PORT-LOUIS - Maurice demeure toujours à la première place sur le plan de la consommation des opiacés pour le continent africain, indique le rapport du United Nations Office on Drugs and Crime (UNODC).
Pendant ces deux dernières années, la situation s'est très peu améliorée pour Maurice, avec une prévalence de 2,0% au sein de la population active (15 à 64 ans) pour Maurice en matière de consommation d'opiacés comme l'héroïne, opium, morphine, brown sugar, était enregistré en 2007. Dans le monde, le pôle position était occupé par l'Iran, avec une prévalence estimée à 2,8%, selon le rapport.
En 2006, l'Iran occupait déjà la première place avec une prévalence de 2,8% et le Kirghizstan figurait en seconde place avec 2,3%.
Dans le World Drug Report 2005, l'île Maurice arrivait en quatrième position, après l'Iran, le Kirghizstan et la Russie.
En ce qui concerne la région de l'Afrique de l'Est, Maurice conservait sa première place avec une prévalence de 2,0% contre 0,2% pour le Kenya et la Somalie, et 0,1% pour le Rwanda.
En 2006, Maurice, qui n'est pas producteur d'opiacés, que sont l'héroïne et le dérivé Brown sugar, était déjà premier avec le même chiffre.
Le World Drug Report établit une base de données sur la production, le trafic, la consommation et les saisies de drogues dans le monde entier. Le rapport est divisé en sections, les drogues étant classifiées par catégories : opiacés, cocaïne, cannabis, amphétamines et ecstasy. Le document offre une analyse chiffrée sur le plan mondial mais aussi une étude détaillée et chiffrée par régions du monde.
Ce rapport évoque aussi les changements de mode et les routes des réseaux des trafics selon les types de drogues dans le monde. Ces données sont soumises, annuellement, par les différentes autorités des Etats du monde entier par le biais de l'organisme responsable du traitement, de la prévention, et de la police, entre autres. Un questionnaire uniforme, le ARQ (Annual Report Questionnaire) est envoyé par les bureaux de l'UNODC à ces différents partenaires mondiaux dans les différents pays du monde pour recueillir ces données.
Ce rapport est rendu public en fin de semaine à l'occasion de la 23ème Journée internationale de la lutte contre la drogue, dont le thème était, Pensez la santé, pas les drogues.
Pendant ces deux dernières années, la situation s'est très peu améliorée pour Maurice, avec une prévalence de 2,0% au sein de la population active (15 à 64 ans) pour Maurice en matière de consommation d'opiacés comme l'héroïne, opium, morphine, brown sugar, était enregistré en 2007. Dans le monde, le pôle position était occupé par l'Iran, avec une prévalence estimée à 2,8%, selon le rapport.
En 2006, l'Iran occupait déjà la première place avec une prévalence de 2,8% et le Kirghizstan figurait en seconde place avec 2,3%.
Dans le World Drug Report 2005, l'île Maurice arrivait en quatrième position, après l'Iran, le Kirghizstan et la Russie.
En ce qui concerne la région de l'Afrique de l'Est, Maurice conservait sa première place avec une prévalence de 2,0% contre 0,2% pour le Kenya et la Somalie, et 0,1% pour le Rwanda.
En 2006, Maurice, qui n'est pas producteur d'opiacés, que sont l'héroïne et le dérivé Brown sugar, était déjà premier avec le même chiffre.
Le World Drug Report établit une base de données sur la production, le trafic, la consommation et les saisies de drogues dans le monde entier. Le rapport est divisé en sections, les drogues étant classifiées par catégories : opiacés, cocaïne, cannabis, amphétamines et ecstasy. Le document offre une analyse chiffrée sur le plan mondial mais aussi une étude détaillée et chiffrée par régions du monde.
Ce rapport évoque aussi les changements de mode et les routes des réseaux des trafics selon les types de drogues dans le monde. Ces données sont soumises, annuellement, par les différentes autorités des Etats du monde entier par le biais de l'organisme responsable du traitement, de la prévention, et de la police, entre autres. Un questionnaire uniforme, le ARQ (Annual Report Questionnaire) est envoyé par les bureaux de l'UNODC à ces différents partenaires mondiaux dans les différents pays du monde pour recueillir ces données.
Ce rapport est rendu public en fin de semaine à l'occasion de la 23ème Journée internationale de la lutte contre la drogue, dont le thème était, Pensez la santé, pas les drogues.