Les résultats en dents de scie du club vert et rouge en L1 depuis ce début de saison mais surtout la pauvreté du jeu produit pourraient précipiter un départ de Gianni Bortoletto. Pour le remplacer, le nom de Toto Nobile revient. Avec insistance.
La rencontre de la 5è journée de la Ligue 1, prévue samedi, au Stade Robert Champroux de Marcory entre l’Africa et le Stella apparaît comme l’ultime examen de passage pour Gianni Bortoletto. Elle pourrait, en effet, sceller le sort du technicien italien de l’Africa à la tête du club vert et rouge. Interrogé sur la question, un cadre influent du club ne serait plus certain de la capacité de l’Italien à redresser la barre. « Il est limité… », reste-t-il persuadé. Auteur d’un début de saison, franchement médiocre avec deux victoires obtenues aux forceps contre deux défaites retentissantes en Ligue 1, le technicien italien ne ferait plus l’unanimité au sein de l’establishment vert et rouge. C’est à se demander s’il est (toujours) l’homme de la situation. En dehors de la Coupe nationale remportée la saison dernière devant l’Asec (2-1), Gianni Bortoletto n’a rien gagné et surtout rien démontré. Sa 2è place au classement à l’issue de la saison dernière lui a été tolérée vu qu’il avait remplacé son compatriote Toto Nobile à la va-vite et surtout parce qu’il découvrait l’Afrique pour ne pas dire la Côte d’Ivoire. Depuis, Gianni Bortoletto a eu le temps de s’acclimater, de connaître son groupe, de le remodeler et de lui inculquer sa science. En vain. Il lui est principalement reproché le niveau de jeu plus que limité de certains de ses joueurs (notamment en attaque) et son mauvais recrutement. Conséquence, les regards se tournent vers le président Kuyo Téa Narcisse. Redonnera-t-il une chance à Toto Nobile qui avait démissionné (parce que manipulé) il y a presque un an jour pour jour ? Probable. Celui qui touchait dix millions de francs Cfa et qui en réclamait quatorze aurait fait son mea-culpa et n’attendrait qu’une seule chose : un signe de son président. Rappelons que Toto Nobile avait offert à l’Africa deux titres de champion de Côte d’Ivoire (2007, 2008).
Sanou Amadou (stagiaire)
La rencontre de la 5è journée de la Ligue 1, prévue samedi, au Stade Robert Champroux de Marcory entre l’Africa et le Stella apparaît comme l’ultime examen de passage pour Gianni Bortoletto. Elle pourrait, en effet, sceller le sort du technicien italien de l’Africa à la tête du club vert et rouge. Interrogé sur la question, un cadre influent du club ne serait plus certain de la capacité de l’Italien à redresser la barre. « Il est limité… », reste-t-il persuadé. Auteur d’un début de saison, franchement médiocre avec deux victoires obtenues aux forceps contre deux défaites retentissantes en Ligue 1, le technicien italien ne ferait plus l’unanimité au sein de l’establishment vert et rouge. C’est à se demander s’il est (toujours) l’homme de la situation. En dehors de la Coupe nationale remportée la saison dernière devant l’Asec (2-1), Gianni Bortoletto n’a rien gagné et surtout rien démontré. Sa 2è place au classement à l’issue de la saison dernière lui a été tolérée vu qu’il avait remplacé son compatriote Toto Nobile à la va-vite et surtout parce qu’il découvrait l’Afrique pour ne pas dire la Côte d’Ivoire. Depuis, Gianni Bortoletto a eu le temps de s’acclimater, de connaître son groupe, de le remodeler et de lui inculquer sa science. En vain. Il lui est principalement reproché le niveau de jeu plus que limité de certains de ses joueurs (notamment en attaque) et son mauvais recrutement. Conséquence, les regards se tournent vers le président Kuyo Téa Narcisse. Redonnera-t-il une chance à Toto Nobile qui avait démissionné (parce que manipulé) il y a presque un an jour pour jour ? Probable. Celui qui touchait dix millions de francs Cfa et qui en réclamait quatorze aurait fait son mea-culpa et n’attendrait qu’une seule chose : un signe de son président. Rappelons que Toto Nobile avait offert à l’Africa deux titres de champion de Côte d’Ivoire (2007, 2008).
Sanou Amadou (stagiaire)