Décédé le 02 février dernier, Criwa Zéli sera inhumé le 27 mars prochain à Williamsville. C’est pour donner l’information et le programme détaillé des obsèques du président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (Unjci), que Mam Camara et Augustin Kuyo, respectivement 1er vice- président chargé de la supervision de l’administration et 5e vice- président chargé des relations extérieures étaient, hier, face à leurs confrères, à la Maison de la presse. Il s’agissait également pour les conférenciers de communiquer sur l’organisation pratique des funérailles et sonner la mobilisation.
Un pagne vendu à 2000 F Cfa l’unité et des tee-shirts gracieusement offerts aux hommes de médias sont les tenues recommandées lors de ces obsèques. Pour ce qui est du programme, il démarre véritablement le mercredi 24 mars 2010 à partir de 20h30 avec une veillée religieuse à l’église Notre Dame de l’Assomption de Koumassi. Mais avant, il est prévu, le samedi 20 mars, une veillée traditionnelle à la place Inch’Allah de Koumassi.
Le bureau exécutif de l’Unjci a choisi le jeudi 25 mars pour la journée hommage à Criwa Zéli. Pour les conférenciers, c’est l’affaire de tous les hommes de médias. En attendant de bien ficeler le programme de cette journée qui se déroulera à la Maison de la presse, il faut tout simplement retenir qu’elle va débuter par une cérémonie officielle en présence d’autorités, partenaires et autres. Suivront ensuite les témoignages, etc.
La grande veillée avec le piquet d’honneur par rédaction est annoncée pour le vendredi 26 mars, à Ivosep. Et samedi, à 11h, au cimetière de Williamsville, ce sera l’ultime séparation, le moment fatidique. De celui que Adama Bictogo, secrétaire national du Rdr chargé des relations avec les autres partis politiques, qualifiait «d’homme valeur, altruiste à souhait, une étoile de la communication, un travailleur exemplaire, un défenseur des hommes de médias».Mais avant la levée du corps a lieu à 9 heures, suivie de la messe de requiem à l’église Notre Dame de l’Assomption de Koumassi. Beaucoup d’hommes de médias sont encore sous le choc de la mort de Criwa Zéli.
Au nombre de ceux-ci, Zio Moussa, président de l’Observatoire de la liberté de la presse, de l’éthique et de la déontologie (Olped), qui soutient: « Criwa Zéli, pour la corporation, est irremplaçable. C’est un jeune et il fait partie de la jeunesse sur laquelle les anciens comptent.». Quant à Félix Nanihio, secrétaire général du Conseil national de la communication audiovisuelle (Cnca), il s’incline devant la dépouille mortelle de Criwa qu’il considère comme étant triplement son frangin (en tant que ressortissant de la même région, cadet de fac et collaborateur. Pour bien faire les choses, les conférenciers ont annoncé que des bus seront mis à la disposition des confrères pour une participation active à ces obsèques.
Marie Chantal Obindé
Un pagne vendu à 2000 F Cfa l’unité et des tee-shirts gracieusement offerts aux hommes de médias sont les tenues recommandées lors de ces obsèques. Pour ce qui est du programme, il démarre véritablement le mercredi 24 mars 2010 à partir de 20h30 avec une veillée religieuse à l’église Notre Dame de l’Assomption de Koumassi. Mais avant, il est prévu, le samedi 20 mars, une veillée traditionnelle à la place Inch’Allah de Koumassi.
Le bureau exécutif de l’Unjci a choisi le jeudi 25 mars pour la journée hommage à Criwa Zéli. Pour les conférenciers, c’est l’affaire de tous les hommes de médias. En attendant de bien ficeler le programme de cette journée qui se déroulera à la Maison de la presse, il faut tout simplement retenir qu’elle va débuter par une cérémonie officielle en présence d’autorités, partenaires et autres. Suivront ensuite les témoignages, etc.
La grande veillée avec le piquet d’honneur par rédaction est annoncée pour le vendredi 26 mars, à Ivosep. Et samedi, à 11h, au cimetière de Williamsville, ce sera l’ultime séparation, le moment fatidique. De celui que Adama Bictogo, secrétaire national du Rdr chargé des relations avec les autres partis politiques, qualifiait «d’homme valeur, altruiste à souhait, une étoile de la communication, un travailleur exemplaire, un défenseur des hommes de médias».Mais avant la levée du corps a lieu à 9 heures, suivie de la messe de requiem à l’église Notre Dame de l’Assomption de Koumassi. Beaucoup d’hommes de médias sont encore sous le choc de la mort de Criwa Zéli.
Au nombre de ceux-ci, Zio Moussa, président de l’Observatoire de la liberté de la presse, de l’éthique et de la déontologie (Olped), qui soutient: « Criwa Zéli, pour la corporation, est irremplaçable. C’est un jeune et il fait partie de la jeunesse sur laquelle les anciens comptent.». Quant à Félix Nanihio, secrétaire général du Conseil national de la communication audiovisuelle (Cnca), il s’incline devant la dépouille mortelle de Criwa qu’il considère comme étant triplement son frangin (en tant que ressortissant de la même région, cadet de fac et collaborateur. Pour bien faire les choses, les conférenciers ont annoncé que des bus seront mis à la disposition des confrères pour une participation active à ces obsèques.
Marie Chantal Obindé