit son programme de diversification de ses activités.
En effet, après la distribution du gaz butane aux ménages, du gaz naturel aux industries, et plus récemment la distribution de carburant à travers un réseau de stations service, et la modernisation des équipements du Centre d’emplissage des bouteilles de gaz de Vridi et la construction de deux sphères de stockage dans le but d’améliorer l’approvisionnement du produit. Petroci en partenariat avec les Groupes américains (Energy Allied International et WCW International) va construire la seconde raffinerie de pétrole de la Côte d’Ivoire.
Cette raffinerie, d’une capacité de 60.000 barils par jour, soit 3.000.000 de tonnes par an, vient apporter une contribution à la résolution de l’épineux problème de raffinage qui se pose en Afrique occidentale.
En effet, pour faire face à ces besoins, de nombreux pays africains comme le Nigeria exportent des quantités significatives de produits finis (produits raffinés) d’Europe.
Cette raffinerie sera dotée d’une technologie de pointe : Notamment, les distillations atmosphérique et sous vide ; D’unité de conversion : FCC.
Elle aura également l’avantage de disposer d’installations flexibles qui lui confèrent une double capacité : le traitement des bruts lourds et des bruts légers. En outre, cette configuration anticipe sur la nécessité future d’augmenter la taille.
Elle s’activera donc au traitement des bruts angolais, nigérians et éventuellement congolais, dans l’objectif de produire de l’essence, du jet, du gasoil et du gaz butane.
Par ailleurs, elle aura une possibilité d’extension de productions pétrochimiques.
La nouvelle raffinerie vise aussi la conquête des marchés de l’Afrique de l’Ouest, de l’Afrique centrale et des USA. Sa construction (sur une superficie de 100 ha avec une réservation de 300 ha pour les extensions futures) à Vridi Canal, s’étendra sur une période de 36 à 40 mois, et coûtera 1300 millions de dollars, environ 700 milliards de F CFA. Elle va créer environ 400 emplois directs et beaucoup d’autres indirects par les entreprises sous-traitantes.
Notons par ailleurs, que la période de construction emploiera 3000 personnes.
Le TIR (Taux Interne de Rentabilité) est de 23,5%, alors que les taux en général pour ce type de projet sont de 15% à 20% en tenant compte du risque pays.
Le projet de construction d’une seconde raffinerie de pétrole et bientôt le démarrage des travaux de construction du pipeline Abidjan Bouaké pour le transport des produits blancs, visent un seul objectif : celui de faire de PETROCI une entreprise pétrolière intégrée au service du développement harmonieux d’une nation forte, la Côte d’Ivoire, avec l’ambition d’atteindre des revenus bruts variant entre 500 et 1000 milliards de F CFA dans les 3 à 5 prochaines années.
JC Koré
En effet, après la distribution du gaz butane aux ménages, du gaz naturel aux industries, et plus récemment la distribution de carburant à travers un réseau de stations service, et la modernisation des équipements du Centre d’emplissage des bouteilles de gaz de Vridi et la construction de deux sphères de stockage dans le but d’améliorer l’approvisionnement du produit. Petroci en partenariat avec les Groupes américains (Energy Allied International et WCW International) va construire la seconde raffinerie de pétrole de la Côte d’Ivoire.
Cette raffinerie, d’une capacité de 60.000 barils par jour, soit 3.000.000 de tonnes par an, vient apporter une contribution à la résolution de l’épineux problème de raffinage qui se pose en Afrique occidentale.
En effet, pour faire face à ces besoins, de nombreux pays africains comme le Nigeria exportent des quantités significatives de produits finis (produits raffinés) d’Europe.
Cette raffinerie sera dotée d’une technologie de pointe : Notamment, les distillations atmosphérique et sous vide ; D’unité de conversion : FCC.
Elle aura également l’avantage de disposer d’installations flexibles qui lui confèrent une double capacité : le traitement des bruts lourds et des bruts légers. En outre, cette configuration anticipe sur la nécessité future d’augmenter la taille.
Elle s’activera donc au traitement des bruts angolais, nigérians et éventuellement congolais, dans l’objectif de produire de l’essence, du jet, du gasoil et du gaz butane.
Par ailleurs, elle aura une possibilité d’extension de productions pétrochimiques.
La nouvelle raffinerie vise aussi la conquête des marchés de l’Afrique de l’Ouest, de l’Afrique centrale et des USA. Sa construction (sur une superficie de 100 ha avec une réservation de 300 ha pour les extensions futures) à Vridi Canal, s’étendra sur une période de 36 à 40 mois, et coûtera 1300 millions de dollars, environ 700 milliards de F CFA. Elle va créer environ 400 emplois directs et beaucoup d’autres indirects par les entreprises sous-traitantes.
Notons par ailleurs, que la période de construction emploiera 3000 personnes.
Le TIR (Taux Interne de Rentabilité) est de 23,5%, alors que les taux en général pour ce type de projet sont de 15% à 20% en tenant compte du risque pays.
Le projet de construction d’une seconde raffinerie de pétrole et bientôt le démarrage des travaux de construction du pipeline Abidjan Bouaké pour le transport des produits blancs, visent un seul objectif : celui de faire de PETROCI une entreprise pétrolière intégrée au service du développement harmonieux d’une nation forte, la Côte d’Ivoire, avec l’ambition d’atteindre des revenus bruts variant entre 500 et 1000 milliards de F CFA dans les 3 à 5 prochaines années.
JC Koré