Le Bureau exécutif de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (Unjci) a organisé, hier, à la Maison de la presse, une cérémonie d’hommage aux différents présidents qui se sont succédé à la tête de l’Unjci.
Leurs portraits meublent les murs de la maison de la presse. Yao Noël a fait l’historique de cette union et rendu hommage à Diégou Bailly.
Pour Honorat de Yédagne, l’Unjci doit demeurer un instrument au service de la corporation et non une machine à soutenir un régime, ou les intérêts de celui qui le dirige. D’ailleurs, le directeur d’ «Afrique compétences» a fait un véritable plaidoyer en ces termes: «Le vrai héritage à préserver, c’est le combat pour la liberté de la presse, pour la réhabilitation socio- professionnelle du journaliste ivoirien. Ce combat n’est pas négociable»
Quant à Amos Béonaho,il dira en substance que le seul combat qui vaille la peine d’être mené est celui de l’application de la convention collective, à savoir la juste rémunération du travail abattu par les journalistes. Les défunts présidents Diegou Bailly et Criwa Zéli étaient représentés par leurs épouses respectives. «Célébrer de la sorte nos maris avec leurs photos à la Maison de la presse prouve qu’ils demeurent toujours dans les esprits», a relevé Mme Diégou Bailly Awa, au nom des récipiendaires.
Ils ont reçu des présents de la part de l’Unjci et de l’ambassadeur de Chine représenté par son attaché culturel, M. Liu. La cérémonie d’hommage s’est déroulée en présence de Mme Kouassi, représentant le ministre de la Communication, Ibrahim Sy Savané et Eugène Dié Kacou, président du Conseil national de la presse (Cnp).
C’est le lieu de rappeler que 6 présidents se sont succédé à la tête de l’union : Yao Noël (1991-1993), Diégou Bailly (1994-1998), Honorat Dé Yédagne (1998-2003), Amos Béonaho (2003-2008), Criwa Zéli (2009-2010) et l’actuel, depuis avril dernier, Mam Camara.
Marie Chantal Obindé
Leurs portraits meublent les murs de la maison de la presse. Yao Noël a fait l’historique de cette union et rendu hommage à Diégou Bailly.
Pour Honorat de Yédagne, l’Unjci doit demeurer un instrument au service de la corporation et non une machine à soutenir un régime, ou les intérêts de celui qui le dirige. D’ailleurs, le directeur d’ «Afrique compétences» a fait un véritable plaidoyer en ces termes: «Le vrai héritage à préserver, c’est le combat pour la liberté de la presse, pour la réhabilitation socio- professionnelle du journaliste ivoirien. Ce combat n’est pas négociable»
Quant à Amos Béonaho,il dira en substance que le seul combat qui vaille la peine d’être mené est celui de l’application de la convention collective, à savoir la juste rémunération du travail abattu par les journalistes. Les défunts présidents Diegou Bailly et Criwa Zéli étaient représentés par leurs épouses respectives. «Célébrer de la sorte nos maris avec leurs photos à la Maison de la presse prouve qu’ils demeurent toujours dans les esprits», a relevé Mme Diégou Bailly Awa, au nom des récipiendaires.
Ils ont reçu des présents de la part de l’Unjci et de l’ambassadeur de Chine représenté par son attaché culturel, M. Liu. La cérémonie d’hommage s’est déroulée en présence de Mme Kouassi, représentant le ministre de la Communication, Ibrahim Sy Savané et Eugène Dié Kacou, président du Conseil national de la presse (Cnp).
C’est le lieu de rappeler que 6 présidents se sont succédé à la tête de l’union : Yao Noël (1991-1993), Diégou Bailly (1994-1998), Honorat Dé Yédagne (1998-2003), Amos Béonaho (2003-2008), Criwa Zéli (2009-2010) et l’actuel, depuis avril dernier, Mam Camara.
Marie Chantal Obindé