En route pour la prochaine Can féminine, la nouvelle sélectionneuse nationale entend confirmer le bon résultat obtenu à l’aller devant le Gabon. Mieux, elle révèle que le football féminin ivoirien a pris un nouveau départ.
Tout le monde a été surpris de vous voir quitter la Guinée Equatoriale malgré les bons résultats que vous avez obtenus là-bas…
(Sourire) Pour la Côte d’Ivoire, je suis prête à tous les sacrifices. Depuis Malabo, j’avais mal au cœur de voir mon pays souffrir au niveau de son football féminin. Lorsque le président de la Fif, Jacques Anouma, m’a fait appel, je ne pouvais pas dire non. Je suis là quand bien même la Guinée Equatoriale a refusé de me libérer.
De quels maux souffre notre football féminin ?
Il y a tellement de problèmes, à commencer par le manque d’informations… Je n’oublie pas l’absence de promotion mais surtout l’inorganisation. Avec les nouvelles idées du président de la commission du football féminin, Kouassi François, nous prendrons un nouveau départ.
N’y a-t-il pas un problème de talent ?
Nous avons les joueuses qu’il faut pour toutes les compétitions. Elles peuvent rivaliser avec les autres au plan international. Je le répète, notre problème est d’ordre organisationnel. Il faut savoir aussi qu’on ne va pas à la Can sans préparation.
Sur quoi avez-vous mis l’accent depuis votre nomination ?
J’ai été nommée à une semaine du match-aller contre le Gabon. J’ai juste insisté sur l’aspect tactique et la technique individuelle des filles.
On peut dire que tout va bien pour vous surtout après votre succès (1-2) au Gabon, lors de la manche aller des éliminatoires de la prochaine Can féminine…
Mon objectif était de gagner au Gabon en attendant le retour. En cas de qualification, nous aurons deux mois pour préparer l’équipe contre le Nigeria.
Après vos bons résultats en Guinée Equatoriale, êtes-vous consciente que tout le monde attend au moins la même chose ici ?
Dans un premier temps, nous voulons nous qualifier pour la prochaine Can féminine. C’est le plus important.
Entretien réalisé par Sanou Amadou (stagiaire)
Tout le monde a été surpris de vous voir quitter la Guinée Equatoriale malgré les bons résultats que vous avez obtenus là-bas…
(Sourire) Pour la Côte d’Ivoire, je suis prête à tous les sacrifices. Depuis Malabo, j’avais mal au cœur de voir mon pays souffrir au niveau de son football féminin. Lorsque le président de la Fif, Jacques Anouma, m’a fait appel, je ne pouvais pas dire non. Je suis là quand bien même la Guinée Equatoriale a refusé de me libérer.
De quels maux souffre notre football féminin ?
Il y a tellement de problèmes, à commencer par le manque d’informations… Je n’oublie pas l’absence de promotion mais surtout l’inorganisation. Avec les nouvelles idées du président de la commission du football féminin, Kouassi François, nous prendrons un nouveau départ.
N’y a-t-il pas un problème de talent ?
Nous avons les joueuses qu’il faut pour toutes les compétitions. Elles peuvent rivaliser avec les autres au plan international. Je le répète, notre problème est d’ordre organisationnel. Il faut savoir aussi qu’on ne va pas à la Can sans préparation.
Sur quoi avez-vous mis l’accent depuis votre nomination ?
J’ai été nommée à une semaine du match-aller contre le Gabon. J’ai juste insisté sur l’aspect tactique et la technique individuelle des filles.
On peut dire que tout va bien pour vous surtout après votre succès (1-2) au Gabon, lors de la manche aller des éliminatoires de la prochaine Can féminine…
Mon objectif était de gagner au Gabon en attendant le retour. En cas de qualification, nous aurons deux mois pour préparer l’équipe contre le Nigeria.
Après vos bons résultats en Guinée Equatoriale, êtes-vous consciente que tout le monde attend au moins la même chose ici ?
Dans un premier temps, nous voulons nous qualifier pour la prochaine Can féminine. C’est le plus important.
Entretien réalisé par Sanou Amadou (stagiaire)
