On n’a pas fini d’entendre parler d’elle. Le temps écoulé n’a eu ni raison de son savoir-faire, ni de son physique.
La diva, Aïcha Koné, puisque c’est d’elle qu’il s’agit, totalise 35 ans de carrière, 22 albums et plusieurs prix.
Pour la présentation de son dernier opus, «Wassa» sorti chez King production, la diva de la musique ivoirienne était face à la presse, vendredi dernier, à l’hôtel Pullman. Dans cet album, la diva chante les louanges de Laurent Gbagbo, Président de la République de Côte d’Ivoire. A qui, elle a dédié un titre : «Le lion de Mama».
L’artiste montre son engagement pour la paix, à travers les titres «Mori bayassa». Après l’indépendance politique, la filleule de feu Myriam Makéba demande l’indépendance économique pour son continent dans le titre «Wassa» (nom de l’album) et «Africa liberté». Aïcha Koné passe au peigne fin des faits de société tels les problèmes entre coépouses. Les maris qui cajolent les autres femmes et briment leurs premières épouses. La mère de Tchaga fait un clin d’œil à ces femmes à travers «Première femme». Dans «Djougouya», elle dénonce la méchanceté. Elle a aussi repris «Amioh» de Bébé Manga.
M. Koné Sériba, représentant le président du Conseil économique et social, parrain de la cérémonie, dira d’elle : «Aïcha Koné doit assumer l’héritage laissé par sa devancière, Mama Africa, Myriam Makéba».
Cet album de 8 titres, disponible maintenant dans les kiosques, a été arrangé par Koudou Athanase.
Auteur de cet article: Marie Chantal Obindé
La diva, Aïcha Koné, puisque c’est d’elle qu’il s’agit, totalise 35 ans de carrière, 22 albums et plusieurs prix.
Pour la présentation de son dernier opus, «Wassa» sorti chez King production, la diva de la musique ivoirienne était face à la presse, vendredi dernier, à l’hôtel Pullman. Dans cet album, la diva chante les louanges de Laurent Gbagbo, Président de la République de Côte d’Ivoire. A qui, elle a dédié un titre : «Le lion de Mama».
L’artiste montre son engagement pour la paix, à travers les titres «Mori bayassa». Après l’indépendance politique, la filleule de feu Myriam Makéba demande l’indépendance économique pour son continent dans le titre «Wassa» (nom de l’album) et «Africa liberté». Aïcha Koné passe au peigne fin des faits de société tels les problèmes entre coépouses. Les maris qui cajolent les autres femmes et briment leurs premières épouses. La mère de Tchaga fait un clin d’œil à ces femmes à travers «Première femme». Dans «Djougouya», elle dénonce la méchanceté. Elle a aussi repris «Amioh» de Bébé Manga.
M. Koné Sériba, représentant le président du Conseil économique et social, parrain de la cérémonie, dira d’elle : «Aïcha Koné doit assumer l’héritage laissé par sa devancière, Mama Africa, Myriam Makéba».
Cet album de 8 titres, disponible maintenant dans les kiosques, a été arrangé par Koudou Athanase.
Auteur de cet article: Marie Chantal Obindé