Invité spécial du président de la Fif, pour assister à l'inauguration du centre technique national de Bingerville, samedi, Christian Karembeu porte un regard sur le « Clairfontaine Ivoirien » et explique ses nouvelles activités.
Quels commentaires faites-vous du Centre technique national de Bingerville ?
A l'aube d'un premier Mondial sur le sol africain, il s'avère intéressant que les Eléphants possèdent des infrastructures dignes de ce nom. C'est un outil qui peut leur permettre de mieux travailler. Il faut remercier Jacques Anouma et tous les clubs ivoiriens car sans eux la Fif n'existerait pas. Ce Centre technique pourra permettre aux jeunes de s'entraîner, s'éduquer et se former.
Que manque-t-il encore au Ctnf pour ressembler à Clairfontaine ?
Il y a déjà un terrain, des dortoirs, une cantine, des annexes pour recevoir les différentes sélections nationales. Progressivement, on arrivera à la perfection. Cela dit, le projet Goal III arrive. J'espère que tout cela fera du bien à la Côte d'Ivoire.
Croyez-vous aux chances des Eléphants au Mondial sud-africain ?
Les Eléphants auront leurs chances en Afrique du Sud. J'espère qu'ils vont briller. Lorsqu'on voit les talents dont regorge cette sélection, on est confiant. Il est vrai, la Can angolaise reste un mauvais souvenir mais je fais confiance à Sven-Göran Eriksson.
Pourquoi ?
J'ai déjà travaillé avec lui à la Sampdoria de Gênes en Italie. Il a son expérience et connaît ses futurs adversaires. Il préparera les Eléphants comme il le faut.
En France, l'épisode Zahia fera-t-il du mal aux Bleus ?
Oh ! Ce sont des paramètres infimes par rapport à une envie collective de pouvoir participer à un Mondial de football, de pouvoir se mettre en valeur. Les Bleus seront aussi des challengers comme les Eléphants. Nous avons l'expérience et les paramètres logistiques qui parlent pour nous. Nous ne sommes pas attendus mais comme le proverbe africain le dit, il faut faire attention à l'animal blessé…
Propos recueillis par Guy-Florentin Yaméogo
Quels commentaires faites-vous du Centre technique national de Bingerville ?
A l'aube d'un premier Mondial sur le sol africain, il s'avère intéressant que les Eléphants possèdent des infrastructures dignes de ce nom. C'est un outil qui peut leur permettre de mieux travailler. Il faut remercier Jacques Anouma et tous les clubs ivoiriens car sans eux la Fif n'existerait pas. Ce Centre technique pourra permettre aux jeunes de s'entraîner, s'éduquer et se former.
Que manque-t-il encore au Ctnf pour ressembler à Clairfontaine ?
Il y a déjà un terrain, des dortoirs, une cantine, des annexes pour recevoir les différentes sélections nationales. Progressivement, on arrivera à la perfection. Cela dit, le projet Goal III arrive. J'espère que tout cela fera du bien à la Côte d'Ivoire.
Croyez-vous aux chances des Eléphants au Mondial sud-africain ?
Les Eléphants auront leurs chances en Afrique du Sud. J'espère qu'ils vont briller. Lorsqu'on voit les talents dont regorge cette sélection, on est confiant. Il est vrai, la Can angolaise reste un mauvais souvenir mais je fais confiance à Sven-Göran Eriksson.
Pourquoi ?
J'ai déjà travaillé avec lui à la Sampdoria de Gênes en Italie. Il a son expérience et connaît ses futurs adversaires. Il préparera les Eléphants comme il le faut.
En France, l'épisode Zahia fera-t-il du mal aux Bleus ?
Oh ! Ce sont des paramètres infimes par rapport à une envie collective de pouvoir participer à un Mondial de football, de pouvoir se mettre en valeur. Les Bleus seront aussi des challengers comme les Eléphants. Nous avons l'expérience et les paramètres logistiques qui parlent pour nous. Nous ne sommes pas attendus mais comme le proverbe africain le dit, il faut faire attention à l'animal blessé…
Propos recueillis par Guy-Florentin Yaméogo
