Connue sous l’appellation de la fête des amoureux, de nombreuses histoires existent sur l’avènement de la Saint Valentin. De toutes les versions existantes, une paraît la plus embellie et colle parfaitement à sa conception actuelle. Et, c’est ce que nous vous proposons.
Les origines de la fête de la Saint Valentin sont mal connues. Il semblerait qu’elles remontent à l’Antiquité. La version la plus adaptée à la fête actuelle dit que Saint Valentin, avant d’être saint, était un prêtre romain du nom de Valentin. Il a vécu sous le règne de l’empereur Claude II (3e siècle après Jésus-Christ). A cette époque, Rome était engagée dans des campagnes militaires sanglantes et impopulaires. Claude II, également surnommé Claude le cruel, ayant des difficultés à recruter des soldats pour rejoindre ses légions, décida d’interdire le mariage. Pensant que la raison pour laquelle les Romains refusaient de combattre était leur attachement à leurs femmes. Malgré les ordres de l’empereur, Saint Valentin continua de célébrer des mariages. Lorsque Claude II apprit l’existence de ces mariages secrets, il fit emprisonner Valentin. C’est pendant son séjour en prison que Valentin fit la connaissance de la fille de son geôlier, une jeune fille aveugle à qui, dit-on, il redonna la vue. Et lui adressa une lettre avant d’être décapité, signé “ Ton Valentin “. Pour la petite histoire ivoirienne, le phénomène de la Saint Valentin a véritablement pris de l’ampleur à partir de 1995. Une radio de la place, sous la houlette de ses différents présidents directeurs généraux français, a donné une réelle impulsion à la fête. Ces personnes, déjà au parfum de la percée du phénomène en Europe, n’ont pas ménagé d’efforts pour l’imposer sur les bords de la lagune Ebrié. C’est ainsi que, quelques voix sensuelles, de la bonne musique sentimentale et douce ont suffi pour séduire des millions d’Ivoiriens enclins aux amourettes ou aux amours tout court. Aujourd’hui la Saint Valentin a reçu l’assentiment des populations de la Côte d’Ivoire. En effet, vecteur actif ou passif des festivités liées à cette fête, la chaîne de radio en question a développé l’aspect marketing de la célébration. Cette année encore, le slogan « Les mots ne suffisent plus », démontre l’organisation à but commercial qui s’est greffée autour.
Avec www.archives.arte.tv
Les origines de la fête de la Saint Valentin sont mal connues. Il semblerait qu’elles remontent à l’Antiquité. La version la plus adaptée à la fête actuelle dit que Saint Valentin, avant d’être saint, était un prêtre romain du nom de Valentin. Il a vécu sous le règne de l’empereur Claude II (3e siècle après Jésus-Christ). A cette époque, Rome était engagée dans des campagnes militaires sanglantes et impopulaires. Claude II, également surnommé Claude le cruel, ayant des difficultés à recruter des soldats pour rejoindre ses légions, décida d’interdire le mariage. Pensant que la raison pour laquelle les Romains refusaient de combattre était leur attachement à leurs femmes. Malgré les ordres de l’empereur, Saint Valentin continua de célébrer des mariages. Lorsque Claude II apprit l’existence de ces mariages secrets, il fit emprisonner Valentin. C’est pendant son séjour en prison que Valentin fit la connaissance de la fille de son geôlier, une jeune fille aveugle à qui, dit-on, il redonna la vue. Et lui adressa une lettre avant d’être décapité, signé “ Ton Valentin “. Pour la petite histoire ivoirienne, le phénomène de la Saint Valentin a véritablement pris de l’ampleur à partir de 1995. Une radio de la place, sous la houlette de ses différents présidents directeurs généraux français, a donné une réelle impulsion à la fête. Ces personnes, déjà au parfum de la percée du phénomène en Europe, n’ont pas ménagé d’efforts pour l’imposer sur les bords de la lagune Ebrié. C’est ainsi que, quelques voix sensuelles, de la bonne musique sentimentale et douce ont suffi pour séduire des millions d’Ivoiriens enclins aux amourettes ou aux amours tout court. Aujourd’hui la Saint Valentin a reçu l’assentiment des populations de la Côte d’Ivoire. En effet, vecteur actif ou passif des festivités liées à cette fête, la chaîne de radio en question a développé l’aspect marketing de la célébration. Cette année encore, le slogan « Les mots ne suffisent plus », démontre l’organisation à but commercial qui s’est greffée autour.
Avec www.archives.arte.tv