Organisé chaque année pour désigner la plus belle de Côte d’Ivoire, le concours national de beauté constitue une rampe de lancement pour les lauréates.
On pourrait considérer le sacre de plus belle fille de Côte d’Ivoire comme une rampe de lancement. Même si les plus belles filles de Côte d’Ivoire ont connu des fortunes diverses, force est de reconnaître que la plupart d’entre elles ont connu, après le sacre, une insertion sociale ou professionnelle, très appréciable. La couronne apparaît de fait comme un sésame qui ouvre toutes les portes et permet, pour peu que l’on soit consciente, d’atteindre un niveau social en phase avec son rang. Rien qu’avec le label « Miss Côte d’Ivoire » accolé à leurs noms. Généralement, l’année qui suit leur sacre constitue pour les fées ivoiriennes celle de la réalisation de soi. Puisque le temps de leur mandat, elles sont choyées par le Comici et sont ambassadrices de la culture ivoirienne et de la destination Côte d’Ivoire. N’étant plus sous les feux de la rampe, les belles ont alors le temps de «se jeter» dans la mêlée professionnelle où elles s’en sortent généralement bien. Mimi Hermine, Miss Côte d’Ivoire 1993, est mariée et mère de deux enfants. Revenue du pays de l’Oncle Sam depuis, celle qui a été élue plus belle fille de la Côte d’Ivoire l’année du décès du premier président de la Côte d’Ivoire est directrice des magasins d’articles pour enfants «Nounou & Juju» et «Beauty be for you». Egalement présidente de la Fondation Nounou et Juju, l’ex-Miss 1993 s’est offert par la suite «Le Bellagio», un piano-bar, avec restaurant et billard aux Deux-Plateau. La fée de 1998, Laeticia N’Cho, officie aujourd’hui dans une agence de communication. Après des études en expertise comptable, elle a également fait un Dess en Sciences Po « pour le fun ». Des retombées du concours, la belle dira : «Ce serait mentir que de dire que cette élection n’a pas changé un peu ma vie. Car quoi qu’on dise, ça m’a ouvert des portes inimaginables». Nadia Gaëlle Yoboué a été couronnée Miss CI 2001 à l’âge de 17 ans. Neuf ans après son sacre, elle partage sa vie entre ses fonctions d’analyste financier et de femme propriétaire de structures de pâtisserie et d’esthétique. Nadia Gaëlle Yoboué est la mère de deux ravissantes fillettes. Quant à Lynda Delon, Miss CI 2000, elle, est mariée et a embrassé une carrière musicale. Elle vient de mettre sur le marché discographique un 3ème album. Le seul cas malheureux révélé est le décès, en avril 2004, de Cecilia Valentin Miss CI 1988.
M’Bah Aboubakar
Encadré
Les Miss Côte d’Ivoire de 1985 à 2010
Rose Armande Oula 1985
Françoise Kouamé 1986
Georgette Bailly 1987
Cecilia Valentin 1988
Edoukou Murielle 1989
Mimi Hermine 1993
Rami Kéïta 1997
Laeticia N’Cho 1998
Sylviane Dodo 1999
Lynda Delon 2000
Nadia Gaëlle Yoboué 2001
Yannick Azébian 2003
Tania Kessié 2004
Séry Dorcas 2005
Alima Diomandé 2006
N’Zi Bernadette 2007
Nanié Murielle 2008
Gnago Dacoury Rosine 2009
Da Silva Inès Amoin 2010
On pourrait considérer le sacre de plus belle fille de Côte d’Ivoire comme une rampe de lancement. Même si les plus belles filles de Côte d’Ivoire ont connu des fortunes diverses, force est de reconnaître que la plupart d’entre elles ont connu, après le sacre, une insertion sociale ou professionnelle, très appréciable. La couronne apparaît de fait comme un sésame qui ouvre toutes les portes et permet, pour peu que l’on soit consciente, d’atteindre un niveau social en phase avec son rang. Rien qu’avec le label « Miss Côte d’Ivoire » accolé à leurs noms. Généralement, l’année qui suit leur sacre constitue pour les fées ivoiriennes celle de la réalisation de soi. Puisque le temps de leur mandat, elles sont choyées par le Comici et sont ambassadrices de la culture ivoirienne et de la destination Côte d’Ivoire. N’étant plus sous les feux de la rampe, les belles ont alors le temps de «se jeter» dans la mêlée professionnelle où elles s’en sortent généralement bien. Mimi Hermine, Miss Côte d’Ivoire 1993, est mariée et mère de deux enfants. Revenue du pays de l’Oncle Sam depuis, celle qui a été élue plus belle fille de la Côte d’Ivoire l’année du décès du premier président de la Côte d’Ivoire est directrice des magasins d’articles pour enfants «Nounou & Juju» et «Beauty be for you». Egalement présidente de la Fondation Nounou et Juju, l’ex-Miss 1993 s’est offert par la suite «Le Bellagio», un piano-bar, avec restaurant et billard aux Deux-Plateau. La fée de 1998, Laeticia N’Cho, officie aujourd’hui dans une agence de communication. Après des études en expertise comptable, elle a également fait un Dess en Sciences Po « pour le fun ». Des retombées du concours, la belle dira : «Ce serait mentir que de dire que cette élection n’a pas changé un peu ma vie. Car quoi qu’on dise, ça m’a ouvert des portes inimaginables». Nadia Gaëlle Yoboué a été couronnée Miss CI 2001 à l’âge de 17 ans. Neuf ans après son sacre, elle partage sa vie entre ses fonctions d’analyste financier et de femme propriétaire de structures de pâtisserie et d’esthétique. Nadia Gaëlle Yoboué est la mère de deux ravissantes fillettes. Quant à Lynda Delon, Miss CI 2000, elle, est mariée et a embrassé une carrière musicale. Elle vient de mettre sur le marché discographique un 3ème album. Le seul cas malheureux révélé est le décès, en avril 2004, de Cecilia Valentin Miss CI 1988.
M’Bah Aboubakar
Encadré
Les Miss Côte d’Ivoire de 1985 à 2010
Rose Armande Oula 1985
Françoise Kouamé 1986
Georgette Bailly 1987
Cecilia Valentin 1988
Edoukou Murielle 1989
Mimi Hermine 1993
Rami Kéïta 1997
Laeticia N’Cho 1998
Sylviane Dodo 1999
Lynda Delon 2000
Nadia Gaëlle Yoboué 2001
Yannick Azébian 2003
Tania Kessié 2004
Séry Dorcas 2005
Alima Diomandé 2006
N’Zi Bernadette 2007
Nanié Murielle 2008
Gnago Dacoury Rosine 2009
Da Silva Inès Amoin 2010