Sept tonnes de cannabis, 14,042 tonnes de produits pharmaceutiques non enregistrés en Côte d’Ivoire (Ppne), 03 plantations de plus de trois hectares de cannabis, 24 fumoirs, plus de 3 kg de cocaïne, environ 10 kg d’héroïne, et près de 200 000 comprimés saisis et détruits. 226 individus interpellés dont 140 Ivoiriens déférés. Tel est le bilan réalisé par la section antidrogue de la gendarmerie nationale de 2006 à 2009, a-t-on appris du service de communication de la gendarmerie nationale. Dont les unités de la section antidrogue étaient en conclave les 21 et 22 janvier à Toroguhé, dans la commune de Daloa, pour dresser le bilan et dessiner les perspectives de leur actions.
Cette rencontre a été l’occasion pour la gendarmerie nationale de faire deux communications sur des thèmes pertinents. La première a porté sur la «nature de la collaboration entre les unités de gendarmerie départementale et les cellules antidrogue» prononcée par le capitaine Ilboudo. Quand la seconde, s’est intéressée à «La gendarmerie nationale dans la lutte contre la drogue en Côte d’Ivoire». Et c’est le capitaine Kpan Koui qui l’a prononcée. Il a démontré la montée en puissance de la section antidrogue du corps d’élite, qu’est la gendarmerie nationale, depuis 2002. Qui nonobstant la modicité des moyens mis à sa disposition, du fait de la crise, a réalisé les performances sus-indiquée. Outre la drogue, les cellules antidrogue de la gendarmerie ont procédé à des saisies d’armes à feu, des munitions, des produits de contrebande, etc.
Devant les performances réalisées par ses éléments, le commandant supérieur de la gendarmerie nationale, le général de division Kassaraté Tiapé Edouard, les a félicités avant de saluer l’initiative du colonel Gnaolé Beuglé de faire le point de la situation. Ensuite, le commandant supérieur a saisi l’occasion pour exhorter les transporteurs à être davantage des collaborateurs des agents de sécurité en charge de la lutte contre ce fléau, en signalant tout colis suspect détecté à bord de leur véhicule. «Contrairement aux guerres qui ont une fin, la lutte contre le crime organisé est permanente d’autant qu’il est contingent à la vie humaines», a insisté le général, avant d’ajouter que tous les braquages, crimes ou autres formes de violence ont la drogue comme vecteur commun. C’est pour cette raison qu’il a demandé aux différentes structures en charge de la lutte contre la drogue d’unir leurs forces en vue d’une synergie des actions. Au bout, ce n’est ni la victoire de la police, ni des douanes ni de la gendarmerie, mais celle des autorités ivoiriennes à lutter efficacement contre ce fléau international.
Cissé Mamadou
Cette rencontre a été l’occasion pour la gendarmerie nationale de faire deux communications sur des thèmes pertinents. La première a porté sur la «nature de la collaboration entre les unités de gendarmerie départementale et les cellules antidrogue» prononcée par le capitaine Ilboudo. Quand la seconde, s’est intéressée à «La gendarmerie nationale dans la lutte contre la drogue en Côte d’Ivoire». Et c’est le capitaine Kpan Koui qui l’a prononcée. Il a démontré la montée en puissance de la section antidrogue du corps d’élite, qu’est la gendarmerie nationale, depuis 2002. Qui nonobstant la modicité des moyens mis à sa disposition, du fait de la crise, a réalisé les performances sus-indiquée. Outre la drogue, les cellules antidrogue de la gendarmerie ont procédé à des saisies d’armes à feu, des munitions, des produits de contrebande, etc.
Devant les performances réalisées par ses éléments, le commandant supérieur de la gendarmerie nationale, le général de division Kassaraté Tiapé Edouard, les a félicités avant de saluer l’initiative du colonel Gnaolé Beuglé de faire le point de la situation. Ensuite, le commandant supérieur a saisi l’occasion pour exhorter les transporteurs à être davantage des collaborateurs des agents de sécurité en charge de la lutte contre ce fléau, en signalant tout colis suspect détecté à bord de leur véhicule. «Contrairement aux guerres qui ont une fin, la lutte contre le crime organisé est permanente d’autant qu’il est contingent à la vie humaines», a insisté le général, avant d’ajouter que tous les braquages, crimes ou autres formes de violence ont la drogue comme vecteur commun. C’est pour cette raison qu’il a demandé aux différentes structures en charge de la lutte contre la drogue d’unir leurs forces en vue d’une synergie des actions. Au bout, ce n’est ni la victoire de la police, ni des douanes ni de la gendarmerie, mais celle des autorités ivoiriennes à lutter efficacement contre ce fléau international.
Cissé Mamadou