La marche s'est déroulée sans accroc majeur. La vigilance des jeunes commis a tout de même permis de découvrir et de faire échec à ce qu'ils ont qualifié de tentatives d'infiltration pour saborder la manifestation.
Premier cas. Selon les jeunes commis à la sécurité, un taxi immatriculé 9578 EN 01, garé juste en face du siège du PDCI quelques minutes avant le début de la marche, avait à son bord trois hommes plus le conducteur. Interrogé sur les raisons de sa présence, le conducteur dit qu'il a coulé bielle et qu'il attend un mécanicien. Mais en même temps, il appelle un des occupants par son nom. Ce qui est curieux, car aucun client ne donne son nom à un taxi maître. Le jeune RHDP appelle donc du renfort qui interpelle les occupants, un d'eux sort et brandit une carte militaire du Bureau de protection et de Sécurité. C'est le caporal Makoubo Beugré Hermann Edouard. La fouille permet de trouver sur ces hommes, un pistolet automatique (PA) avec son chargeur plein et 15 bons de carburant de l'armée. Ces hommes ont été mis à la disposition du commisariat du 8ème arrondissement.
Un autre homme a été surpris dans l'immeuble SICOGI, par des éléments de veille du RJDP avec un pistolet automatique, lui aussi a été confié à la police, tout comme un autre juste au commencement de la marche qui a été surpris dans la foule au feu du Lycée Sainte Marie avec un pistolet. Le dernier cas est celui d'un certain Maho présenté comme travaillant dans la garde raprochée à la présidence que des jeunes auraient identifié juste à l'arrêt du bus en face de la maison du PDCI et que la police aurait extrait.
En dehors de ces cas, aucun autre incident n'a été signalé. Mais ces cas démontrent clairement qu'il y a eu des tentatives d'infiltration. Sinon que faisaient ces hommes avec des armes dans une marche pacifique ?
Eddy PEHE
Premier cas. Selon les jeunes commis à la sécurité, un taxi immatriculé 9578 EN 01, garé juste en face du siège du PDCI quelques minutes avant le début de la marche, avait à son bord trois hommes plus le conducteur. Interrogé sur les raisons de sa présence, le conducteur dit qu'il a coulé bielle et qu'il attend un mécanicien. Mais en même temps, il appelle un des occupants par son nom. Ce qui est curieux, car aucun client ne donne son nom à un taxi maître. Le jeune RHDP appelle donc du renfort qui interpelle les occupants, un d'eux sort et brandit une carte militaire du Bureau de protection et de Sécurité. C'est le caporal Makoubo Beugré Hermann Edouard. La fouille permet de trouver sur ces hommes, un pistolet automatique (PA) avec son chargeur plein et 15 bons de carburant de l'armée. Ces hommes ont été mis à la disposition du commisariat du 8ème arrondissement.
Un autre homme a été surpris dans l'immeuble SICOGI, par des éléments de veille du RJDP avec un pistolet automatique, lui aussi a été confié à la police, tout comme un autre juste au commencement de la marche qui a été surpris dans la foule au feu du Lycée Sainte Marie avec un pistolet. Le dernier cas est celui d'un certain Maho présenté comme travaillant dans la garde raprochée à la présidence que des jeunes auraient identifié juste à l'arrêt du bus en face de la maison du PDCI et que la police aurait extrait.
En dehors de ces cas, aucun autre incident n'a été signalé. Mais ces cas démontrent clairement qu'il y a eu des tentatives d'infiltration. Sinon que faisaient ces hommes avec des armes dans une marche pacifique ?
Eddy PEHE