Si la beauté et le glamour caractérisent la femme ivoirienne, celle-ci s’attèle désormais à monter sur le palier du mérite et de l’engagement. Tel est le sens de la Nuit des Emeraudes dont la troisième édition a distingué ses lauréates samedi dernier dans les jardins du Golf Hôtel, à Cocody. Avec, comme cerise sur le gâteau, le récital acoustique donné par Pascal Lokua Kanza qui a fait chanter les convives constituées en majorité de dames. Issues de divers secteurs socioprofessionnels, les six "Emeraudes" de l’année ont été sélectionnées par le jury présidé par Wêrê-Wêrê Liking. Ce sont, entre autres, leur travail bien fait, l’engagement pour la cause du bien-être des Ivoiriens qui leur ont valu d’être mises devant les projecteurs, à l’unanimité du jury et du public. Ce dîner-gala savamment achalandé par la structure événementielle "Wendy & Co" a enregistré également la vente et l’acquisition, aux enchères d’un tableau confectionné des mains de Wêrê-Wêrê Liking. La somme recueillie (700 mille FCFA) va à une structure d’aide à l’enfance en difficultés basée à Marcory. Outre cette vente aux enchères, le volet caritatif a également enregistré une levée de fonds.
Pour le côté festif, Pascal Lokua a, une fois de plus, communié avec un public acquis à sa cause qui reprenait des couplets de ses chansons à succès. C’est autour de 23H15 que, sanglé dans un costume noir (le tout premier selon ses dires), chaussé de tennis, qu’il monte sur le podium. Grattant sur sa guitare sèche, il entame son récital avec son titre "Wapio". Dans des intermèdes, il fait pouffer le public de rire avec quelques blagues dont il a le secret. Et les spectateurs le lui rendent bien. Au final, les femmes prennent l’engagement de jouer des rôles de premier plan, mais, d’être surtout encore plus offensives dans le bien-être de leurs concitoyens.
Jean- Antoine Doudou
Pour le côté festif, Pascal Lokua a, une fois de plus, communié avec un public acquis à sa cause qui reprenait des couplets de ses chansons à succès. C’est autour de 23H15 que, sanglé dans un costume noir (le tout premier selon ses dires), chaussé de tennis, qu’il monte sur le podium. Grattant sur sa guitare sèche, il entame son récital avec son titre "Wapio". Dans des intermèdes, il fait pouffer le public de rire avec quelques blagues dont il a le secret. Et les spectateurs le lui rendent bien. Au final, les femmes prennent l’engagement de jouer des rôles de premier plan, mais, d’être surtout encore plus offensives dans le bien-être de leurs concitoyens.
Jean- Antoine Doudou
