Le marché ivoirien continue d’être courtisé par des hommes d’affaires du guide de la Jamahiriya libyenne, Mouammar Kadhafi, fondateur de la révolution d’Al-Fatah et de la communauté des Etats sahélo-sahariens. Après le secteur de la téléphonie, du pétrole, de l’hôtellerie, ceux-ci s’intéressent maintenant au secteur bancaire en Côte d’Ivoire.
Opérationnelle depuis janvier 2010, la BSIC (Banque Sahélo-Saharienne pour l’Investissement et le commerce) est décidée à accompagner le développement en Côte d’Ivoire, et partant, tous les pays africains. Cette banque aux ambitions panafricaines, participe au financement des investissements productifs, principalement les secteurs de la petite et moyenne industrie, de l’agro-industrie, de l’énergie, des BTP, des transports et des services. A la faveur de l’assemblée générale ordinaire de l’institution, tenue à Abidjan, Alhadi Alwarfalli, Président directeur général de la BSIC a réitéré l’engagement de l’institution auprès des Etats membres de la communauté des Etats sahélo-sahariens. A savoir être une banque au service de la population et contribuer à la lutte contre la pauvreté, à travers un soutien accru aux secteurs productifs. En fin 2009, la banque a enregistré un résultat net positif de 2.777.217,10 euros contre 6.066.272,19 euros. Un résultat qui, pour les dirigeants, est encourageant, surtout dans un contexte marqué par la crise financière internationale. Pour mener à bien ses missions de soutien aux secteurs productifs, la banque, selon Alhadi Alwarfalli, est décidée à poursuivre les réformes structurelles. Pour cela, dans l’immédiat, poursuit-il, un accent particulier sera mis sur la maîtrise des frais généraux et des risques de crédit ainsi que sur l’amélioration du recouvrement des créances compromises.
En un mot, la BSIC est une banque au service du développement et de la promotion de l’intégration africaine, dans la Communauté des Etats sahélo-sahariens. Et ce, conformément à la vision du guide de la Jamahiriya libyenne, Mouammar Kadhafi. Qui nourrit le rêve des Etats-Unis d’Afrique.
C’est pour cette raison que les hommes d’affaires du pays du guide de la Jamahiriya libyenne, Mouammar Kadhafi courtisent en ce moment plusieurs marchés africains. Pour l’heure, la BSIC donne satisfaction. «La BSIC s’est imposée parmi les grands groupes bancaires de la région. Sa réputation et son sérieux sont confirmés, sa bonne gouvernance et son respect de la réglementation bancaire lui sont reconnus par les autorités monétaire et réglementaire de nos pays’’, assure Alhadi Alwarfalli. Qui demande tout de même l’appui du ministre ivoirien de l’Economie et des Finances. Saluant l’arrivée de la BSIC sur le marché ivoirien, Charles Diby Koffi, a encouragé les dirigeants de la Banque. Pour l’argentier ivoirien, la BSIC est un instrument financier au service du développement. La BSIC dispose de 103 agences et points de vente dans les villes et villages des 14 pays qui accueillent les filiales. Elle compte 1501 employés, contribuant ainsi à la création d’emplois et à la redistribution de revenus. C’est en 2008 que la Côte d’Ivoire a fait son adhésion à la BSIC.
Honoré Kouassi
Opérationnelle depuis janvier 2010, la BSIC (Banque Sahélo-Saharienne pour l’Investissement et le commerce) est décidée à accompagner le développement en Côte d’Ivoire, et partant, tous les pays africains. Cette banque aux ambitions panafricaines, participe au financement des investissements productifs, principalement les secteurs de la petite et moyenne industrie, de l’agro-industrie, de l’énergie, des BTP, des transports et des services. A la faveur de l’assemblée générale ordinaire de l’institution, tenue à Abidjan, Alhadi Alwarfalli, Président directeur général de la BSIC a réitéré l’engagement de l’institution auprès des Etats membres de la communauté des Etats sahélo-sahariens. A savoir être une banque au service de la population et contribuer à la lutte contre la pauvreté, à travers un soutien accru aux secteurs productifs. En fin 2009, la banque a enregistré un résultat net positif de 2.777.217,10 euros contre 6.066.272,19 euros. Un résultat qui, pour les dirigeants, est encourageant, surtout dans un contexte marqué par la crise financière internationale. Pour mener à bien ses missions de soutien aux secteurs productifs, la banque, selon Alhadi Alwarfalli, est décidée à poursuivre les réformes structurelles. Pour cela, dans l’immédiat, poursuit-il, un accent particulier sera mis sur la maîtrise des frais généraux et des risques de crédit ainsi que sur l’amélioration du recouvrement des créances compromises.
En un mot, la BSIC est une banque au service du développement et de la promotion de l’intégration africaine, dans la Communauté des Etats sahélo-sahariens. Et ce, conformément à la vision du guide de la Jamahiriya libyenne, Mouammar Kadhafi. Qui nourrit le rêve des Etats-Unis d’Afrique.
C’est pour cette raison que les hommes d’affaires du pays du guide de la Jamahiriya libyenne, Mouammar Kadhafi courtisent en ce moment plusieurs marchés africains. Pour l’heure, la BSIC donne satisfaction. «La BSIC s’est imposée parmi les grands groupes bancaires de la région. Sa réputation et son sérieux sont confirmés, sa bonne gouvernance et son respect de la réglementation bancaire lui sont reconnus par les autorités monétaire et réglementaire de nos pays’’, assure Alhadi Alwarfalli. Qui demande tout de même l’appui du ministre ivoirien de l’Economie et des Finances. Saluant l’arrivée de la BSIC sur le marché ivoirien, Charles Diby Koffi, a encouragé les dirigeants de la Banque. Pour l’argentier ivoirien, la BSIC est un instrument financier au service du développement. La BSIC dispose de 103 agences et points de vente dans les villes et villages des 14 pays qui accueillent les filiales. Elle compte 1501 employés, contribuant ainsi à la création d’emplois et à la redistribution de revenus. C’est en 2008 que la Côte d’Ivoire a fait son adhésion à la BSIC.
Honoré Kouassi
