Valoriser le potentiel des travailleurs sociaux et renforcer la place du travail social dans le processus de développement durable dans notre pays à ce stade de sortie de crise ». Tels sont quelques-uns des objectifs recherchés par les responsables de l’Institut national de la formation sociale (Infs) à travers les journées portes ouvertes débutées hier, à Cocody. Pour mémoire, cette école a été créée en 1962 en vue de disposer de ressources humaines capables de répondre à la problématique sociale et de contribuer au développement humain.
Ainsi chaque année, ce sont au moins 250 assistants sociaux (adjoints et titulaires), 117 éducateurs spécialisés, 54 maîtres d’éducation spécialisée et 180 éducateurs préscolaires adjoints et titulaires qui sont mis sur le marché de l’emploi, à en croire le directeur de l’Institut, M. Aboua Joseph. Malheureusement, « ces personnels restent sous-employés dans de nombreux secteurs d’activités du fait que les entreprises ignorent leur existence et leur importance », déplore-t-il.
C’est pourquoi, ces journées permettront, selon lui, de mieux faire connaître l’Infs des secteurs public, parapublic et privé d’une part et de sensibiliser les collectivités locales et autres à intégrer dans leurs missions la question sociale, d’autre part.
Abdou Touré, représentant la ministre de la Famille, de la Femme et des Affaires sociales, Mme Jeanne Peuhmond, a indiqué qu’aucune administration ne peut prétendre ne pas avoir besoin d’assistants sociaux, car ils sont très importants pour le développement d’un Etat. Surtout qui sort de crise. Il a cependant invité les assistants sociaux à se faire davantage connaître à l’ensemble des sociétés du secteur privé. Avant de souligner : « Nous sortons de guerre et avons tous besoin du soutien des assistants sociaux ». Aussi les a-t-il invités à tout mettre en œuvre pour qu’ils soient recrutés.
Grâce Ouattara
Ainsi chaque année, ce sont au moins 250 assistants sociaux (adjoints et titulaires), 117 éducateurs spécialisés, 54 maîtres d’éducation spécialisée et 180 éducateurs préscolaires adjoints et titulaires qui sont mis sur le marché de l’emploi, à en croire le directeur de l’Institut, M. Aboua Joseph. Malheureusement, « ces personnels restent sous-employés dans de nombreux secteurs d’activités du fait que les entreprises ignorent leur existence et leur importance », déplore-t-il.
C’est pourquoi, ces journées permettront, selon lui, de mieux faire connaître l’Infs des secteurs public, parapublic et privé d’une part et de sensibiliser les collectivités locales et autres à intégrer dans leurs missions la question sociale, d’autre part.
Abdou Touré, représentant la ministre de la Famille, de la Femme et des Affaires sociales, Mme Jeanne Peuhmond, a indiqué qu’aucune administration ne peut prétendre ne pas avoir besoin d’assistants sociaux, car ils sont très importants pour le développement d’un Etat. Surtout qui sort de crise. Il a cependant invité les assistants sociaux à se faire davantage connaître à l’ensemble des sociétés du secteur privé. Avant de souligner : « Nous sortons de guerre et avons tous besoin du soutien des assistants sociaux ». Aussi les a-t-il invités à tout mettre en œuvre pour qu’ils soient recrutés.
Grâce Ouattara