L’affaire Akrofi Edem Kouame qui oppose l’Asec et l’USC Bassam depuis quelques jours pourrait prendre une autre tournure. Les Mimos envisagent le recours du tribunal correctionnel pour escroquerie.
L’Asec Mimosas entend solliciter le tribunal correctionnel pour escroquerie dans l’affaire Akrofi Edem Kouame qui défraie la chronique depuis quelques jours. En effet, les Jaunes et Noir qui ont porté le dossier devant les compétences de la Fédération ivoirienne de football souhaitent un règlement rapide du contentieux pour s’empêcher d’exploiter la voie judiciaire. De mémoire de journaliste, c’est la première fois qu’un problème de cette nature se pose dans le football ivoirien. Avouons que la fuite du joueur pourtant régulièrement prêté à l’Asec cause d’énormes préjudices à l’équipe pour lesquels elle exige des dommages et intérêts. Ces préjudices sont relatifs aux sommes que les Mimos ont versées au joueur et à l’USC Bassam, son club d’origine. Il y a également les précis que les champions de Côte d’Ivoire subis par la perte d’une place sur laquelle il n’est plus possible de supprimer un nom. Si Akrofi Edem Kouame est vraiment en stage dans un club français tel que relevé sur le site de l’Asec, la complicité des l’insulaires serait établie dans la mesure où le joueur ne peut être engagé sans l’accord de l’USC Bassam qui en principe est le club d’origine, l’Asec n’ayant qu’emprunté l’attaquant de nationalité ghanéenne. Akrofi Edem devrai être sanctionné à la hauteur de la faute qu’il a commise de sorte à décourager les joueurs qui auraient l’intention de prendre la même piste que lui.
Claude Séraphin SERY
L’Asec Mimosas entend solliciter le tribunal correctionnel pour escroquerie dans l’affaire Akrofi Edem Kouame qui défraie la chronique depuis quelques jours. En effet, les Jaunes et Noir qui ont porté le dossier devant les compétences de la Fédération ivoirienne de football souhaitent un règlement rapide du contentieux pour s’empêcher d’exploiter la voie judiciaire. De mémoire de journaliste, c’est la première fois qu’un problème de cette nature se pose dans le football ivoirien. Avouons que la fuite du joueur pourtant régulièrement prêté à l’Asec cause d’énormes préjudices à l’équipe pour lesquels elle exige des dommages et intérêts. Ces préjudices sont relatifs aux sommes que les Mimos ont versées au joueur et à l’USC Bassam, son club d’origine. Il y a également les précis que les champions de Côte d’Ivoire subis par la perte d’une place sur laquelle il n’est plus possible de supprimer un nom. Si Akrofi Edem Kouame est vraiment en stage dans un club français tel que relevé sur le site de l’Asec, la complicité des l’insulaires serait établie dans la mesure où le joueur ne peut être engagé sans l’accord de l’USC Bassam qui en principe est le club d’origine, l’Asec n’ayant qu’emprunté l’attaquant de nationalité ghanéenne. Akrofi Edem devrai être sanctionné à la hauteur de la faute qu’il a commise de sorte à décourager les joueurs qui auraient l’intention de prendre la même piste que lui.
Claude Séraphin SERY