Les Ivoiriens l’appellent Popito. Kader Kéita est un des chouchous du public ivoirien. Comme ses camarades, il dit regretter le match nul face au Portugal.
Malgré une large victoire contre la Corée du Nord (3-0), la Côte d’Ivoire est éliminée. Vous devez avoir beaucoup de regrets ?
Oui ! Je l’admets. On peut avoir des regrets puisque c’était assez limite. Aujourd’hui, on a essayé de faire du jeu pour marquer assez de buts. Malheureusement, ça n’a pas marché. Il y a un peu de regrets, mais nous avons, tout de même, essayé. On sort malgré nos quatre points. C’est frustrant mais on fait avec.
L’engagement qu’on a constaté aujourd’hui, fait penser que vous auriez pu faire mieux lors des premiers matchs ?
C’est l’entraîneur qui fait le choix. Mais, il faut reconnaître que nous restons toujours un groupe. Peu importe ceux qui sont sur le terrain. Il est vrai que l’entraîneur est venu au dernier moment et il a essayé de contenter tout le monde. C’est à lui que reviennent toutes les décisions. Il fait ses choix et nous les respectons. Le plus important, c’est que nous restons un bloc solide et solidaire.
Quel est le match que vous auriez aimé refaire ?
Je pense que c’est le match contre le Portugal. On avait la possibilité de prendre les trois points et malheureusement, nous sommes passés à côté, avec un match nul. Cette victoire nous aurait, je le pense, qualifiés.
Comment entrevoyez-vous l’avenir de l’équipe nationale au moment où votre entraîneur s’en va ?
Tout est dans les mains des dirigeants de la fédération. J’espère qu’ils choisiront un bon entraîneur pour poursuivre le travail. Je crois que nous avons vraiment besoin d’un entraîneur stable qui aura le temps de travailler avec tout son monde. Un entraîneur qui travaillera pour l’avenir. Mais tout cela est du ressort des dirigeants. Individuellement, il y a de bons joueurs qui évoluent en Europe. Avec toutes ces expériences et avec un bon entraîneur, on pourra travailler le collectif et devenir un groupe encore plus solide. C’est dans ce domaine que coach Göran nous a apportés beaucoup. En moins de trois mois, il nous a amené à jouer ensemble. Mais cela dit, nous attendons que la fédération fasse un choix que nous allons respecter.
Cela dit, qu’en est-il de l’ambiance entre vous les joueurs. Est-elle aujourd’hui saine ?
Personnellement, je n’ai rien constaté de déplacé. Et je pense que les quelques petites embrouilles, entre certains, sont normales. Parce que vivre ensemble pendant deux mois n’est pas du tout facile. Il y a naturellement des petites discussions, mais ce sont des choses qui ne vont jamais loin. Cela ne veut pas dire qu’il y a tel ou tel problème ou que nous n’allons plus jouer ensemble. Vous avez certainement constaté que sur le terrain, il n’y a aucun problème. On joue tous en bloc et c’est le plus important. Nous sommes tous conscients que nous nous battons pour les couleurs du pays et non pour nous-mêmes. C’est une bataille collective et non individuelle.
Le Mondial est fini et Kader va-t-il rester en Turquie ou va-t-il chercher à revenir dans un championnat européen plus huppé ?
Pour le moment, nous allons, avec mon manager, voir ce qu’il faut décider après la Coupe du monde. On ne sait pas ce que réserve l’avenir. Il se pourrait que je parte ou que le reste. Tout dépendra. Mais en attendant, je suis encore en Turquie et je m’y sens bien.
Koné Lassiné, envoyé spécial en Afrique du Sud
Couverture du Mondial africain en Afrique du Sud
Orange Côte d’Ivoire fait la différence
La Coupe du monde, qui se dispute pour la première fois sur le Continent africain, ne laisse personne indifférente. Et encore moins la Côte d’Ivoire qui avait son équipe engagée dans cette prestigieuse compétition. Les Ivoiriens, emportés par la ferveur de ce Mondial, voulaient la vivre entièrement et pleinement. C’est ce qu’a compris l’opérateur de la téléphonie mobile, Orange Côte d’Ivoire.
En signant un partenariat avec dix organes de presse de la place, Orange a permis aux journalistes des quotidiens, Le Patriote, Fraternité-Matin, Notre Voie, Le Nouveau Réveil, Soir Info, Nord Sud, L’Inter, Supersport, le Sport et Le Temps de couvrir dans les meilleures conditions cette première Coupe du monde africaine en Afrique du Sud. Un partenariat gagnant qui permet aux lecteurs ivoiriens d’avoir les vraies informations du Mondial 2010 en temps réel et tous les jours. C’est une grande entreprise que seul Orange Côte d’Ivoire a fait jusque-là pour ce qui concerne la couverture d’une Coupe du monde. C’est du jamais vu. Mieux, Orange Côte d’Ivoire a aménagé des espaces dans les grands quartiers de la capitale économique ivoirienne et dans les grandes villes de la Côte d’Ivoire pour permettre aux Ivoiriens de suivre en direct les matchs de cette Coupe du monde inédite tout en festoyant. Joignant l’utile à l’agréable, Orange assure de grandes animations sur ces espaces et les supporteurs repartent les bras chargés de cadeaux. Grand chapeau à cette entreprise qui, en plus d’être le partenaire numéro Un des Eléphants, est en train de venir le partenaire privilégié de la presse sportive ivoirienne.
