La vie humaine semble avoir perdu de sa valeur ces dernières années en Côte d'Ivoire. La négligence et le peu d'importance qu'accordent les gouvernants ont entamé sa désagrégation à divers niveaux. Les animateurs principaux de la 2e République ont-ils choisi de ne considérer que d'autres priorités dans leur vision refondatrice des fondements savamment construits d'une Côte d'Ivoire aux grandes allures rassurantes ? "Accroc du pouvoir d'Etat", le Front populaire ivoirien (Fpi) donne toutes les assurances que le bien-être des populations ivoiriennes ne présente aucune urgence pour lui. D'ailleurs, ils sont nombreux, les Ivoiriens, qui désabusés par l'arrivée aux affaires de cette frange de socialistes, prient pour la tenue des élections se tiennent, afin qu'ils sanctionnent ce régime dont le seul mérite aura été de leur apporter souffrances, désespoir, insécurité (prolifération des coupeurs de routes, braquages à la kalach…), bref toutes sortes de "calamités". Le phénomène à la mode, on le sait, s'appelle grand délestage doublé de longues coupures d'eau et toute la gamme déplorable de conséquences fâcheuses qui suit. La Côte d'Ivoire est plongée dans le noir, pour une bonne période. Ses habitants n'auront de l'eau potable que sporadiquement et de nouveaux compagnons imposés. Ce sont la chaleur, la conservation moins rassurante des biens comestibles, l'insécurité. Face à cette situation intenable, la vie se dégrade, minée par les incertitudes multiples, par ce que la refondation par manque d'anticipation et de planification les aura programmées. C'est alors, l'inverse qui se fait, des gouvernants n'anticipent et ne planifient que ce qui détruit la vie de leurs concitoyens. Qu'ils aiment de tout cœur. La situation est si malheureuse qu'il faut bien trouver une solution pour redonner espoir aux populations. Le ministre des Infrastructures économiques, Patrick Achi est obligé de procéder à une distribution d'eau potable. Une vérité difficilement supportable, pour tout bon Ivoirien. On ne peut donc pas s'étonner de savoir que la vie humaine se meurt dans ce pays aux énormes potentialités naturelles. Craignant ainsi l'obscurité à grande échelle, les habitants sont contraints de chercher des solutions pour leur éclairage.
La Côte d'Ivoire des groupes électrogènes et lampes à pétrole
Les Ivoiriens savent s'adapter et il faut leur reconnaître cette qualité. Mais au-delà de cet effort, on ne doit pas omettre que ce sont des dépenses complémentaires en achat de carburant qui s'imposent à eux. Le malheur n'arrivant pas seul, les délestages qui les contraignent à se procurer des groupes électrogènes, "se sont affublés" d'une hausse du carburant. Et c'est ce lundi que les nouveaux prix du super sans plomb et du gasoil ont été fonctionnels. L'Organisation nationale pour l'union des chauffeurs professionnels de Côte d'Ivoire (Onucp-ci) dont les membres disent n'avoir pas été associés, lors de cette prise de décision par le gouvernement ivoirien, donne déjà de la voix. Elle a décidé de déposer un préavis de grève qui prendra effet le lundi 15 février prochain. Si bien évidemment, jusque-là aucune réponse n'a été trouvée à leurs préoccupations. Certains transporteurs, eux, n'ont pas attendu pour répercuter les effets sur les tarifs des trajets à Abidjan et dans certaines villes de l'intérieur du pays. Bref, les Ivoiriens n'ont pas le choix, ils ne pourront pas échapper à cette crise de l'électricité et de l'eau potable aux conséquences financièrement et humainement ravageuses. Ils doivent débourser plus pour s'offrir de la lumière à la maison, au bureau…Parce que, hélas, la refondation en a décidé ainsi. Pour prouver son grand amour pour le peuple de Côte d'Ivoire et tous ceux qui lui font l'amitié de venir vivre sur son sol. En ces instants de drames socio-économiques (fort usage des groupes électrogènes, de bougies, de lampes à pétrole, de braises) signés Fpi. Il faut vraiment en vouloir aux populations pour les punir aussi durement et gratuitement. Mais, que pouvait-on attendre d'autre ? Les Ivoiriennes et Ivoiriens font tout simplement l'amère expérience de la gouvernance "made by" la refondation. Dieu protège le peuple de Côte d'Ivoire !
P. Tadjau
La Côte d'Ivoire des groupes électrogènes et lampes à pétrole
Les Ivoiriens savent s'adapter et il faut leur reconnaître cette qualité. Mais au-delà de cet effort, on ne doit pas omettre que ce sont des dépenses complémentaires en achat de carburant qui s'imposent à eux. Le malheur n'arrivant pas seul, les délestages qui les contraignent à se procurer des groupes électrogènes, "se sont affublés" d'une hausse du carburant. Et c'est ce lundi que les nouveaux prix du super sans plomb et du gasoil ont été fonctionnels. L'Organisation nationale pour l'union des chauffeurs professionnels de Côte d'Ivoire (Onucp-ci) dont les membres disent n'avoir pas été associés, lors de cette prise de décision par le gouvernement ivoirien, donne déjà de la voix. Elle a décidé de déposer un préavis de grève qui prendra effet le lundi 15 février prochain. Si bien évidemment, jusque-là aucune réponse n'a été trouvée à leurs préoccupations. Certains transporteurs, eux, n'ont pas attendu pour répercuter les effets sur les tarifs des trajets à Abidjan et dans certaines villes de l'intérieur du pays. Bref, les Ivoiriens n'ont pas le choix, ils ne pourront pas échapper à cette crise de l'électricité et de l'eau potable aux conséquences financièrement et humainement ravageuses. Ils doivent débourser plus pour s'offrir de la lumière à la maison, au bureau…Parce que, hélas, la refondation en a décidé ainsi. Pour prouver son grand amour pour le peuple de Côte d'Ivoire et tous ceux qui lui font l'amitié de venir vivre sur son sol. En ces instants de drames socio-économiques (fort usage des groupes électrogènes, de bougies, de lampes à pétrole, de braises) signés Fpi. Il faut vraiment en vouloir aux populations pour les punir aussi durement et gratuitement. Mais, que pouvait-on attendre d'autre ? Les Ivoiriennes et Ivoiriens font tout simplement l'amère expérience de la gouvernance "made by" la refondation. Dieu protège le peuple de Côte d'Ivoire !
P. Tadjau
