La Fondation internationale des journalistes et assimilés (FIJA) est le nouveau né dans l’univers syndicale de la presse ivoirienne. Avant sa grande sortie prévue pour le 21 avril 2010 au Plateau, elle occupe déjà le terrain du social de la formation par un projet clair et concis visant à assister les journalistes et assimilés de la presse en Côte d’Ivoire.
« Venir combler le vide en instituant une couverture médicale digne des journalistes Ivoiriens pour espérer un rendement meilleur ». Tel est le sens du combat mené par Blaise Sahiri, président de FIJA, homme de sérail, journaliste de profession, directeur de publication du journal ‘’le Bucheron’’. Pour ce professionnel des médias, la Fondation qu’il préside viendra combler le vide sur le plan social à travers un système de santé calqué sur le modèle des grandes entreprises de Côte d’Ivoire. « Il ne faudrait pas que les journalistes vivent dans la hantise de la précarité sociale » s’est-il insurgé. Avant d’ajouter : « avec nos partenaires, les journalistes et assimilés de la presse, les infographes, les techniciens… pourront dans le moyen terme bénéficier des soins avec la construction de trois cliniques : Angré, Marcory et Abobo ». Blaise Sahiri et sa fondation ambitionnent aussi d’investir le terrain de la formation, avec l’octroi des bourses aux journalistes les plus méritants et la prise en charge des correspondants de presse à l’intérieur du pays. Tout ce programme sera opérationnel dès la grande sortie de la fondation qui est prévue pour le 21 avril à l’Hôtel du District au Plateau. Pour joindre l’acte à la parole, Blaise Sahiri va apporter sa compassion dans les jours qui suivent aux domiciles des différentes familles de journalistes qui ont tiré leur révérence : Criwa Zéli, Christian Kara, Nazaire Breca… la liste n’est pas exhaustive. Pour rappel, la FIJA est juridiquement constituée depuis le 19 décembre 2009 et l’adhésion comme membre est libre, ce qui donne droit à des avantages certaines pour le journaliste : réduction sur les ordonnances médicales sur présentation de la carte membre, professionnalisation de la carrière du journaliste… Nul doute qu’après le lancement de ses activités, une nouvelle ère s’ouvrira pour les journalistes de Côte d’Ivoire qui vivent dans la précarité sociale.
Williams Arthur Prescot
Photo : Blaise Sahiri
Légende : Président de la FIJA
« Venir combler le vide en instituant une couverture médicale digne des journalistes Ivoiriens pour espérer un rendement meilleur ». Tel est le sens du combat mené par Blaise Sahiri, président de FIJA, homme de sérail, journaliste de profession, directeur de publication du journal ‘’le Bucheron’’. Pour ce professionnel des médias, la Fondation qu’il préside viendra combler le vide sur le plan social à travers un système de santé calqué sur le modèle des grandes entreprises de Côte d’Ivoire. « Il ne faudrait pas que les journalistes vivent dans la hantise de la précarité sociale » s’est-il insurgé. Avant d’ajouter : « avec nos partenaires, les journalistes et assimilés de la presse, les infographes, les techniciens… pourront dans le moyen terme bénéficier des soins avec la construction de trois cliniques : Angré, Marcory et Abobo ». Blaise Sahiri et sa fondation ambitionnent aussi d’investir le terrain de la formation, avec l’octroi des bourses aux journalistes les plus méritants et la prise en charge des correspondants de presse à l’intérieur du pays. Tout ce programme sera opérationnel dès la grande sortie de la fondation qui est prévue pour le 21 avril à l’Hôtel du District au Plateau. Pour joindre l’acte à la parole, Blaise Sahiri va apporter sa compassion dans les jours qui suivent aux domiciles des différentes familles de journalistes qui ont tiré leur révérence : Criwa Zéli, Christian Kara, Nazaire Breca… la liste n’est pas exhaustive. Pour rappel, la FIJA est juridiquement constituée depuis le 19 décembre 2009 et l’adhésion comme membre est libre, ce qui donne droit à des avantages certaines pour le journaliste : réduction sur les ordonnances médicales sur présentation de la carte membre, professionnalisation de la carrière du journaliste… Nul doute qu’après le lancement de ses activités, une nouvelle ère s’ouvrira pour les journalistes de Côte d’Ivoire qui vivent dans la précarité sociale.
Williams Arthur Prescot
Photo : Blaise Sahiri
Légende : Président de la FIJA
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