La consommation de pain fait partie des habitudes alimentaires de la population ivoirienne. Pourtant, le secteur de la boulangerie-pâtisserie apparaît comme l’un des plus sinistrés de l’activité agroalimentaire.
De multiples raisons justifient cet état de fait, dont les plus capitales sont la vétusté, l’obsolescence voire le manque criant d’équipements de production de qualité. Aussi, répondant à une doléance de la Fédération interprofessionnelle des patrons boulangers et pâtissiers de Côte d’ivoire (Fipbp-Ci), la mission économique de l’ambassade de France en Côte d’ivoire a-t-elle organisé ce jeudi 24 juin à Abidjan, une rencontre entre la Fipbp-Ci et l’association française des fabricants d’équipements de boulangerie et de pâtisserie dénommée l’Ekip « les équipementiers du goût ».
Les professionnels boulangers et pâtissiers ivoiriens ont marqué un vif intérêt pour les équipements présentés par les sept fabricants français, à en croire la richesse des échanges qui ont suivi les présentations. En effet, la disponibilité des pièces de rechange et leur entretien, les caractéristiques des différents équipements et leur adaptabilité à l’environnement local ainsi que la possibilité d’une mise en place de partenariat avec des équipementiers locaux, figurent parmi les thèmes abordés lors de ces échanges en plénière. D’autres entretiens, individuels cette fois-ci, ont permis aux professionnels ivoiriens d’approfondir les échanges avec leurs interlocuteurs venus de France.
Plus de 95% de l’activité des boulangeries est tournée vers la production de pain et 90% de cette production concerne les baguettes. Les 5% restants se répartissent entre diverses catégories de pain (boules, pains aux diverses céréales) qui n’attirent encore qu’une clientèle minoritaire, et des produits de pâtisseries. A l’heure actuelle, chaque boulangerie produit en moyenne 5.000 baguettes par jour et utilise 300 sacs de farine de 50 kg par jour. Il n’existe pas de ligne de démarcation entre l’activité de boulangerie et pâtisserie ; la plupart des boulangeries modernes produisant aussi des pâtisseries.
Ghislaine ATTA
ghislaine.atta@fratmat.info
De multiples raisons justifient cet état de fait, dont les plus capitales sont la vétusté, l’obsolescence voire le manque criant d’équipements de production de qualité. Aussi, répondant à une doléance de la Fédération interprofessionnelle des patrons boulangers et pâtissiers de Côte d’ivoire (Fipbp-Ci), la mission économique de l’ambassade de France en Côte d’ivoire a-t-elle organisé ce jeudi 24 juin à Abidjan, une rencontre entre la Fipbp-Ci et l’association française des fabricants d’équipements de boulangerie et de pâtisserie dénommée l’Ekip « les équipementiers du goût ».
Les professionnels boulangers et pâtissiers ivoiriens ont marqué un vif intérêt pour les équipements présentés par les sept fabricants français, à en croire la richesse des échanges qui ont suivi les présentations. En effet, la disponibilité des pièces de rechange et leur entretien, les caractéristiques des différents équipements et leur adaptabilité à l’environnement local ainsi que la possibilité d’une mise en place de partenariat avec des équipementiers locaux, figurent parmi les thèmes abordés lors de ces échanges en plénière. D’autres entretiens, individuels cette fois-ci, ont permis aux professionnels ivoiriens d’approfondir les échanges avec leurs interlocuteurs venus de France.
Plus de 95% de l’activité des boulangeries est tournée vers la production de pain et 90% de cette production concerne les baguettes. Les 5% restants se répartissent entre diverses catégories de pain (boules, pains aux diverses céréales) qui n’attirent encore qu’une clientèle minoritaire, et des produits de pâtisseries. A l’heure actuelle, chaque boulangerie produit en moyenne 5.000 baguettes par jour et utilise 300 sacs de farine de 50 kg par jour. Il n’existe pas de ligne de démarcation entre l’activité de boulangerie et pâtisserie ; la plupart des boulangeries modernes produisant aussi des pâtisseries.
Ghislaine ATTA
ghislaine.atta@fratmat.info
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