Claude Franck About (Conseil technique et membre de l`Unjci) :“Il est allé trop tôt”
“On est tous abattus au niveau de l`union. Personne ne pouvait s`imaginer une nouvelle d`une telle ampleur. Il n`y a même pas un an qu`il est élu et déjà il est parti. C`est la grande surprise. Nous sommes tous malheureux, abattus et sous le coup de l`émotion. On est tous choqués. On a tenu une réunion de crise d`information. Nous nous sommes retrouvés pour se consoler les uns les autres et prendre conscience que c`est un grand malheur qui frappe l`union. C`est la première fois qu`un président de cette organisation meurt en plein exercice. C`est très dur pour nous”.
Rasmina Guéhi (Directeur général de la maison de la presse d`Abidjan) : “C`était un homme de défi”
“Nous sommes atterrés. Nous sommes dépassés. C`est beaucoup de tristesse. C`était un homme de défi. La preuve, c`est seulement en avril qu`il a été élu et tout le monde peut constater tout le travail qu`il a abattu en si peu de temps. Il ne lésinait pas sur le travail. Ce que je retiens de lui, c`est qu`il aimait relever les défis”.
Brou Aka Pascal, président de l`Organisation des journalistes professionnels de Côte d`Ivoire (Ojpci) :« Il n`y a jamais eu de rivalité entre nous »
“ Il a été journaliste sportif comme moi. Pendant longtemps, nous avons sillonné ensemble plusieurs stades aussi bien en Côte d`Ivoire que dans d`autres pays. Depuis que lui et moi dirigeons des associations différentes, chaque fois qu`on se voit, on s`appelle président. On avait même en projet de se rencontrer pour voir ce qu`on pouvait faire ensemble. Il n`y a jamais eu de rivalité entre nous. C`est toujours avec beaucoup d`amitié et de fraternité qu`on se parlait. Sa disparition est une grande perte pour la presse ivoirienne”.
Inza Kigbafori (Candidat à la dernière élection du président de l`Unjci) :«Les journalistes ont perdu un grand homme»
“Notre président est décédé, un ami est parti. Nous n`en revenons toujours pas. Ce que je peux dire en attendant la date des obsèques, c`est que Criwa Zéli était un grand monsieur. Je l`ai connu à l`Inter où nous avons travaillé ensemble. Il m`a fait aussi entré à l`Union nationale des journalistes de Côte d`Ivoire (Unjci) où j`ai travaillé en tant que secrétaire général adjoint avant d`être son concurrent pour la présidence. Ce que je retiens de lui, c`est que c`est un travailleur. C`était un monsieur bien. Notre milieu vient de perdre une grande personne”.
Guillaume Gbato (Syndicat national des agents de la presse privée de Côte d`Ivoire (Synappci) :“Il faut que la condition des journalistes change”
«Je suis malheureux doublement. Parce qu`il y a quelques semaines, à l`occasion de la rentrée annuelle de l`Unjci, je lui avais dit expressément président, il faut aller te reposer. Je l`avais trouvé assez affaibli. On a échangé par la suite dans son bureau et il m`a dit petit-frère, je vais aller me reposer. Nous avons rigolé par la suite. Ce matin, j`avais fermé mon téléphone. Je me suis réveillé assez tard. Lorsque je l`ai ouvert, j`ai reçu l`appel qui m`a annoncé la nouvelle. C`est que nous sommes atterrés, c`est dommage. C`est ce que nous disons tous les jours, il faut que la condition des journalistes change”.
Propos recueillis par S. A.
“On est tous abattus au niveau de l`union. Personne ne pouvait s`imaginer une nouvelle d`une telle ampleur. Il n`y a même pas un an qu`il est élu et déjà il est parti. C`est la grande surprise. Nous sommes tous malheureux, abattus et sous le coup de l`émotion. On est tous choqués. On a tenu une réunion de crise d`information. Nous nous sommes retrouvés pour se consoler les uns les autres et prendre conscience que c`est un grand malheur qui frappe l`union. C`est la première fois qu`un président de cette organisation meurt en plein exercice. C`est très dur pour nous”.
Rasmina Guéhi (Directeur général de la maison de la presse d`Abidjan) : “C`était un homme de défi”
“Nous sommes atterrés. Nous sommes dépassés. C`est beaucoup de tristesse. C`était un homme de défi. La preuve, c`est seulement en avril qu`il a été élu et tout le monde peut constater tout le travail qu`il a abattu en si peu de temps. Il ne lésinait pas sur le travail. Ce que je retiens de lui, c`est qu`il aimait relever les défis”.
Brou Aka Pascal, président de l`Organisation des journalistes professionnels de Côte d`Ivoire (Ojpci) :« Il n`y a jamais eu de rivalité entre nous »
“ Il a été journaliste sportif comme moi. Pendant longtemps, nous avons sillonné ensemble plusieurs stades aussi bien en Côte d`Ivoire que dans d`autres pays. Depuis que lui et moi dirigeons des associations différentes, chaque fois qu`on se voit, on s`appelle président. On avait même en projet de se rencontrer pour voir ce qu`on pouvait faire ensemble. Il n`y a jamais eu de rivalité entre nous. C`est toujours avec beaucoup d`amitié et de fraternité qu`on se parlait. Sa disparition est une grande perte pour la presse ivoirienne”.
Inza Kigbafori (Candidat à la dernière élection du président de l`Unjci) :«Les journalistes ont perdu un grand homme»
“Notre président est décédé, un ami est parti. Nous n`en revenons toujours pas. Ce que je peux dire en attendant la date des obsèques, c`est que Criwa Zéli était un grand monsieur. Je l`ai connu à l`Inter où nous avons travaillé ensemble. Il m`a fait aussi entré à l`Union nationale des journalistes de Côte d`Ivoire (Unjci) où j`ai travaillé en tant que secrétaire général adjoint avant d`être son concurrent pour la présidence. Ce que je retiens de lui, c`est que c`est un travailleur. C`était un monsieur bien. Notre milieu vient de perdre une grande personne”.
Guillaume Gbato (Syndicat national des agents de la presse privée de Côte d`Ivoire (Synappci) :“Il faut que la condition des journalistes change”
«Je suis malheureux doublement. Parce qu`il y a quelques semaines, à l`occasion de la rentrée annuelle de l`Unjci, je lui avais dit expressément président, il faut aller te reposer. Je l`avais trouvé assez affaibli. On a échangé par la suite dans son bureau et il m`a dit petit-frère, je vais aller me reposer. Nous avons rigolé par la suite. Ce matin, j`avais fermé mon téléphone. Je me suis réveillé assez tard. Lorsque je l`ai ouvert, j`ai reçu l`appel qui m`a annoncé la nouvelle. C`est que nous sommes atterrés, c`est dommage. C`est ce que nous disons tous les jours, il faut que la condition des journalistes change”.
Propos recueillis par S. A.