En Côte d’Ivoire, Petroci projette de créer, dans la zone de Vridi à Abidjan, un Institut du pétrole dont la première promotion pourrait commencer les cours à la fin de l’année.
Ouverte aux Ivoiriens et aux autres ressortissants africains, cette école permettra de spécialiser des jeunes ingénieurs à la sortie de leurs études. L’objectif est de réduire les coûts de production et d’exploration dans la sous-région ainsi que le recours à la main-d’œuvre expatriée, compétente mais chère. À moyen terme, l’institut devrait assurer des formations dans les mines, l’énergie, l’environnement et l’eau. Autre école chez le voisin anglophone, la Ghana Oil Drilling Academy & Consultancy (Godac) a pour but de former des experts dans l’industrie pétrolière ghanéenne. Le programme de certification est reconnu internationalement, et les diplômés sont prioritairement engagés sur les derricks du Ghana. La Côte d’Ivoire à travers la Petroci, veut se donner les moyens de sa politique de futur grand pays producteur de pétrole. Il faut savoir qu’en 2009 la Côte d’Ivoire a atteint plus de 19 millions de barils contre 16 millions de barils en 2008, soit une hausse de 12.79%. Une tendance haussière qui devrait se poursuivre en 2010 et 2011. Avec un secteur minier et énergétique qui semble présenter beaucoup plus de potentialités, qui ne demandent qu’à être exploitées, cette académie verra bientôt le jour, fera non seulement le bonheur des jeunes ivoiriens qui voudraient faire des études de haut niveau sans avoir à sortir du pays mais aussi, un atout pour la Côte d’Ivoire pour la coopération sud-sud. C’est clair, la Petroci qui a pour mission de développer le secteur mine et énergie du pays, en investissant dans la recherche, la production pétrolière et en engageant une politique de « butanisation » de tout le territoire est entrain de réussir sa mission. Avec la construction d’une deuxième raffinerie, le directeur général de la petroci, Kassoum Fatiga veut faire de la Côte d’Ivoire, un leader en Afrique dans ce secteur d’activité. Le chemin parcouru sur la réalisation de cette ambition le montre nettement. Notamment, la Construction d’usine de fabrication de bouteilles de gaz et de la deuxième raffinerie du pays, développement d’un réseau de stations et plusieurs investissements dans la recherche de nouveaux gisements, autant de réalisations qui démontrent que la Petroci est à la tâche.
JC Koré
Ouverte aux Ivoiriens et aux autres ressortissants africains, cette école permettra de spécialiser des jeunes ingénieurs à la sortie de leurs études. L’objectif est de réduire les coûts de production et d’exploration dans la sous-région ainsi que le recours à la main-d’œuvre expatriée, compétente mais chère. À moyen terme, l’institut devrait assurer des formations dans les mines, l’énergie, l’environnement et l’eau. Autre école chez le voisin anglophone, la Ghana Oil Drilling Academy & Consultancy (Godac) a pour but de former des experts dans l’industrie pétrolière ghanéenne. Le programme de certification est reconnu internationalement, et les diplômés sont prioritairement engagés sur les derricks du Ghana. La Côte d’Ivoire à travers la Petroci, veut se donner les moyens de sa politique de futur grand pays producteur de pétrole. Il faut savoir qu’en 2009 la Côte d’Ivoire a atteint plus de 19 millions de barils contre 16 millions de barils en 2008, soit une hausse de 12.79%. Une tendance haussière qui devrait se poursuivre en 2010 et 2011. Avec un secteur minier et énergétique qui semble présenter beaucoup plus de potentialités, qui ne demandent qu’à être exploitées, cette académie verra bientôt le jour, fera non seulement le bonheur des jeunes ivoiriens qui voudraient faire des études de haut niveau sans avoir à sortir du pays mais aussi, un atout pour la Côte d’Ivoire pour la coopération sud-sud. C’est clair, la Petroci qui a pour mission de développer le secteur mine et énergie du pays, en investissant dans la recherche, la production pétrolière et en engageant une politique de « butanisation » de tout le territoire est entrain de réussir sa mission. Avec la construction d’une deuxième raffinerie, le directeur général de la petroci, Kassoum Fatiga veut faire de la Côte d’Ivoire, un leader en Afrique dans ce secteur d’activité. Le chemin parcouru sur la réalisation de cette ambition le montre nettement. Notamment, la Construction d’usine de fabrication de bouteilles de gaz et de la deuxième raffinerie du pays, développement d’un réseau de stations et plusieurs investissements dans la recherche de nouveaux gisements, autant de réalisations qui démontrent que la Petroci est à la tâche.
JC Koré