Le vendredi 30 avril, le centre culturel américain a organisé un atelier de formation à l’endroit des directeurs de publication au siège du Groupement des éditeurs de presse (Gepci).
A l’initiative du Centre culturel américain, Joan Sanger, consultante en gestion des PME, atelier sur la gestion des entreprises de presse. La consultante a proposé des méthodes pour véritablement à vivre du métier de journaliste. Telles que faire payer les reportages pour créer un lien entre le journal et la publicité ; organiser des événements et écrire sur des individus qu’on ne connaît pas. Selon elle, un journaliste doit innover et savoir relever des défis. Elle a insisté sur le fait qu’il devient difficile de faire du journalisme quand on est financé par un parti et que la seule façon d’être un journal indépendant c’est plutôt de se laisser financé par une ONG. Pour terminer, elle a proposé des sites aux patrons de presse susceptibles de les aider à trouver des organisations pourvoyeuses de fonds pour les journaux.
Au nom de tous les patrons de presse, Denis Kah Zion, président du Gepci a pris la parole en disant qu’il faut rendre plus vital les entreprises de presse malgré tous les maux qu’elles rencontrent. Ce séminaire est donc le bienvenu, a-t-il indiqué. C’est sur les mots de la directrice du centre culturel américain. Mme Sita Liane Chakrawarti, que le séminaire a pris fin, elle a particulièrement invité tous les journalistes à visiter la bibliothèque du CCA pour mieux se cultiver afin d’informer librement le citoyen.
Bénédicte Tollah
A l’initiative du Centre culturel américain, Joan Sanger, consultante en gestion des PME, atelier sur la gestion des entreprises de presse. La consultante a proposé des méthodes pour véritablement à vivre du métier de journaliste. Telles que faire payer les reportages pour créer un lien entre le journal et la publicité ; organiser des événements et écrire sur des individus qu’on ne connaît pas. Selon elle, un journaliste doit innover et savoir relever des défis. Elle a insisté sur le fait qu’il devient difficile de faire du journalisme quand on est financé par un parti et que la seule façon d’être un journal indépendant c’est plutôt de se laisser financé par une ONG. Pour terminer, elle a proposé des sites aux patrons de presse susceptibles de les aider à trouver des organisations pourvoyeuses de fonds pour les journaux.
Au nom de tous les patrons de presse, Denis Kah Zion, président du Gepci a pris la parole en disant qu’il faut rendre plus vital les entreprises de presse malgré tous les maux qu’elles rencontrent. Ce séminaire est donc le bienvenu, a-t-il indiqué. C’est sur les mots de la directrice du centre culturel américain. Mme Sita Liane Chakrawarti, que le séminaire a pris fin, elle a particulièrement invité tous les journalistes à visiter la bibliothèque du CCA pour mieux se cultiver afin d’informer librement le citoyen.
Bénédicte Tollah