Le Patriote : Vous venez de représenter dignement la Côte d’Ivoire et l’Afrique francophone à Kampala en Ouganda. Que ressent-on lorsqu’on est lauréat d’un tel prix ?
Alexandre Lebel Ilboudo : Quand on a son mérite qui est reconnu à l’échelle internationale, on manque de mots pour exprimer ce qu’on ressent. Je dois ce prix au Patriote qui m’a offert l’occasion de pouvoir faire les dossiers et les enquêtes. Donc, ce prix est d’abord une fierté, et ensuite une responsabilité. Il faudrait que désormais je sois beaucoup plus professionnel pour ne pas décevoir ceux qui sont venus m’accueillir mais aussi ceux qui m’ont décerné ce prix. C’est donc un sentiment de grande joie et de fierté.
LP : Dédiez-vous ce prix à quelqu’un de particulier ?
ALI : Je dédie ce prix à tout le personnel du quotidien Le Patriote, au fondateur le ministre Hamed Bakayoko, à mon épouse et à mes enfants.
LP : Aviez-vous des appréhensions face aux autres candidats ?
ALI : J’étais confiant, vu la qualité et la pertinence de mon travail. J’ai proposé un dossier sur un sujet hautement d’actualité. Il s’agit des conflits fonciers à Tabou, mal réglés depuis leur déclenchement en 2009. J’ai simplement remis au goût du jour un vieux sujet et le jury a estimé que c’était un travail très équilibré, très professionnel. Ce prix m’a été décerné dans une ambiance vraiment bon enfant, très conviviale pour ne pas dire sublime.
Moussa Keita
Alexandre Lebel Ilboudo : Quand on a son mérite qui est reconnu à l’échelle internationale, on manque de mots pour exprimer ce qu’on ressent. Je dois ce prix au Patriote qui m’a offert l’occasion de pouvoir faire les dossiers et les enquêtes. Donc, ce prix est d’abord une fierté, et ensuite une responsabilité. Il faudrait que désormais je sois beaucoup plus professionnel pour ne pas décevoir ceux qui sont venus m’accueillir mais aussi ceux qui m’ont décerné ce prix. C’est donc un sentiment de grande joie et de fierté.
LP : Dédiez-vous ce prix à quelqu’un de particulier ?
ALI : Je dédie ce prix à tout le personnel du quotidien Le Patriote, au fondateur le ministre Hamed Bakayoko, à mon épouse et à mes enfants.
LP : Aviez-vous des appréhensions face aux autres candidats ?
ALI : J’étais confiant, vu la qualité et la pertinence de mon travail. J’ai proposé un dossier sur un sujet hautement d’actualité. Il s’agit des conflits fonciers à Tabou, mal réglés depuis leur déclenchement en 2009. J’ai simplement remis au goût du jour un vieux sujet et le jury a estimé que c’était un travail très équilibré, très professionnel. Ce prix m’a été décerné dans une ambiance vraiment bon enfant, très conviviale pour ne pas dire sublime.
Moussa Keita