Le 9ème anniversaire de Le Nouveau Réveil a été marqué le 14 juin dernier par des hommages et des remerciements à tous ceux qui tous les jours soutiennent ce journal de l'opposition. Aujourd'hui, nous vous proposons la suite des interventions qui ont meublé cette belle, fête, célébrée de manière très sombre cette année.
A la faveur de la célébration du 9ème anniversaire du quotidien "Le Nouveau Réveil", le directeur général, Denis Zion Kah, n'a pas tari d'éloges à l'endroit de tous ceux qui ont participé d'une manière ou d'une autre à l'émergence du canard, notamment Nady Rayess, directeur général du Groupe Olympe. Qui imprime le journal depuis sa création. A cette occasion, le directeur général a retracé la rencontre avec l'imprimeur jusqu'à la signature d'un contrat. "Avec lui, j'ai signé mon contrat. Tout à l'heure, je disais co-fondateur du journal parce que c'est lui qui me représente à Edipresse. C'est un bon contrat et je ne regrette pas de l’avoir signé. Par ailleurs, Denis Zion Kah a souligné le fondement du contrat relatif au tirage du journal. "Nous sommes partis de 5.000 exemplaires à 15.000 exemplaires aujourd'hui, voire souvent 20.000 exemplaires avec une pointe de vente entre 70% et 90% ", s'est réjoui le président du Groupement des éditeurs de presse de Côte d'Ivoire (Gepci). Cependant, Denis Zion Kah a souligné que Nady Rayess ne s'est jamais considéré comme un concurrent. Mais, plutôt comme un allié. Aussi, a-t-il salué son soutien à toute la presse en général. "Il ne m'appuie pas uniquement. Il a été le premier imprimeur à accepter de tirer un journal d'opposition en Côte d'Ivoire. Nady Rayess a imprimé "Le Nouvel Horizon" du Fpi en 90. Aujourd'hui, c'est lui qui tire le plus grand journal d'opposition en Côte d'Ivoire, "Le Nouveau Réveil" du Pdci. Donc, il est sans coloration politique. C'est un homme d'affaires, un opérateur économique libre dans l’esprit et dans les actes" a apprécié Denis Zion Kah.
Morgan Ekra
A la faveur de la célébration du 9ème anniversaire du quotidien "Le Nouveau Réveil", le directeur général, Denis Zion Kah, n'a pas tari d'éloges à l'endroit de tous ceux qui ont participé d'une manière ou d'une autre à l'émergence du canard, notamment Nady Rayess, directeur général du Groupe Olympe. Qui imprime le journal depuis sa création. A cette occasion, le directeur général a retracé la rencontre avec l'imprimeur jusqu'à la signature d'un contrat. "Avec lui, j'ai signé mon contrat. Tout à l'heure, je disais co-fondateur du journal parce que c'est lui qui me représente à Edipresse. C'est un bon contrat et je ne regrette pas de l’avoir signé. Par ailleurs, Denis Zion Kah a souligné le fondement du contrat relatif au tirage du journal. "Nous sommes partis de 5.000 exemplaires à 15.000 exemplaires aujourd'hui, voire souvent 20.000 exemplaires avec une pointe de vente entre 70% et 90% ", s'est réjoui le président du Groupement des éditeurs de presse de Côte d'Ivoire (Gepci). Cependant, Denis Zion Kah a souligné que Nady Rayess ne s'est jamais considéré comme un concurrent. Mais, plutôt comme un allié. Aussi, a-t-il salué son soutien à toute la presse en général. "Il ne m'appuie pas uniquement. Il a été le premier imprimeur à accepter de tirer un journal d'opposition en Côte d'Ivoire. Nady Rayess a imprimé "Le Nouvel Horizon" du Fpi en 90. Aujourd'hui, c'est lui qui tire le plus grand journal d'opposition en Côte d'Ivoire, "Le Nouveau Réveil" du Pdci. Donc, il est sans coloration politique. C'est un homme d'affaires, un opérateur économique libre dans l’esprit et dans les actes" a apprécié Denis Zion Kah.
Morgan Ekra
