Un atelier, sur la «contribution de la jeunesse à l'apaisement du processus électoral en Côte d'Ivoire bilan et perspectives», s'est ouvert, hier, à Grand-Bassam. Il est organisé par le National democratic institue (Ndi).
«Bilan mi-figue, mi-raisin», c'est l'appréciation que fait Charles Yaovi Djrekpo, directeur-résident de National democratic institue (Ndi), de l'engagement pris par les jeunesses des partis politiques en septembre 2008 pour l'apaisement du processus électoral. La raison, explique le directeur résident du Ndi, les violences et affrontements qui ont émaillé, récemment, la mise en œuvre du processus électoral. A cet effet, une table-ronde se tient, depuis hier, dans l'ancienne capitale politique. Elle réunit 28 participants issus des structures de jeunesses des partis politiques et entités prenant part au combat politique en Côte d'Ivoire. Cette table-ronde est l'occasion de faire le bilan des actions en termes d'apaisement du processus électoral. Et, fait également des propositions de solutions pour aboutir à un processus électoral non-violent. Charles Yaovi Djrekpo ne s'est donc pas privé de déplorer les propos assez violents tenus par certains jeunes leaders de partis politiques. Les jeunesses des partis politiques, juge-t-il, doivent « se départir des médisances, et la mauvaise manière de traiter l'adversaire ». Cet atelier, souligne le directeur, résident du Ndi, mettra l'accent sur la culture de la paix. Car, dira-t-il « nous avons un intérêt commun, c'est le pays. Il ne faut pas y mettre le feu». Et d'ajouter : «Nous avons toujours regretté le fait que l'action a toujours précédé la sensibilisation. Il faut toujours sensibiliser les jeunes avant d'entreprendre une action afin d'éviter les frustrations et soulèvements». Charles Yaovi Djerekpo indique que, fort heureusement, la décrispation de la situation politique nationale commence, grâce à une amorce de dialogue républicain, entre les principaux leaders politiques du pays. Action qu'il qualifie de «grand pas dans la bonne direction», que le pays doit chercher à conserver pour la bonne marche du processus électoral.
Emmanuelle Kanga à Grand-Bassam
«Bilan mi-figue, mi-raisin», c'est l'appréciation que fait Charles Yaovi Djrekpo, directeur-résident de National democratic institue (Ndi), de l'engagement pris par les jeunesses des partis politiques en septembre 2008 pour l'apaisement du processus électoral. La raison, explique le directeur résident du Ndi, les violences et affrontements qui ont émaillé, récemment, la mise en œuvre du processus électoral. A cet effet, une table-ronde se tient, depuis hier, dans l'ancienne capitale politique. Elle réunit 28 participants issus des structures de jeunesses des partis politiques et entités prenant part au combat politique en Côte d'Ivoire. Cette table-ronde est l'occasion de faire le bilan des actions en termes d'apaisement du processus électoral. Et, fait également des propositions de solutions pour aboutir à un processus électoral non-violent. Charles Yaovi Djrekpo ne s'est donc pas privé de déplorer les propos assez violents tenus par certains jeunes leaders de partis politiques. Les jeunesses des partis politiques, juge-t-il, doivent « se départir des médisances, et la mauvaise manière de traiter l'adversaire ». Cet atelier, souligne le directeur, résident du Ndi, mettra l'accent sur la culture de la paix. Car, dira-t-il « nous avons un intérêt commun, c'est le pays. Il ne faut pas y mettre le feu». Et d'ajouter : «Nous avons toujours regretté le fait que l'action a toujours précédé la sensibilisation. Il faut toujours sensibiliser les jeunes avant d'entreprendre une action afin d'éviter les frustrations et soulèvements». Charles Yaovi Djerekpo indique que, fort heureusement, la décrispation de la situation politique nationale commence, grâce à une amorce de dialogue républicain, entre les principaux leaders politiques du pays. Action qu'il qualifie de «grand pas dans la bonne direction», que le pays doit chercher à conserver pour la bonne marche du processus électoral.
Emmanuelle Kanga à Grand-Bassam