Les pluies diluviennes qui se sont abattues sur Abidjan hier ont eu un impact sur certaines activités, notamment le commerce le transport. Ces secteurs ont été plus ou moins paralysés parce que la population n’est pas sortie de chez elle.
Il a plu sur Abidjan. Abondamment d’ailleurs. Certains quartiers de la capitale économique étaient presqu’inondés du fait des eaux de ruissellement. Cette pluie qui s’est longtemps abattue sur le district d’Abidjan a aussi causé de nombreux dégâts et freiner certaines activités. Le transport et le commerce n’ont pas été épargnés par cette pluie d’hier. Ces deux secteurs d’activité ont été paralysés. C’est le constat fait sur le terrain en début d’après-midi. Le blocage du commerce et du transport s’explique. Les Ivoiriens n’ont pas vaqué librement à leurs occupations. Les véhicules de transport en commun qui habituellement faisaient le plein à des heures dites de pointes repartaient vides. Ils n’ont pas été du tout sollicités. C’est d’ailleurs le cas des gbakas qui font le tronçon Adjamé Abobo en passant par le Zoo. En tout cas, cette pluie d’hier a fait perdre aux transporteurs beaucoup d’argent. D’où l’inquiétude des propriétaires de véhicules. «Ils ne seront pas nombreux les propriétaires de véhicules qui recevront entièrement la recette journalière», a lancé un propriétaire de gbaka. Si certains véhicules de transport en commun ont pris le risque de rouler, ce ne fut pas le cas pour d’autres. Notamment les taxis compteurs et autres wôrô-wôrô. Les chauffeurs de certains de ces engins n’ont pas jugé utile de braver la pluie de peur d’endommager leurs véhicules. D’autres par contre ont essayé, mais ils sont entrés bredouilles. «J’ai préféré garé mon véhicule. Pour moi, c’était une perte de temps puisqu’il n’y avait personne dehors », a confessé un chauffeur de taxi compteur qui a voulu gardé l’anonymat. Ce chauffeur n’a pas eu tort, les Abidjanais ne se sont vraiment pas emmerdés hier. Ils sont restés chez eux. Conséquence des commerces sont aussi restés fermés. C’est le constat fait sur le boulevard Nangui Abrogoua. Des magasins étaient encore fermés après le passage de la pluie. Un propriétaire de magasin ouvert se confiant à nous, nous a laissé entendre qu’il aurait préféré rester à la maison au lieu de venir supporter le froid. « J’ai effectué le déplacement d’Adjamé pour rien. Je n’ai rien vendu. Personne n’est venu me demander le prix d’un article », a insisté A.T. Toute chose pour dire que la pluie d’hier n’a pas été favorable à certaines activités économiques.
Souleymane Koné
Il a plu sur Abidjan. Abondamment d’ailleurs. Certains quartiers de la capitale économique étaient presqu’inondés du fait des eaux de ruissellement. Cette pluie qui s’est longtemps abattue sur le district d’Abidjan a aussi causé de nombreux dégâts et freiner certaines activités. Le transport et le commerce n’ont pas été épargnés par cette pluie d’hier. Ces deux secteurs d’activité ont été paralysés. C’est le constat fait sur le terrain en début d’après-midi. Le blocage du commerce et du transport s’explique. Les Ivoiriens n’ont pas vaqué librement à leurs occupations. Les véhicules de transport en commun qui habituellement faisaient le plein à des heures dites de pointes repartaient vides. Ils n’ont pas été du tout sollicités. C’est d’ailleurs le cas des gbakas qui font le tronçon Adjamé Abobo en passant par le Zoo. En tout cas, cette pluie d’hier a fait perdre aux transporteurs beaucoup d’argent. D’où l’inquiétude des propriétaires de véhicules. «Ils ne seront pas nombreux les propriétaires de véhicules qui recevront entièrement la recette journalière», a lancé un propriétaire de gbaka. Si certains véhicules de transport en commun ont pris le risque de rouler, ce ne fut pas le cas pour d’autres. Notamment les taxis compteurs et autres wôrô-wôrô. Les chauffeurs de certains de ces engins n’ont pas jugé utile de braver la pluie de peur d’endommager leurs véhicules. D’autres par contre ont essayé, mais ils sont entrés bredouilles. «J’ai préféré garé mon véhicule. Pour moi, c’était une perte de temps puisqu’il n’y avait personne dehors », a confessé un chauffeur de taxi compteur qui a voulu gardé l’anonymat. Ce chauffeur n’a pas eu tort, les Abidjanais ne se sont vraiment pas emmerdés hier. Ils sont restés chez eux. Conséquence des commerces sont aussi restés fermés. C’est le constat fait sur le boulevard Nangui Abrogoua. Des magasins étaient encore fermés après le passage de la pluie. Un propriétaire de magasin ouvert se confiant à nous, nous a laissé entendre qu’il aurait préféré rester à la maison au lieu de venir supporter le froid. « J’ai effectué le déplacement d’Adjamé pour rien. Je n’ai rien vendu. Personne n’est venu me demander le prix d’un article », a insisté A.T. Toute chose pour dire que la pluie d’hier n’a pas été favorable à certaines activités économiques.
Souleymane Koné
