A la FIF, c’est l’heure du nettoyage, Jacques Anouma , le président de la FIF a promis remettre de l’ordre dans la maison de verre en chassant certains de ses collaborateurs. Une décision sage saluée par les sportifs. Seulement, la charité bien ordonnée commençant par soi, il est recommandé que lui, Jacques Anouma, roi des perdants qu’il est, soit le premier à partir pour le bien du sport roi en terre d’Eburnie.
Installé au troisième étage de la maison de verre par un coup d’état fait en février 2002 au lendemain de la débâcle des Eléphants au Mali sous l’ère Dieng Ousseynou où il avait lui-même crée les germes de cette élimination en soudoyant les entraîneurs ( Kouadio Georges et Lama Bamba ) , Jacques Anouma est resté à la tête de la FIF, une institution qui a fait de lui ce qu’il est aujourd’hui. L’ancien fonctionnaire d’ Air-France, comme un despote, règne sans partage à la FIF et n’hésite pas à brimer ceux qui s’opposent à sa politique. Pour preuves, l’ancien président de Toumodi FC, Noël Koffi qui avait l’intention d’être président de la FIF en 2002 a vu son équipe disparaître des compétitions organisées par la FIF. En effet, cette belle formation de Toumodi FC qui avait à son sein des joueurs comme Gervinho, Kaiper, n’existe plus. Tout simplement parce que le seigneur de la FIF l’a voulu. Autriche, victime est le président de l’EFYM, Ervé Siaba. Très jeune à l’époque, il dérangeait et n’avait pas la langue dans la poche en dénonçant les malversations à la FIF partout et à tout bout de champs. Coopté par la FIF afin l’amener à se taire, en faisant partie du bureau Exécutif, il démissionnera très vite au vu des pratiques peu dignes qui y prospéraient pour se consacrer à son club. Malheureusement pour lui, son organisation rigoureuse va inquiéter ‘’Jacou le croquant’’ qui mettra tout en œuvre pour faire descendre chaque fois l’EFYM en Ligue 2. Ainsi donc en 8 ans de règne fait de despotisme, copinage, Jacques Anouma n’a fait que brimer ses adversaires et tous ceux qui refusent de respirer comme lui. Tuant ainsi le football ivoirien. Seul compte pour lui son fauteuil. Egocentrique à souhait, celui-ci ne favorisera que son équipe l’AFAD. Qui bénéficie de tous les biens des Eléphants au détriment de ces derniers. Aujourd’hui, en un mot comme en mille, l’outrecuidant looser Jacques Anouma se doit lui-même de donner l’exemple en démissionnant bien avant la coupe du monde 2010. Coupe pour laquelle l’Etat ivoirien doit une fois de plus priver son peuple de 5 Milliards pour l’offrir au roi des perdants et de la gabegie qu’est Jacques Anouma. Qui voudra conduire les Eléphants en villégiature en Afrique du sud et non à la victoire.
L’actuel Directeur Général de la FIF par intérim (cela fait un an et demi qu’il est à ce poste) se tourne les pouces depuis qu’il est à ce poste. Mais en bon dioula c’est-à-dire commerçant dans le sang, celui-ci va se trouver une occupation pourfendeuse de devises. Toute chose qui amènera ses collaborateurs et de nombreux dirigeants de clubs à décrier sa gestion. En effet, nul n’est sans ignorer que Koné Ardiouma est passé maitre dans l’art du commerce de documents administratifs à la FIF. Son véritable commerce est celui des CIT (Certificat International de Transfert) quand ce n’est pas les documents de la maison pour faire des trafics de visa. L’homme s’est désormais mué en Agent de Joueur. En complicité avec Kouablan. Responsable de qualification des Licences, Koné Ardiouma se fait un bon pactole chaque année sur le dos des présidents de clubs et ce sous la bénédiction de son maître gourou Jacques Anouma, qui en tire des prébendes.
Le football féminin ne se porte plus bien et ce par la faute de son président Kouassi François qui dirige cette commission comme son village. L’adjoint au Maire d’Oumé est lui-même responsable de club, la Juventus de Yopougon qui domine ( ?) curieusement les compétitions. Comme son patron, il ne veut pas de la concurrence et veut seulement les meilleures joueuses dit-on en chair dans son club la Juventus. Si bien que de 16 clubs il y’a cinq ans, le football féminin ne dispose que six clubs depuis trois ans. Pire, depuis un certain temps, il demande le départ de l’entraîneur national Koudougnon Adélaide pour avoir refusé de prendre une liste de joueuses que lui proposait Kouassi François. Considérant cela comme un crime de lèse majesté et de manque de respect, ce dernier, véritable modèle de Jacques Anouma, a monté les joueuses (surtout celles de la JUVENTUS ) contre Koudougnon Adélaïde enleur demandant de ne pas répondre à ses convocations. Osant ainsi défier la DTN en affirmant qu’il est intouchable du fait de ses accointances politiques avec le président de la FIF, PDCI comme lui.