KL
Malgré une large victoire contre la Corée du Nord (3-0), la Côte d’Ivoire est éliminée. Vous devez avoir beaucoup de regrets ?
Oui ! Je l’admets. On peut avoir des regrets puisque c’était assez limite. Aujourd’hui, on a essayé de faire du jeu pour marquer assez de buts. Malheureusement, ça n’a pas marché. Il y a un peu de regrets, mais nous avons, tout de même, essayé. On sort malgré nos quatre points. C’est frustrant mais on fait avec.
L’engagement qu’on a constaté aujourd’hui, fait penser que vous auriez pu faire mieux lors des premiers matchs ?
C’est l’entraîneur qui fait le choix. Mais, il faut reconnaître que nous restons toujours un groupe. Peu importe ceux qui sont sur le terrain. Il est vrai que l’entraîneur est venu au dernier moment et il a essayé de contenter tout le monde. C’est à lui que reviennent toutes les décisions. Il fait ses choix et nous les respectons. Le plus important, c’est que nous restons un bloc solide et solidaire.
Quel est le match que vous auriez aimé refaire ?
Je pense que c’est le match contre le Portugal. On avait la possibilité de prendre les trois points et malheureusement, nous sommes passés à côté, avec un match nul. Cette victoire nous aurait, je le pense, qualifiés.
Comment entrevoyez-vous l’avenir de l’équipe nationale au moment où votre entraîneur s’en va ?
Tout est dans les mains des dirigeants de la fédération. J’espère qu’ils choisiront un bon entraîneur pour poursuivre le travail. Je crois que nous avons vraiment besoin d’un entraîneur stable qui aura le temps de travailler avec tout son monde. Un entraîneur qui travaillera pour l’avenir. Mais tout cela est du ressort des dirigeants. Individuellement, il y a de bons joueurs qui évoluent en Europe. Avec toutes ces expériences et avec un bon entraîneur, on pourra travailler le collectif et devenir un groupe encore plus solide. C’est dans ce domaine que coach Göran nous a apportés beaucoup. En moins de trois mois, il nous a amené à jouer ensemble. Mais cela dit, nous attendons que la fédération fasse un choix que nous allons respecter.
Cela dit, qu’en est-il de l’ambiance entre vous les joueurs. Est-elle aujourd’hui saine ?
Personnellement, je n’ai rien constaté de déplacé. Et je pense que les quelques petites embrouilles, entre certains, sont normales. Parce que vivre ensemble pendant deux mois n’est pas du tout facile. Il y a naturellement des petites discussions, mais ce sont des choses qui ne vont jamais loin. Cela ne veut pas dire qu’il y a tel ou tel problème ou que nous n’allons plus jouer ensemble. Vous avez certainement constaté que sur le terrain, il n’y a aucun problème. On joue tous en bloc et c’est le plus important. Nous sommes tous conscients que nous nous battons pour les couleurs du pays et non pour nous-mêmes. C’est une bataille collective et non individuelle.
Le Mondial est fini et Kader va-t-il rester en Turquie ou va-t-il chercher à revenir dans un championnat européen plus huppé ?
Pour le moment, nous allons, avec mon manager, voir ce qu’il faut décider après la Coupe du monde. On ne sait pas ce que réserve l’avenir. Il se pourrait que je parte ou que le reste. Tout dépendra. Mais en attendant, je suis encore en Turquie et je m’y sens bien.
Koné Lassiné, envoyé spécial en Afrique du Sud
Couverture du Mondial africain en Afrique du Sud
Orange Côte d’Ivoire fait la différence
La Coupe du monde, qui se dispute pour la première fois sur le Continent africain, ne laisse personne indifférente. Et encore moins la Côte d’Ivoire qui avait son équipe engagée dans cette prestigieuse compétition. Les Ivoiriens, emportés par la ferveur de ce Mondial, voulaient la vivre entièrement et pleinement. C’est ce qu’a compris l’opérateur de la téléphonie mobile, Orange Côte d’Ivoire.
En signant un partenariat avec dix organes de presse de la place, Orange a permis aux journalistes des quotidiens, Le Patriote, Fraternité-Matin, Notre Voie, Le Nouveau Réveil, Soir Info, Nord Sud, L’Inter, Supersport, le Sport et Le Temps de couvrir dans les meilleures conditions cette première Coupe du monde africaine en Afrique du Sud. Un partenariat gagnant qui permet aux lecteurs ivoiriens d’avoir les vraies informations du Mondial 2010 en temps réel et tous les jours. C’est une grande entreprise que seul Orange Côte d’Ivoire a fait jusque-là pour ce qui concerne la couverture d’une Coupe du monde. C’est du jamais vu. Mieux, Orange Côte d’Ivoire a aménagé des espaces dans les grands quartiers de la capitale économique ivoirienne et dans les grandes villes de la Côte d’Ivoire pour permettre aux Ivoiriens de suivre en direct les matchs de cette Coupe du monde inédite tout en festoyant. Joignant l’utile à l’agréable, Orange assure de grandes animations sur ces espaces et les supporteurs repartent les bras chargés de cadeaux. Grand chapeau à cette entreprise qui, en plus d’être le partenaire numéro Un des Eléphants, est en train de venir le partenaire privilégié de la presse sportive ivoirienne.
KL