L’AICF (Agence ivoirienne de coopération française), organisatrice de la 2è édition du SIICA (Salon international des industries culturelles d’Abidjan), a fait le point de ses activités, le lundi 22 février 2010, au CES (Conseil économique et social).
Du 23 au 28 novembre 2010, l’AICF organisera à Abidjan la 2è édition du SIICA 2010. Avant l’événement, elle a fait le point de ses activités et recueilli les propositions de ses partenaires. Egué-Kraidy Marie-Laure, Daf du SIICA 2010, a fait savoir que l’objet du salon est de relancer les industries culturelles en côte d’Ivoire, afin de rendre le secteur de la culture plus rentable. A l’en croire, il sera un village des industries culturelles dénommé ‘’Akwaba Cité’’, qui est un marché de vente et d’exposition. Le SIICA 2010, précise-t-elle, se veut une manifestation pérenne, qui veut rivaliser avec le Fespaco (Festival de promotion des arts et de la culture de Ouagadougou) et autres festivals. Fort de cela, Egué-Kraidy Marie-Laure a milité pour une meilleure implication des opérateurs du secteur culturel, puisque, la part belle sera faite aux structures de production en masse, à savoir : mode et design, livre et édition, musique, multimédia, impression (journaux), cinéma et audiovisuel, etc. « Il faut une adhésion massive des acteurs culturels au projet afin de le rendre viable », a-t-elle expliqué. Le Daf du SIICA 2010 s’est voulue très rassurante, quant à la participation de certains pays émergents comme le Brésil et l’Inde (pays invités d’honneur), ainsi que l’Egypte (l’invité spécial). La présence de ces différents pays, soulignent les organisateurs, est de montrer leur savoir-faire et exposer leurs compétences en matière de promotion d’art et de la culture.
K.Patrick
Du 23 au 28 novembre 2010, l’AICF organisera à Abidjan la 2è édition du SIICA 2010. Avant l’événement, elle a fait le point de ses activités et recueilli les propositions de ses partenaires. Egué-Kraidy Marie-Laure, Daf du SIICA 2010, a fait savoir que l’objet du salon est de relancer les industries culturelles en côte d’Ivoire, afin de rendre le secteur de la culture plus rentable. A l’en croire, il sera un village des industries culturelles dénommé ‘’Akwaba Cité’’, qui est un marché de vente et d’exposition. Le SIICA 2010, précise-t-elle, se veut une manifestation pérenne, qui veut rivaliser avec le Fespaco (Festival de promotion des arts et de la culture de Ouagadougou) et autres festivals. Fort de cela, Egué-Kraidy Marie-Laure a milité pour une meilleure implication des opérateurs du secteur culturel, puisque, la part belle sera faite aux structures de production en masse, à savoir : mode et design, livre et édition, musique, multimédia, impression (journaux), cinéma et audiovisuel, etc. « Il faut une adhésion massive des acteurs culturels au projet afin de le rendre viable », a-t-elle expliqué. Le Daf du SIICA 2010 s’est voulue très rassurante, quant à la participation de certains pays émergents comme le Brésil et l’Inde (pays invités d’honneur), ainsi que l’Egypte (l’invité spécial). La présence de ces différents pays, soulignent les organisateurs, est de montrer leur savoir-faire et exposer leurs compétences en matière de promotion d’art et de la culture.
K.Patrick