L’attaquant international ivoirien de Lille (L1 de France), est l’une des grosses satisfactions dans le camp ivoirien. Au lendemain de l’élimination de la Côte d’Ivoire, il souhaiterait voir le technicien suédois rempiler à la tête de la sélection.
Quelles leçons tirez-vous de ce Mondial?
Nous quittons la compétition avec beaucoup de fierté. On a réussi de bonnes choses et donné du plaisir au public. Dans tous les compartiments, tout le monde s’est battu. Nous avons terminé 3e, avec quatre points, quatre buts marqués et trois encaissés. Soit un goal différentiel de +1. La Côte d’Ivoire laisse une bonne image en Afrique du Sud. Dommage qu’elle n’ait pas eu ce coup de rein utile pour continuer l’aventure en terre sud-africaine.
A quel moment précis avez-vous perdu tout espoir de franchir le premier tour ?
Il fallait d’entrée sortir victorieux face au Portugal. L’équipe s’est bien exprimée mais a manqué l’essentiel, c’est-à-dire la victoire. Et au moment où nous perdions contre le Brésil (1-3), les Portugais étrillaient (7-0) les Coréens du Nord. Dès lors, nous avons compris que les dés étaient jetés. Toutefois, nous avons eu la force morale de terminer en beauté notre campagne.
Qu’est-ce qui a particulièrement marqué Gervinho?
Pour ma première expérience en Coupe du monde, j’ai eu à affronter de grandes équipes et de grands joueurs. A mon humble avis, je me suis en sorti et les uns et les autres me l’ont confirmé.
Quelle image vous a laissée le coach Eriksson?
Une très bonne image. Il communique beaucoup avec ses joueurs et son message est bien passé. Son expérience nous a été utile et au plan collectif, Eriksson a apporté un plus.
Etes-vous pour son maintien?
Absolument! Mais je ne suis pas décideur. Le dernier mot revient aux autorités sportives de notre pays. Honnêtement, il serait intéressant de poursuivre l’aventure avec le technicien suédois. En si peu de temps, il a abattu du bon travail.
L’Afrique, continent organisateur pour la première fois du Mondial, n’a désormais qu’un seul représentant en course.
Les cinq autres sont out…
Nous aurions souhaité voir un grand nombre continuer l’aventure. Hélas! C’est la volonté de Dieu. Cependant, le Ghana qui porte tous nos espoirs désormais se comporte bien. Il a beaucoup d’arguments à revendre. Tous les Africains doivent le soutenir jusqu’au bout. J’ai foi que cette équipe ira loin. Ce sera un grand honneur pour le continent africain.
Jean-Baptiste Béhi
Envoyé spécial
Quelles leçons tirez-vous de ce Mondial?
Nous quittons la compétition avec beaucoup de fierté. On a réussi de bonnes choses et donné du plaisir au public. Dans tous les compartiments, tout le monde s’est battu. Nous avons terminé 3e, avec quatre points, quatre buts marqués et trois encaissés. Soit un goal différentiel de +1. La Côte d’Ivoire laisse une bonne image en Afrique du Sud. Dommage qu’elle n’ait pas eu ce coup de rein utile pour continuer l’aventure en terre sud-africaine.
A quel moment précis avez-vous perdu tout espoir de franchir le premier tour ?
Il fallait d’entrée sortir victorieux face au Portugal. L’équipe s’est bien exprimée mais a manqué l’essentiel, c’est-à-dire la victoire. Et au moment où nous perdions contre le Brésil (1-3), les Portugais étrillaient (7-0) les Coréens du Nord. Dès lors, nous avons compris que les dés étaient jetés. Toutefois, nous avons eu la force morale de terminer en beauté notre campagne.
Qu’est-ce qui a particulièrement marqué Gervinho?
Pour ma première expérience en Coupe du monde, j’ai eu à affronter de grandes équipes et de grands joueurs. A mon humble avis, je me suis en sorti et les uns et les autres me l’ont confirmé.
Quelle image vous a laissée le coach Eriksson?
Une très bonne image. Il communique beaucoup avec ses joueurs et son message est bien passé. Son expérience nous a été utile et au plan collectif, Eriksson a apporté un plus.
Etes-vous pour son maintien?
Absolument! Mais je ne suis pas décideur. Le dernier mot revient aux autorités sportives de notre pays. Honnêtement, il serait intéressant de poursuivre l’aventure avec le technicien suédois. En si peu de temps, il a abattu du bon travail.
L’Afrique, continent organisateur pour la première fois du Mondial, n’a désormais qu’un seul représentant en course.
Les cinq autres sont out…
Nous aurions souhaité voir un grand nombre continuer l’aventure. Hélas! C’est la volonté de Dieu. Cependant, le Ghana qui porte tous nos espoirs désormais se comporte bien. Il a beaucoup d’arguments à revendre. Tous les Africains doivent le soutenir jusqu’au bout. J’ai foi que cette équipe ira loin. Ce sera un grand honneur pour le continent africain.
Jean-Baptiste Béhi
Envoyé spécial