La police nationale a arrêté, dans la nuit du jeudi dernier, un pyromane qui s’apprêtait à mettre le feu à la Tour C.
Les ennemis de la paix qui brûlent, depuis le mercredi 27 janvier dernier, les marchés et les entreprises, ont failli récidiver, le jeudi 11 février dernier. Cette fois-ci, n’eût été la vigilance des veilleurs de nuit de la Tour C, cet immeuble serait déjà réduit en cendre.
Selon des sources dignes de foi, la police a arrêté, cette nuit-là, un individu dont l’identité n’a pas été révélée, aux environs de 21 heures. Celui-ci venait d’asperger d’essence le sous-sol de la Tour, précise notre source. Le pyromane a été interpellé par les vigiles au moment où il était sur le point de mettre le feu dans l’immeuble. La source ajoute que ce sont les vigiles qui ont alerté un groupe de policiers qui patrouillaient dans la zone de la Cité administrative. Toujours, selon notre informateur, lorsque les policiers ont interpellé l’individu, ils étaient en pleine discussion avec lui, lorsque N’go Bakayoko, chef de cabinet adjoint du ministre de l’Enseignement technique, très irrité par l’attitude des flics, est intervenu en ces termes : « on a pris en flagrant délit quelqu’un qui voulait brûler la Tour. Au lieu de le menotter, vous causez avec lui comme s’il n’avait rien fait ! ». Notre source soutient même que le pyromane est resté sur place avec les policiers pendant au moins 2 heures. L’homme a-t-il vraiment été conduit dans un commissariat ou dans toute autre base de la police nationale ? A-t-il été libéré après ? Rien n’est sûr. Après vérification, il n’y a aucune trace du pyromane à la police criminelle, ni à la préfecture de police d’Abidjan (PPA), ni au commissariat du 1er arrondissement. Toutefois, selon une source de la PPA, il n’y a pas eu d’arrestation. Seulement, des policiers ont effectivement saisi des bidons d’essence sur le lieu des faits. Une enquête est ouverte à cet effet pour démasquer cet individu qui a failli brûler cet immeuble qui abrite les ministères de la Santé et de l’Hygiène publique, de la Communication, de l’Enseignement tec
Les ennemis de la paix qui brûlent, depuis le mercredi 27 janvier dernier, les marchés et les entreprises, ont failli récidiver, le jeudi 11 février dernier. Cette fois-ci, n’eût été la vigilance des veilleurs de nuit de la Tour C, cet immeuble serait déjà réduit en cendre.
Selon des sources dignes de foi, la police a arrêté, cette nuit-là, un individu dont l’identité n’a pas été révélée, aux environs de 21 heures. Celui-ci venait d’asperger d’essence le sous-sol de la Tour, précise notre source. Le pyromane a été interpellé par les vigiles au moment où il était sur le point de mettre le feu dans l’immeuble. La source ajoute que ce sont les vigiles qui ont alerté un groupe de policiers qui patrouillaient dans la zone de la Cité administrative. Toujours, selon notre informateur, lorsque les policiers ont interpellé l’individu, ils étaient en pleine discussion avec lui, lorsque N’go Bakayoko, chef de cabinet adjoint du ministre de l’Enseignement technique, très irrité par l’attitude des flics, est intervenu en ces termes : « on a pris en flagrant délit quelqu’un qui voulait brûler la Tour. Au lieu de le menotter, vous causez avec lui comme s’il n’avait rien fait ! ». Notre source soutient même que le pyromane est resté sur place avec les policiers pendant au moins 2 heures. L’homme a-t-il vraiment été conduit dans un commissariat ou dans toute autre base de la police nationale ? A-t-il été libéré après ? Rien n’est sûr. Après vérification, il n’y a aucune trace du pyromane à la police criminelle, ni à la préfecture de police d’Abidjan (PPA), ni au commissariat du 1er arrondissement. Toutefois, selon une source de la PPA, il n’y a pas eu d’arrestation. Seulement, des policiers ont effectivement saisi des bidons d’essence sur le lieu des faits. Une enquête est ouverte à cet effet pour démasquer cet individu qui a failli brûler cet immeuble qui abrite les ministères de la Santé et de l’Hygiène publique, de la Communication, de l’Enseignement tec