Le Président de la Commission Centrale des Arbitres, Kouakou N’Dri, ancien instituteur s’est taillé une réputation à la FIF. Les petits clubs qui veulent se maintenir et avoir la chance de toucher les 36 millions de la FIF chaque année en Ligue 1 doivent aller le ‘’saluer’’. Et déposer 5 Millions comme dessous de table, pour dit-on gérer la situation. Avec ce pécule, les arbitres à sa solde qui veulent avoir de bonnes notes sont désignés pour officier les rencontres des présidents de club qui sont passés à la caisse. Ceux des ligues inférieures qui veulent se maintenir ou monter en Ligue supérieure doivent « saluer » eux aussi l’instituteur à hauteur de 1,5 à 2 Millions de FCFA. Un véritable fonds de commerce qui désorganise notre football et fausse les résultats des compétitions. Toute une véritable mafia que Kouakou N’Dri a installée au rez-de chaussée de l’immeuble de la FIF et ceux qui ne rentrent pas dans son contexte sont phagocytés par sa bande. Au vu et au su de son président Jacques Anouma. Qui tirerait profit de ces honteuses pratiques.
Lui, c’est monsieur scandale. A la tête de la Commission des Règlements et Pénalités, Blé Dominique par ses verdicts impopulaires où il se conteste lui-même crée beaucoup de scandales dans le football ivoirien .Toutes les décisions pris par l’ancien policier de Man sont contestées par les dirigeants sportifs. Homme de loi malheureusement très corrompu, il a à plusieurs reprises, montré ses limites dans l’affaire Koffi Kra Marc – JCAT et surtout dans l’affaire Agir de Guiberoua-Hiré FC. N’hésitant pas se contredire dans cette affaire qu’il avait jugé et déjà donné raison à Hiré FC en revenant sur sa décision, dit-on à coup d’espèces sonnantes et trébuchantes. Heureusement que le responsable de la Commission d’Appel a dit le droit pour sauver Hiré FC, et singulièrement Blé Dominique. Qui avait élu domicile à l’Hôtel Ivoire, structure que gère le président de Agir de Guiberoua.
En promettant de faire le nettoyage au sein de la FIF, l’actuel président de la maison de verre de Treichville, pour avoir démontré qu’il est le vrai problème du sport roi ivoirien, doit être le premier à partir de la FIF en faisant démissionner tout son bureau, histoire de permettre au football ivoirien de redorer son blason et gagner des coupes.
Yann-Inès
Installé au troisième étage de la maison de verre par un coup d’état fait en février 2002 au lendemain de la débâcle des Eléphants au Mali sous l’ère Dieng Ousseynou où il avait lui-même crée les germes de cette élimination en soudoyant les entraîneurs ( Kouadio Georges et Lama Bamba ) , Jacques Anouma est resté à la tête de la FIF, une institution qui a fait de lui ce qu’il est aujourd’hui. L’ancien fonctionnaire d’ Air-France, comme un despote, règne sans partage à la FIF et n’hésite pas à brimer ceux qui s’opposent à sa politique. Pour preuves, l’ancien président de Toumodi FC, Noël Koffi qui avait l’intention d’être président de la FIF en 2002 a vu son équipe disparaître des compétitions organisées par la FIF. En effet, cette belle formation de Toumodi FC qui avait à son sein des joueurs comme Gervinho, Kaiper, n’existe plus. Tout simplement parce que le seigneur de la FIF l’a voulu. Autriche, victime est le président de l’EFYM, Ervé Siaba. Très jeune à l’époque, il dérangeait et n’avait pas la langue dans la poche en dénonçant les malversations à la FIF partout et à tout bout de champs. Coopté par la FIF afin l’amener à se taire, en faisant partie du bureau Exécutif, il démissionnera très vite au vu des pratiques peu dignes qui y prospéraient pour se consacrer à son club. Malheureusement pour lui, son organisation rigoureuse va inquiéter ‘’Jacou le croquant’’ qui mettra tout en œuvre pour faire descendre chaque fois l’EFYM en Ligue 2. Ainsi donc en 8 ans de règne fait de despotisme, copinage, Jacques Anouma n’a fait que brimer ses adversaires et tous ceux qui refusent de respirer comme lui. Tuant ainsi le football ivoirien. Seul compte pour lui son fauteuil. Egocentrique à souhait, celui-ci ne favorisera que son équipe l’AFAD. Qui bénéficie de tous les biens des Eléphants au détriment de ces derniers. Aujourd’hui, en un mot comme en mille, l’outrecuidant looser Jacques Anouma se doit lui-même de donner l’exemple en démissionnant bien avant la coupe du monde 2010. Coupe pour laquelle l’Etat ivoirien doit une fois de plus priver son peuple de 5 Milliards pour l’offrir au roi des perdants et de la gabegie qu’est Jacques Anouma. Qui voudra conduire les Eléphants en villégiature en Afrique du sud et non à la victoire.
