A part la Riviera Palmeraie, et une partie de la Riviera 2 et 3, les communes du District d’Abidjan, n’ont pas connu de perturbation d’électricité au cours de la journée du vendredi 19 mars 2010. Il en est de même pour certaines villes de l’intérieur, notamment Bouaké où la distribution du courant électrique ne s’est pas interrompue.
«La Côte d’Ivoire ne mérite pas une situation pareille », déclarait le ministre Augustin Komoé Kouadio, le 1er mars 2010 à sa prise de fonction. Faisant allusion aux conséquences du délestage, le nouveau ministre des Mines et de l’Energie avait souligné : ‘’Il faut permettre à la Côte d’Ivoire de sortir rapidement de la situation du délestage afin de lui permettre de jouer son rôle de locomotive de la sous-région’’. La recherche permanente de solutions va ainsi permettre de soulager la population. Ainsi, la crise de l’énergie, pourrait-on le dire, est désormais derrière les Ivoiriens. Elle a pris fin le vendredi 19 mars 2010. Comme l’ont annoncé les responsables d’Azito, lors de la visite du ministre des Mines et de l’Energie, Augustin Komoé Kouadio. Cela a été constaté hier. Donnant ainsi raison au Président Laurent Gbagbo dont le discours à la nation du 13 mars dernier sur le délestage avait été commenté et traité de diverses manières. Certains avaient même traité cette sortie du président de la République de discours de politicien. Alors que celui-ci annonçait la fin du délestage en fin de semaine. Ce qu’ont confirmé les premiers responsables d’Azito. Qui ont joint l’acte à la parole, en épargnant depuis hier les Ivoiriens du délestage. Même si le spectre du délestage demeure, avec une interruption de plus de 18 heures d’affilée à la Riviera, toujours est-il que la journée du vendredi n’a pas été perturbée. Comme cela se vit depuis plus d’un mois. Mieux, pour prévenir d’éventuelle crise, en attendant la mise en chantier du barrage de Soubré, des dispositions ont été prises. Il s’agit entre autres de la fourniture de l’énergie à partir du Ghana, a assuré le ministre Augustin Komoé Kouadio, lors de sa visite à Azito. Mais à y voir de prêt, la misère des Ivoiriens n’est pas encore terminée. Parce qu’ils doivent faire face à une nouvelle crise. Celle de l’eau. C’est une crise imminente tant que des investissements ne sont pas faits à temps. Vu l’urgence, le conseil des ministres du jeudi 18 mars 2010 tenu à Yamoussoukro en ait fait un de ses sujets au cours des débats.
Honoré Kouassi
«La Côte d’Ivoire ne mérite pas une situation pareille », déclarait le ministre Augustin Komoé Kouadio, le 1er mars 2010 à sa prise de fonction. Faisant allusion aux conséquences du délestage, le nouveau ministre des Mines et de l’Energie avait souligné : ‘’Il faut permettre à la Côte d’Ivoire de sortir rapidement de la situation du délestage afin de lui permettre de jouer son rôle de locomotive de la sous-région’’. La recherche permanente de solutions va ainsi permettre de soulager la population. Ainsi, la crise de l’énergie, pourrait-on le dire, est désormais derrière les Ivoiriens. Elle a pris fin le vendredi 19 mars 2010. Comme l’ont annoncé les responsables d’Azito, lors de la visite du ministre des Mines et de l’Energie, Augustin Komoé Kouadio. Cela a été constaté hier. Donnant ainsi raison au Président Laurent Gbagbo dont le discours à la nation du 13 mars dernier sur le délestage avait été commenté et traité de diverses manières. Certains avaient même traité cette sortie du président de la République de discours de politicien. Alors que celui-ci annonçait la fin du délestage en fin de semaine. Ce qu’ont confirmé les premiers responsables d’Azito. Qui ont joint l’acte à la parole, en épargnant depuis hier les Ivoiriens du délestage. Même si le spectre du délestage demeure, avec une interruption de plus de 18 heures d’affilée à la Riviera, toujours est-il que la journée du vendredi n’a pas été perturbée. Comme cela se vit depuis plus d’un mois. Mieux, pour prévenir d’éventuelle crise, en attendant la mise en chantier du barrage de Soubré, des dispositions ont été prises. Il s’agit entre autres de la fourniture de l’énergie à partir du Ghana, a assuré le ministre Augustin Komoé Kouadio, lors de sa visite à Azito. Mais à y voir de prêt, la misère des Ivoiriens n’est pas encore terminée. Parce qu’ils doivent faire face à une nouvelle crise. Celle de l’eau. C’est une crise imminente tant que des investissements ne sont pas faits à temps. Vu l’urgence, le conseil des ministres du jeudi 18 mars 2010 tenu à Yamoussoukro en ait fait un de ses sujets au cours des débats.
Honoré Kouassi
