Le 31 juillet, à la salle Ernesto Djédjé/François Lougah du Palais de la culture, l’artiste musicien Amédée Pierre offrira un concert aux mélomanes ivoiriens, à l’occasion de la célébration de ses 55 ans de carrière musicale.
Une carrière débutée en 1955 à Paris (France), où l’artiste, alors infirmier de son état, décide face à l’envahissement des ondes radiophoniques par des sonorités ghanéennes, nigérianes et congolaises, de porter la réplique ivoirienne. S’initiant donc à la guitare, au clavier et au chant, il anime des soirées de la diaspora hexagonale avant de regagner les bords de la lagune Ebrié en même temps que l’indépendance de la Côte d’Ivoire est conquise. Dans ses valises, Amédée Pierre apporte un cadeau sonore à ses concitoyens en 1960: «Moussio Moussio». C’est donc pour annoncer ce double anniversaire et rendre hommage au premier artiste musicien-chanteur ivoirien, que la structure évènementielle Afrik’A Management organise ce concert dans la mouvance du cinquantenaire de la Côte d’Ivoire indépendante. Au cours d’un point de presse, vendredi dernier, en présence de Nahounou Marie-Claire qui représentait son musicien de père, «au vert», en prélude à l’évènement, les promoteurs ont annoncé, par la même occasion, la sortie d’un coffret Best of de l’intégralité des titres d’Amédée Pierre, le 24 juillet et la projection d’un film-témoignage sur la carrière de l’artiste au cours du concert du 31 juillet. Concert placé, du reste, sous le haut patronage du Président Laurent Gbagbo qu’il compte parmi ses amis. Et avec qui il a joué, en 2008, à l’occasion de la 1ère édition des Hauts de gamme (rebaptisé Summum), cérémonie annuelle de distinction des artistes initiée par le Bureau ivoirien du droit d’auteur (Burida), qu’il contribua à porter sur les fonts baptismaux en 1981, après une grève d’anthologie.
Pour le concert, il est prévu de recréer l’ambiance du «Désert», ex-temple où Amédée Pierre, le «Dopé national» faisait le bonheur des noceurs et autres mélomanes dans les années 1960-70 avec son orchestre Ivoiro Star.
R. C
Une carrière débutée en 1955 à Paris (France), où l’artiste, alors infirmier de son état, décide face à l’envahissement des ondes radiophoniques par des sonorités ghanéennes, nigérianes et congolaises, de porter la réplique ivoirienne. S’initiant donc à la guitare, au clavier et au chant, il anime des soirées de la diaspora hexagonale avant de regagner les bords de la lagune Ebrié en même temps que l’indépendance de la Côte d’Ivoire est conquise. Dans ses valises, Amédée Pierre apporte un cadeau sonore à ses concitoyens en 1960: «Moussio Moussio». C’est donc pour annoncer ce double anniversaire et rendre hommage au premier artiste musicien-chanteur ivoirien, que la structure évènementielle Afrik’A Management organise ce concert dans la mouvance du cinquantenaire de la Côte d’Ivoire indépendante. Au cours d’un point de presse, vendredi dernier, en présence de Nahounou Marie-Claire qui représentait son musicien de père, «au vert», en prélude à l’évènement, les promoteurs ont annoncé, par la même occasion, la sortie d’un coffret Best of de l’intégralité des titres d’Amédée Pierre, le 24 juillet et la projection d’un film-témoignage sur la carrière de l’artiste au cours du concert du 31 juillet. Concert placé, du reste, sous le haut patronage du Président Laurent Gbagbo qu’il compte parmi ses amis. Et avec qui il a joué, en 2008, à l’occasion de la 1ère édition des Hauts de gamme (rebaptisé Summum), cérémonie annuelle de distinction des artistes initiée par le Bureau ivoirien du droit d’auteur (Burida), qu’il contribua à porter sur les fonts baptismaux en 1981, après une grève d’anthologie.
Pour le concert, il est prévu de recréer l’ambiance du «Désert», ex-temple où Amédée Pierre, le «Dopé national» faisait le bonheur des noceurs et autres mélomanes dans les années 1960-70 avec son orchestre Ivoiro Star.
R. C
