Depuis un certain temps, la Côte d’ivoire traverse une situation difficile due au délestage. Malgré le fait que cela cause assez de dégâts, personne n’ose lever le petit doigt pour dénoncer ce fait qui a pour responsables les refondateurs avec à leur tête Laurent Gbagbo.
Depuis l’arrivée des refondateurs au pouvoir en 2000 dans des conditions calamiteuses, la Côte d’Ivoire n’a connu que de problèmes conduisant très souvent à la mort d’innocents citoyens. Sous la refondation, le pays a connu des scandales de tous genres. Détournement dans la filière café-cacao, escroquerie à la compagnie de société de téléphonie mobile MTN, déchets toxiques, l’eau contenant des excréments humains servie à la consommation, incendie par-ci et par-là, aujourd’hui, c’est le délestage. Les refondateurs, premiers responsables de ces malheurs que vivent les Ivoiriens, sont toujours restés insensibles face à ces situations honteuses et parfois tragiques. Ce qui ne devait pas être le cas pour l’opposition. Malheureusement, un constat est fait. L’opposition ivoirienne, tenue par le Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP), dans ces situations là, n’a jamais levé le petit doigt pour interpeller les gouvernants actuels. Aucune action d’envergure n’a été menée par l’opposition pour dénoncer les situations qui ont toujours causé des préjudices soit moraux, soit physiques ou matériels, au pauvre peuple de Côte d’Ivoire qui ne cesse de prier nuit et jour, pour que les élections se tiennent. Et pourtant, il a suffi que Laurent Gbagbo dissolve la Commission électorale indépendante (CEI) et le gouvernement pour que l’opposition, regroupée au sein du RHDP, sorte le grand jeu pour démontrer au Fpi et à ses alliés qu’ils ne représentent rien. Le pouvoir, c’est pour le bien-être du peuple et non pour une minorité. L’opposition ne doit pas se comporter comme le Fpi qui est arrivé au pouvoir pour se servir et non servir. Concernant le délestage, l’opposition devrait agir pour le bien-être des Ivoiriens. Le faisant, Laurent Gbagbo n’aurait pas tarder à se prononcer là-dessus. Car, tous les Ivoiriens ont compris que le camp présidentiel n’écoute que le langage de la rue. C’est parce qu’en l’état, l’opposition est restée muette et que le chef de l’Etat est venu une fois encore se moquer des ivoiriens à la télévision, le samedi dernier. On peut donc en déduire que l’opposition est aussi coupable des excès du camp présidentiel du fait qu’elle a toujours gardé la bouche fermée, face à des situations critiques autres que la politique.
Etienne Lemistick
Depuis l’arrivée des refondateurs au pouvoir en 2000 dans des conditions calamiteuses, la Côte d’Ivoire n’a connu que de problèmes conduisant très souvent à la mort d’innocents citoyens. Sous la refondation, le pays a connu des scandales de tous genres. Détournement dans la filière café-cacao, escroquerie à la compagnie de société de téléphonie mobile MTN, déchets toxiques, l’eau contenant des excréments humains servie à la consommation, incendie par-ci et par-là, aujourd’hui, c’est le délestage. Les refondateurs, premiers responsables de ces malheurs que vivent les Ivoiriens, sont toujours restés insensibles face à ces situations honteuses et parfois tragiques. Ce qui ne devait pas être le cas pour l’opposition. Malheureusement, un constat est fait. L’opposition ivoirienne, tenue par le Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP), dans ces situations là, n’a jamais levé le petit doigt pour interpeller les gouvernants actuels. Aucune action d’envergure n’a été menée par l’opposition pour dénoncer les situations qui ont toujours causé des préjudices soit moraux, soit physiques ou matériels, au pauvre peuple de Côte d’Ivoire qui ne cesse de prier nuit et jour, pour que les élections se tiennent. Et pourtant, il a suffi que Laurent Gbagbo dissolve la Commission électorale indépendante (CEI) et le gouvernement pour que l’opposition, regroupée au sein du RHDP, sorte le grand jeu pour démontrer au Fpi et à ses alliés qu’ils ne représentent rien. Le pouvoir, c’est pour le bien-être du peuple et non pour une minorité. L’opposition ne doit pas se comporter comme le Fpi qui est arrivé au pouvoir pour se servir et non servir. Concernant le délestage, l’opposition devrait agir pour le bien-être des Ivoiriens. Le faisant, Laurent Gbagbo n’aurait pas tarder à se prononcer là-dessus. Car, tous les Ivoiriens ont compris que le camp présidentiel n’écoute que le langage de la rue. C’est parce qu’en l’état, l’opposition est restée muette et que le chef de l’Etat est venu une fois encore se moquer des ivoiriens à la télévision, le samedi dernier. On peut donc en déduire que l’opposition est aussi coupable des excès du camp présidentiel du fait qu’elle a toujours gardé la bouche fermée, face à des situations critiques autres que la politique.
Etienne Lemistick