Qu’en est-il de l’aide que vous a promis le président de la Répubique ?
La présidence a promis nous aider. Elle aura dans les jours à venir une rencontre avec les chefs de communautés du Black market et les présidents responsables des commerçants.
Mais avant l’arrivée de l’aide, on constate que les commerçants commencent à s’installer…
Nous leur avons demandé de s’installer. Parce qu’on ne sait pas quand est-ce que nous aurons les aides.
Beaucoup n’ont pas de moyen et sont livrés à eux-mêmes…
C’est vrai qu’ils s’installent à leur propre frais, c’est dur. Mais, c’est la solidarité ici. Les commerçants les plus nantis essayent d’aider les plus faibles qui n’ont pas de moyen. C’est pour cela que je dis qu’il faut que l’Etat leur vienne en aide.
Le problème c’est que vous vous réinstallés sans aucune mésure de sécurité...
Nous avons vu à ce niveau la Cie, pour installer des normes de sécurité au marché. Nous allons voir les prochains jours l’Office nationale de la protection civile (Onpc) pour installer des bouches d’incendie au Black market. Tous les magasins doivent être équipés d’extincteurs. Parce que le feu est parti d’un magasin et on aurait pu l’éteindre à temps s’il y avait des extincteurs. Nous allons aussi former les vigiles aux techniques de sécours. Ce sont les mésures que nous allons prendre en attendant celles des autorités, dont la mairie.
Des commerçants présagent que l’aide du président risque de ne pas parvenir aux mains des sinistrés parce qu’il y a un problème de leader ship entre vous et certains dirigeants de commerçants. Qu’en dites-vous ?
C’est faux. Il y a des représentants des différentes communautés étrangères au Black et nous nous attendons bien.
Les places non occupées vont-elles être vendues à certains opérateurs économiques ?
Non. Nous avons signé un partenariat avec la Société ivoirienne de concept et de gestion (Sicg) qui s’occupe bien du Black market.
Interview réalisée par Raphaël Tanoh
La présidence a promis nous aider. Elle aura dans les jours à venir une rencontre avec les chefs de communautés du Black market et les présidents responsables des commerçants.
Mais avant l’arrivée de l’aide, on constate que les commerçants commencent à s’installer…
Nous leur avons demandé de s’installer. Parce qu’on ne sait pas quand est-ce que nous aurons les aides.
Beaucoup n’ont pas de moyen et sont livrés à eux-mêmes…
C’est vrai qu’ils s’installent à leur propre frais, c’est dur. Mais, c’est la solidarité ici. Les commerçants les plus nantis essayent d’aider les plus faibles qui n’ont pas de moyen. C’est pour cela que je dis qu’il faut que l’Etat leur vienne en aide.
Le problème c’est que vous vous réinstallés sans aucune mésure de sécurité...
Nous avons vu à ce niveau la Cie, pour installer des normes de sécurité au marché. Nous allons voir les prochains jours l’Office nationale de la protection civile (Onpc) pour installer des bouches d’incendie au Black market. Tous les magasins doivent être équipés d’extincteurs. Parce que le feu est parti d’un magasin et on aurait pu l’éteindre à temps s’il y avait des extincteurs. Nous allons aussi former les vigiles aux techniques de sécours. Ce sont les mésures que nous allons prendre en attendant celles des autorités, dont la mairie.
Des commerçants présagent que l’aide du président risque de ne pas parvenir aux mains des sinistrés parce qu’il y a un problème de leader ship entre vous et certains dirigeants de commerçants. Qu’en dites-vous ?
C’est faux. Il y a des représentants des différentes communautés étrangères au Black et nous nous attendons bien.
Les places non occupées vont-elles être vendues à certains opérateurs économiques ?
Non. Nous avons signé un partenariat avec la Société ivoirienne de concept et de gestion (Sicg) qui s’occupe bien du Black market.
Interview réalisée par Raphaël Tanoh