Il y a des invitations qui ne se refusent pas. Surtout quand elles émanent d’une haute personnalité. C’est le privilège que j’ai eu, le bonheur de vivre la semaine dernière quand j’ai reçu en même temps qu’une dizaine d’autres confrères africains, l’invitation au Qatar. « Invités spéciaux de l’Emir du Qatar » provenant du Comité de candidature du Qatar au Mondial 2022. Objectif : nous faire visiter le potentiel infrastructurel du Qatar précisément celui de la capital Doha, l’une des villes où le Qatar compte abriter le Mondial 2022.
Le Qatar ! Voir ce pays et mourir. L’expression est appropriée tant le peu que nous avons pu voir dans ce pays nous a tous émerveillés. Ici, la technologie de pointe vous interpelle sans cesse : stades hyper équipés avec en bonus un système de climatisation pour altérer considérablement la chaleur. C’est ce qu’offre à voir le stade d’Al Saad. Il y a aussi les centres de formation sportifs. En la matière, l’Académie Aspire offre un bel exemple d’infrastructures.
Le Qatar n’hésite pas alors à couvrir un rêve, voir deux : outre organiser le Mondial 2022, être un pôle d’éclosion des plus grands talents du football des générations à venir. Audacieux pari. Mais que peut-on faire de beau et de si grand sans des rêves audacieux ?
Mais le bouquet final de l’invitation fut la finale de la coupe de l’Emir. (1-0) pour Al Ryyan aux dépens d’Umm Salat. Mais pour l’occasion, et pour nous, qu’importait l’issue de cette finale. Le Qatar nous avait donné l’occasion de vivre un beau rêve possible. Car, nous étions tous convaincus, ce pays a tous les atouts pour abriter le plus grand rendez-vous footballistique.
Elisabeth Goli
Le Qatar ! Voir ce pays et mourir. L’expression est appropriée tant le peu que nous avons pu voir dans ce pays nous a tous émerveillés. Ici, la technologie de pointe vous interpelle sans cesse : stades hyper équipés avec en bonus un système de climatisation pour altérer considérablement la chaleur. C’est ce qu’offre à voir le stade d’Al Saad. Il y a aussi les centres de formation sportifs. En la matière, l’Académie Aspire offre un bel exemple d’infrastructures.
Le Qatar n’hésite pas alors à couvrir un rêve, voir deux : outre organiser le Mondial 2022, être un pôle d’éclosion des plus grands talents du football des générations à venir. Audacieux pari. Mais que peut-on faire de beau et de si grand sans des rêves audacieux ?
Mais le bouquet final de l’invitation fut la finale de la coupe de l’Emir. (1-0) pour Al Ryyan aux dépens d’Umm Salat. Mais pour l’occasion, et pour nous, qu’importait l’issue de cette finale. Le Qatar nous avait donné l’occasion de vivre un beau rêve possible. Car, nous étions tous convaincus, ce pays a tous les atouts pour abriter le plus grand rendez-vous footballistique.
Elisabeth Goli