Après les dernières étapes de sa visite de travail, Robert B. Zoellick a éclairé le vendredi 29 janvier 2010 à la presse nationale et internationale sur des questions économiques restées pendantes. Notamment le point d’achèvement de l’initiative PPTE, qui exige des efforts de transparence dans les secteurs du cacao et de l’énergie. «Le secteur du cacao doit être audité pour mieux orienter les réformes », a souligné le patron de la Banque mondiale. Qui a également révélé qu’il n’y a aucune raison que la transformation du cacao ne se fasse pas en Côte d’Ivoire.
Toute chose qui est susceptible de créer des emplois. La Banque mondiale, a réitéré Robert B. Zoellick, est prête à apporter son soutien à la Côte d’Ivoire, à condition que les élections aient lieu. «La Côte d’Ivoire doit continuer de faire des progrès en matière d’Etat de droits, d’encourager la réconciliation, de promouvoir la bonne gouvernance, de protéger et d’autonomiser les femmes et les enfants », a-t-il suggéré. Et de prévenir les autorités ivoiriennes : «Ma réaction ne sera pas bonne, s’il n’y a pas eu d’élection. La communauté internationale attend ces élections ». Selon lui, si les élections présidentielles et législatives ont lieu, la Côte d’Ivoire bénéficiera d’un allègement de sa dette à hauteur de 12 milliards de dollars américains (environ 6.000 milliards de Fcfa) sur une dette extérieure estimée à 14 milliards de dollars (7.000 milliards de Fcfa). «Le pays peut tirer profit de ses ressources humaines et naturelles, de sa position stratégique en Afrique de l’Ouest, de la taille considérable et de l’importance de son économie pour être une force majeure dans l’intégration régionale et offrir davantage d’opportunités à ses populations, en particulier les pauvres», a indiqué M. Robert B. Zoellick.
K.H
Toute chose qui est susceptible de créer des emplois. La Banque mondiale, a réitéré Robert B. Zoellick, est prête à apporter son soutien à la Côte d’Ivoire, à condition que les élections aient lieu. «La Côte d’Ivoire doit continuer de faire des progrès en matière d’Etat de droits, d’encourager la réconciliation, de promouvoir la bonne gouvernance, de protéger et d’autonomiser les femmes et les enfants », a-t-il suggéré. Et de prévenir les autorités ivoiriennes : «Ma réaction ne sera pas bonne, s’il n’y a pas eu d’élection. La communauté internationale attend ces élections ». Selon lui, si les élections présidentielles et législatives ont lieu, la Côte d’Ivoire bénéficiera d’un allègement de sa dette à hauteur de 12 milliards de dollars américains (environ 6.000 milliards de Fcfa) sur une dette extérieure estimée à 14 milliards de dollars (7.000 milliards de Fcfa). «Le pays peut tirer profit de ses ressources humaines et naturelles, de sa position stratégique en Afrique de l’Ouest, de la taille considérable et de l’importance de son économie pour être une force majeure dans l’intégration régionale et offrir davantage d’opportunités à ses populations, en particulier les pauvres», a indiqué M. Robert B. Zoellick.
K.H