Plus de 200 praticiens participent depuis hier, à Yamoussoukro, aux traditionnels Enseignements post-universitaires (Epu) du Syndicat national des cadres supérieurs de la santé (Synacass-ci). Thème : ''la prise en charge des maladies chroniques''. Des affections, selon Dr Atté Boka, secrétaire général du Synacass-ci, qui s'étendent dans le temps et qui demeurent en permanence. Leur prise en charge est une véritable équation par ces temps de crise économique.
Elle requiert aussi une mise à niveau constante des connaissances scientifiques. Une formation continue qui se justifie par « la persistance des grandes endémies, la recrudescence des pandémies, la propagation incessante des épidémies, l'émergence mondiale d'infections d'un nouveau type. Les participants seront instruits sur : les nouvelles méthodes de prise en charge du VIH-Sida, de l'asthme, du rhumatisme articulaire, les hépatites, l'hypertension artérielle et le diabète et les accidents vasculaires cérébraux. Présidant la cérémonie d'ouverture, le ministre de la Santé et de l'hygiène publique, Dr Aka Ahouélé, a estimé que le sujet choisi est d'actualité. Car, il occupe une place de choix dans sa vision. Selon lui, à cause de la durée de leur prise en charge, leurs coûts financiers, techniques et structurels, ces maladies constituent un réel problème de santé publique : « (…). Les véritables freins au développement de notre pays sont, entre autres, les affections cardiovasculaires, les pathologies graves comme l'ulcère de Burilis, les hépatites, le VIH-Sida … ».
Dr Aka Ahouélé a invité les praticiens à jouer davantage leur rôle d'agents de développement en participant à la prévention de nombreuses pathologies. Pour lui, cette rencontre est d'autant plus importante qu'elle s'inscrit dans la droite ligne de la formation continue. Il y voit un cadre privilégié de réflexion, de concertation, et de proposition. L'Epu 2010 prendra fin, samedi prochain.
Ousmane Diallo à Yamoussoukro
Elle requiert aussi une mise à niveau constante des connaissances scientifiques. Une formation continue qui se justifie par « la persistance des grandes endémies, la recrudescence des pandémies, la propagation incessante des épidémies, l'émergence mondiale d'infections d'un nouveau type. Les participants seront instruits sur : les nouvelles méthodes de prise en charge du VIH-Sida, de l'asthme, du rhumatisme articulaire, les hépatites, l'hypertension artérielle et le diabète et les accidents vasculaires cérébraux. Présidant la cérémonie d'ouverture, le ministre de la Santé et de l'hygiène publique, Dr Aka Ahouélé, a estimé que le sujet choisi est d'actualité. Car, il occupe une place de choix dans sa vision. Selon lui, à cause de la durée de leur prise en charge, leurs coûts financiers, techniques et structurels, ces maladies constituent un réel problème de santé publique : « (…). Les véritables freins au développement de notre pays sont, entre autres, les affections cardiovasculaires, les pathologies graves comme l'ulcère de Burilis, les hépatites, le VIH-Sida … ».
Dr Aka Ahouélé a invité les praticiens à jouer davantage leur rôle d'agents de développement en participant à la prévention de nombreuses pathologies. Pour lui, cette rencontre est d'autant plus importante qu'elle s'inscrit dans la droite ligne de la formation continue. Il y voit un cadre privilégié de réflexion, de concertation, et de proposition. L'Epu 2010 prendra fin, samedi prochain.
Ousmane Diallo à Yamoussoukro
