Arrivés, hier matin, en Afrique du Sud, les Eléphants ont effectué leur première séance d’entraînement. Avec dans leur rang, Didier Drogba, le célèbre blessé.
Le car des Eléphants fonce vers Georges Thabe Stadium , où les Eléphants, arrivés le matin, doivent effectuer leur première séance d’entraînement (à 70 kilomètres de Jo’Burg). Sur le chemin, la population de Vanderbijilpark , la cité qui accueille Riverside Hôtel, le camp de base de la Côte d’Ivoire, est dehors pour saluer le passage des Ivoiriens, aux sons des Vuvuzelas. Le Thabe Stadium est plein à craquer, car selon les règlements de la Fifa, le premier entraînement des sélections, est toujours ouvert. Et bien sûr, les Vuvuzelas sont encore présents. Il est quasiment 17 heures. Les spectateurs donnent de la voix. « Drogba, Drogba… », scandent -ils. Le capitaine des Eléphants, Didier Drogba, a le sourire aux lèvres. Il salue ce public, ivre de joie. L’attaquant de Chelsea participe au footing collectif puis il va s’entraîner seul. Il joue avec le ballon et bouge de temps en temps son bras, qui a subi une opération, samedi dernier, suite à une fracture du cubitus lors du match de préparation contre le Japon (2-0). Les minutes passent. Les autres joueurs sont très appliqués sur le terrain sous la conduite de Sven-Göran Eriksson. Après une heure d’entraînement, le sélectionneur réparti son équipe en deux camps. Mais Didier Drogba reste toujours sur la touche. Il assiste à ce petit match. « En tout cas, il y a du mieux …», nous lance un membre de la délégation ivoirienne. Espérons-le.
Selon des indiscrétions, des guérisseurs auraient quitté à Abidjan depuis lundi, en compagnie du père du joueur, Albert Drogba, pour soigner le bras opéré de l’attaquant de Chelsea.
Choilio Diomandé, envoyé spécial à Johannesburg
Le car des Eléphants fonce vers Georges Thabe Stadium , où les Eléphants, arrivés le matin, doivent effectuer leur première séance d’entraînement (à 70 kilomètres de Jo’Burg). Sur le chemin, la population de Vanderbijilpark , la cité qui accueille Riverside Hôtel, le camp de base de la Côte d’Ivoire, est dehors pour saluer le passage des Ivoiriens, aux sons des Vuvuzelas. Le Thabe Stadium est plein à craquer, car selon les règlements de la Fifa, le premier entraînement des sélections, est toujours ouvert. Et bien sûr, les Vuvuzelas sont encore présents. Il est quasiment 17 heures. Les spectateurs donnent de la voix. « Drogba, Drogba… », scandent -ils. Le capitaine des Eléphants, Didier Drogba, a le sourire aux lèvres. Il salue ce public, ivre de joie. L’attaquant de Chelsea participe au footing collectif puis il va s’entraîner seul. Il joue avec le ballon et bouge de temps en temps son bras, qui a subi une opération, samedi dernier, suite à une fracture du cubitus lors du match de préparation contre le Japon (2-0). Les minutes passent. Les autres joueurs sont très appliqués sur le terrain sous la conduite de Sven-Göran Eriksson. Après une heure d’entraînement, le sélectionneur réparti son équipe en deux camps. Mais Didier Drogba reste toujours sur la touche. Il assiste à ce petit match. « En tout cas, il y a du mieux …», nous lance un membre de la délégation ivoirienne. Espérons-le.
Selon des indiscrétions, des guérisseurs auraient quitté à Abidjan depuis lundi, en compagnie du père du joueur, Albert Drogba, pour soigner le bras opéré de l’attaquant de Chelsea.
Choilio Diomandé, envoyé spécial à Johannesburg