L’actuel Directeur Général de la FIF par intérim (cela fait un an et demi qu’il est à ce poste) se tourne les pouces depuis qu’il est à ce poste. Mais en bon dioula c’est-à-dire commerçant dans le sang, celui-ci va se trouver une occupation pourfendeuse de devises. Toute chose qui amènera ses collaborateurs et de nombreux dirigeants de clubs à décrier sa gestion. En effet, nul n’est sans ignorer que Koné Ardiouma est passé maitre dans l’art du commerce de documents administratifs à la FIF. Son véritable commerce est celui des CIT (Certificat International de Transfert) quand ce n’est pas les documents de la maison pour faire des trafics de visa. L’homme s’est désormais mué en Agent de Joueur. En complicité avec Kouablan. Responsable de qualification des Licences, Koné Ardiouma se fait un bon pactole chaque année sur le dos des présidents de clubs et ce sous la bénédiction de son maître gourou Jacques Anouma, qui en tire des prébendes.
Le football féminin ne se porte plus bien et ce par la faute de son président Kouassi François qui dirige cette commission comme son village. L’adjoint au Maire d’Oumé est lui-même responsable de club, la Juventus de Yopougon qui domine ( ?) curieusement les compétitions. Comme son patron, il ne veut pas de la concurrence et veut seulement les meilleures joueuses dit-on en chair dans son club la Juventus. Si bien que de 16 clubs il y’a cinq ans, le football féminin ne dispose que six clubs depuis trois ans. Pire, depuis un certain temps, il demande le départ de l’entraîneur national Koudougnon Adélaide pour avoir refusé de prendre une liste de joueuses que lui proposait Kouassi François. Considérant cela comme un crime de lèse majesté et de manque de respect, ce dernier, véritable modèle de Jacques Anouma, a monté les joueuses (surtout celles de la JUVENTUS ) contre Koudougnon Adélaïde enleur demandant de ne pas répondre à ses convocations. Osant ainsi défier la DTN en affirmant qu’il est intouchable du fait de ses accointances politiques avec le président de la FIF, PDCI comme lui.
Le Président de la Commission Centrale des Arbitres, Kouakou N’Dri, ancien instituteur s’est taillé une réputation à la FIF. Les petits clubs qui veulent se maintenir et avoir la chance de toucher les 36 millions de la FIF chaque année en Ligue 1 doivent aller le ‘’saluer’’. Et déposer 5 Millions comme dessous de table, pour dit-on gérer la situation. Avec ce pécule, les arbitres à sa solde qui veulent avoir de bonnes notes sont désignés pour officier les rencontres des présidents de club qui sont passés à la caisse. Ceux des ligues inférieures qui veulent se maintenir ou monter en Ligue supérieure doivent « saluer » eux aussi l’instituteur à hauteur de 1,5 à 2 Millions de FCFA. Un véritable fonds de commerce qui désorganise notre football et fausse les résultats des compétitions. Toute une véritable mafia que Kouakou N’Dri a installée au rez-de chaussée de l’immeuble de la FIF et ceux qui ne rentrent pas dans son contexte sont phagocytés par sa bande. Au vu et au su de son président Jacques Anouma. Qui tirerait profit de ces honteuses pratiques.
Lui, c’est monsieur scandale. A la tête de la Commission des Règlements et Pénalités, Blé Dominique par ses verdicts impopulaires où il se conteste lui-même crée beaucoup de scandales dans le football ivoirien .Toutes les décisions pris par l’ancien policier de Man sont contestées par les dirigeants sportifs. Homme de loi malheureusement très corrompu, il a à plusieurs reprises, montré ses limites dans l’affaire Koffi Kra Marc – JCAT et surtout dans l’affaire Agir de Guiberoua-Hiré FC. N’hésitant pas se contredire dans cette affaire qu’il avait jugé et déjà donné raison à Hiré FC en revenant sur sa décision, dit-on à coup d’espèces sonnantes et trébuchantes. Heureusement que le responsable de la Commission d’Appel a dit le droit pour sauver Hiré FC, et singulièrement Blé Dominique. Qui avait élu domicile à l’Hôtel Ivoire, structure que gère le président de Agir de Guiberoua.
En promettant de faire le nettoyage au sein de la FIF, l’actuel président de la maison de verre de Treichville, pour avoir démontré qu’il est le vrai problème du sport roi ivoirien, doit être le premier à partir de la FIF en faisant démissionner tout son bureau, histoire de permettre au football ivoirien de redorer son blason et gagner des coupes.
Yann-Inès
